Sylvain Johnson's Blog, page 11

April 10, 2016

Sur les traces des revenants de l’Ohio

Gaëlle Dupille


Après un tour d’horizon des châteaux les plus hantés d’Ecosse dans un précédent article, direction les Etats Unis et plus précisément, l’Ohio. Pourquoi l’Ohio ? Tout simplement parce que cet état américain est celui où est répertorié chaque année le plus grand nombre de manifestations paranormales. Suivez le guide… sur les traces des revenants de l’Ohio !



L’Ohio, situé dans la zone du Middle West (en rouge sur la carte ci-dessous) a depuis bien longtemps la réputation d’être un repaire pour revenants. Parmi les nombreuses villes qui composent cet état, Athens serait la principale source d’activité ectoplasmique.



map-ohio



Le cimetière de la ville, le Simms Cemetery, est connu pour abriter un étrange spectre vêtu d’une robe à capuche dissimulant partiellement son visage. Ce fantôme serait celui de John Simms, l’un des dirigeants de la ville, nostalgique de la période de l’esclavage. Il est tristement célèbre pour avoir fait exécuter…


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Published on April 10, 2016 13:33

April 3, 2016

Extrait d’Awen -éditions L’ivre-Book-

Gaëlle Dupille




Awen



Vous êtes curieux d’en savoir plus sur « Awen », novella fantastique/horreur publiée récemment pat les éditions L’ivre-Book ? En voici un extrait :



« Vic roulait depuis déjà vingt-cinq minutes et n’avait encore trouvé aucun magasin ouvert sur sa route pour acheter des cigares.

« J’aurais dû arrêter cette saleté de tabac depuis longtemps », se dit-il. « Ça m’éviterait de me retrouver sans cesse dans ce genre de situation ».
Lorsqu’il était plongé dans la rédaction d’un roman, il n’était pas rare que Victor Simoni lève le nez de son clavier et réalise que toutes les boutiques étaient fermées depuis longtemps alors que sa dernière boîte de cigares était vide. Sans eux, impossible pour lui d’écrire le moindre mot. Il était conscient du risque que représentait cette mauvaise habitude, mais elle constituait pour lui une source indispensable de concentration. Aussi, malgré l’orage et le déluge de pluie qui s’abattait sur la ville depuis vingt-quatre heures, il…


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Published on April 03, 2016 15:00

April 1, 2016

Interviews des FDR – #1 Sylvain Johnson

Gaëlle Dupille


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Comme vous le savez sans doute, j’ai le plaisir et la chance de faire partie du collectif d’auteurs franco-québécois Les Fossoyeurs de Rêves. Plusieurs de nos romans, novellas, nouvelles ou recueils ont été publiés depuis janvier 2016. Au travers de 4 interviews, je vous propose de faire un tour d’horizon de nos publications de l’année déjà disponibles et de celles à venir.



C’est le FDRSylvain Johnson qui ouvre le bal !



syl



Quelles ont été tes publications depuis le début de cette année ?

Ma dernière publication date de décembre 2015. Il s’agit du tome 2 de ma série « Le Tueur des Rails ». Le titre de cette suite tant attendue est « La Mémoire du Tueur ».



Quatrième de couverture :



« Il est de retour ! Sheridan. Plus connu sous le nom du « Tueur des Rails » !



Lui qui croyait avoir enfin réussi a dompté ses…


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Published on April 01, 2016 02:35

March 29, 2016

Awen de Gaëlle Dupille

Awen - Gaelle DupilleAwen est une nouvelle qu’il ne faut pas, mais vraiment pas lire.


Pourquoi?


Parce que cette dernière risque de vous mener vers un état de confusion avancé, de bouleverser vos illusions et préconceptions au sujet de l’humanité et des apparences. Je m’explique. Awen, c’est une nouvelle de Gaëlle Dupille. La première chose que vous faites, en l’achetant, c’est de découvrir la photographie de l’auteur, une jeune femme jolie et souriante. Vous imaginez donc que ce récit sera gentil et doux. Une telle fille ne peut qu’écrire au sujet de papillons et de fleurs, d’amour millénaire et de prince charmant. Faux. Son sourire angélique n’est qu’une façade pour son âme perverse. J’ai même entendu dire que c’est d’elle que s’inspire le diable pour ses méfaits. Elle possède un doigté glacial laissant sur le clavier son empreinte maléfique. Son désir est de vous guider sur l’étroit sentier qui mène de la folie à la lucidité et elle réussit très bien.


Quoi d’autre? Vous aimez les chats? Ils sont doux, gentils et marrants? Cette histoire décrit la rencontre entre un auteur un peu moche et Awen, une charmante créature féline très particulière. Je vous entends d’ici – « Quelle bonne idée, j’adore les chats »… avec Gaëlle, ce n’est jamais aussi simple. Un chat entre les mains de mademoiselle Dupille, c’est comme une paire de ciseaux entre les mains d’un tueur en série. Faut se méfier.


Donc, si vous aimez les chats et croyez ici lire de la romance, détrompez-vous. Cette histoire, une courte nouvelle, explore deux éléments importants de la vie d’un auteur. Tout d’abord, l’imagination, la provenance du talent énigmatique. Ensuite, le prix à payer pour le succès.


Awen est une histoire sombre, tranchante et qui reflète l’imagination fertile et le talent de son auteur. À conseiller, même pour ceux qui aiment les chats.


Note : 9/10

Liens d’achats : L’Ivre-Book


Site de Gaëlle Dupille



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Published on March 29, 2016 20:19

March 26, 2016

Vous souhaitez réaliser une chronique d’Awen (novella fantastique/horreur) ?

Gaëlle Dupille


Awen



« Awen » (éditions L’ivre-Book) est sortie depuis le 19 mars. Si vous désirez recevoir cette novella fantastique/horreur en service de presse afin d’en réaliser une chronique sur votre blog/site, n’hésitez pas à me contacter à l’adresse : gdupille.romanciere@gmail.com ou par l’intermédiaire de ma page auteur sur Facebook.  :) 



pub awen 1



Résumé :



Un soir d’orage, l’écrivain Victor Simoni découvre une voiture accidentée sur la route. Son conducteur, l’auteur à succès Edgar J. Paul, est mort. Son chat, une femelle noire prénommée Awen, a survécu au choc. Vic, fan inconditionnel de Paul et amateur de félins, l’emporte avec lui et décide de l’adopter. Rapidement, l’animal révèle des aptitudes très particulières et devient la principale source d’inspiration de l’auteur, en raison de sa mystérieuse nature. Le jeune homme ignore cependant que le prix à payer pour tant de créativité peut parfois se révéler très élevé… et être synonyme de mort et d’horreur.



(Illustration…


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Published on March 26, 2016 10:23

March 19, 2016

Interview d’Atef Attia

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Aujourd’hui, je suis heureux de partager avec vous une interview de mon ami et écrivain de talent Atef Attia.


Qui est Atef Attia?


Voici comment il se décrit sur son blogue :


Pour ceux que ça intéresse, je suis né en 1980 à Tunis où je réside. Je suis titulaire d’une maîtrise en Commerce international obtenu à l’École Supérieure de Commerce de Tunis. Je dis ça comme ça, parce que pour ce que j’en ai branlé du diplôme…


J’ai commencé l’écriture (si je me souviens bien) en 2001, un peu pour déconner, avec un texte court « ‘Under Pressure »’, puis je me suis pris au jeu au fil des lignes, toujours en privilégiant la nouvelle.


Je m’oriente principalement vers le noir et le fantastique/épouvante, tout simplement parce que c’est ce que je lis le plus : Stephen King, Serge Brussolo, Clive Barker, Dean Koontz, mais aussi John Irving, John LeCarré, Michael Connelly, James Ellroy, Patricia Cornwell ou d’autres plus  »Pulp » comme Ed McBain, James Hadley Chase ou Donald Westlake.


En 2013, ma nouvelle « ‘Affliction »’ reçoit le prix littéraire du Programme des Nations Unies pour le Développement. Cette même année sort mon premier recueil de nouvelles « ‘Sang d’encre »’.


Questions et Réponses :
Q : Je vous avoue ne pas connaître grand-chose sur votre pays. Parlez-moi de la situation littéraire en Tunisie, en particulier pour les écrivains et éditeurs du genre de l’imaginaire comme le fantastique, le thriller ou l’horreur.

R: Malheureusement, ça va être rapide. Le paysage littéraire tunisien en général n’est pas bien folichon et le livre est constamment en crise. Certains ne le savent peut-être pas mais le pays sort à peine de régimes dictatoriaux successifs qui ont bâillonné la liberté d’expression, surtout lors des 23 années du régime Ben Ali. Dans une politique d’abrutissement total de la population –moins ça réfléchit, plus c’est malléable-, la culture en général et le livre en particulier ont été les premières victimes.

De plus, la Tunisie n’a jamais eu de tradition de littérature de genre malgré quelques essais sporadiques durant les années 70 (Policier, Espionnage principalement). Depuis, et à ce jours, les incursions dans ce genre sont très rares en plus de ne pas toujours être répertoriées. Autant dire que la littérature de l’imaginaire n’existe pratiquement pas en Tunisie.

Depuis la révolution en 2011 et la mort –présumée- de la censure, la société civile (et l’état dans une moindre mesure) essayent d’œuvrer pour la promotion du livre et de la littérature tunisienne.


Q : Vous êtes blogueur littéraire, écrivain, éditeur, blogueur musical, sur le cinéma, collaborateur à un magazine en ligne et je suis certain d’en oublier. Que ne faites-vous pas ? Quel est votre parcours artistique ?

R : Je suis déçu, il n’est pas fait mention de mes talents culinaires extraordinaires. Je sais faire cuire un œuf rien qu’avec de l’eau quand même. (rires)

C’est vrai que dit comme ça, ça fait beaucoup, mais dans ma tête ça fait un tout cohérent, je ne dissocie pas ces passions : le cinéma et la musique se retrouvent très souvent dans mes textes de fictions. Et quand je lis un livre, j’écoute de la musique ou regarde un film qui me plait ou qui m’interpelle, j’aime écrire dessus. Pour résumer, je dirais que tous les moyens sont bons pour m’exprimer et plus particulièrement de partager mes ressentis et mes découvertes via mes différents blogs que j’essaie d’entretenir comme je peux.


Q : Parlez-nous de votre maison d’édition. Comment est né ce projet ? Avez-vous été influencé par votre état d’écrivain ou est-ce que l’écriture est venue après l’édition ?

R : Pop Libris est une jeune maison d’édition crée par deux de mes amis –Sami Mokaddem, Souha Cherni- et moi-même en 2013 avec des moyens très restreints. Sa particularité étant qu’elle se spécialise dans la littérature populaire (d’où le Pop du nom) : Littérature de l’imaginaire, Bande dessinée… Sami, qui est écrivain lui aussi, m’avait proposé cette idée folle puisque nous avions tous deux nos manuscrits déjà prêts mais rejetés par quelques maisons d’éditions locales car ne s’inscrivaient pas dans leur lignes éditoriales. Comme je l’ai mentionné plus haut, la littérature de genre n’existe pratiquement pas en Tunisie, cela nous a donc motivés pour créer une structure qui s’en occuperait en priorité. L’écriture est venue donc avant, et c’est elle qui nous a fait nous rendre compte du vide à combler dans le paysage littéraire tunisien et à encourager d’éventuels auteurs qui se trouveraient dans notre situation. Nous en sommes à notre 5ème publication. Deux autres sont prévus d’ici la fin 2016.


Q : Votre recueil sang d’encre m’avait grandement marqué par la force des récits qu’il contient. Par l’incursion périlleuse et habile dans les méandres de l’esprit humain. Vous imposez à vos lecteurs un rythme endiablé et vous les forcez à s’interroger sur la nature humaine. D’où vient votre talent à décortiquer la démence ?

R : Merci beaucoup, ce ressenti me touche énormément. En fait, je ne sais pas si l’on peut parler de talent, je n’y pense pas particulièrement lors de l’écriture. Mais je crois qu’une constante dans mes histoires est de partir sur des personnages tout ce qu’il y a de plus normaux et de suivre l’évolution de leur mental, confronté à des événements ordinaires ou extraordinaires qui, en s’accumulant, finissent par révéler leur vraie nature. En tant que lecteur, je suis toujours fasciné par la propension de chacun d’entre nous à péter les plombs, à des degrés divers. Je pense que c’est ce qui force les lecteurs à s’interroger sur la démence :  » Comment en est-il arrivé là ? il avait l’air si… normal ».


Q : J’ai vu plusieurs photos de vous où vous souriez, l’air tout gentil. Est-ce que c’est une façade…est-ce que sous cette apparence se cache une âme troublée ? Qui est le vrai Atef?

R : Alors déjà, merci de me noter les liens de ces photos avec le nom de celui ou celle qui les a publiées. Je pensais les avoir toutes détruites, c’est inadmissible.

Plus sérieusement, je n’ai jamais adhéré au fantasme selon lequel il faut être sérieusement ravagé du ciboulot pour écrire dans le thriller ou l’épouvante. Prenez l’exemple d’un certain Sylvain Johnson (au hasard) : C’est un chic type, hyper chaleureux et drôle. Ça ne l’empêche pas de coucher sur papier des atrocités insoutenables.

En ce qui me concerne j’avoue être un type profondément positif et bien dans ma peau qui n’a jamais rien brandi de plus meurtrier envers son prochain qu’une déclaration d’impôt. Mais si vous me faites chier, je vous tuerai de la façon la plus lente et la plus sophistiquée qui soit. Sur Papier.


Q : L’Issour de « l’invisible kid » a 15 ans. Est-ce qu’il y a un peu de votre propre enfance dans ce récit ?

R : Absolument ! Je joue beaucoup sur la nostalgie dans Invisible Kid et j’y ai mis beaucoup de mes propres souvenirs. Les années collège/lycée sont une période particulière et riche en anecdotes. Qui d’entre nous n’y repense pas avec un soupir nostalgique ?

En parlant d’anecdotes, le Colonel était bien mon prof d’éducation physique et la scène avec Issour et lui s’est passée avec moi presque mot pour mot. Héléna Dearborne existe, je l’ai même épousée ! Alors oui, j’ai mis beaucoup de moi-même dans ce livre.


Q : Quelles sont vos influences littéraires ?

R : J’ai bien peur que ce ne soit pas très original.

Quelqu’un serait-il surpris si je disais Stephen King ? Je ne pense pas. Je suis cet auteur depuis mes 12 ans, quand j’ai bravé pour la première fois l’autorité parentale en forçant mon père à m’acheter Brume-paranoïa. Je suis fidèlement le bonhomme depuis et relis souvent ses romans, surtout maintenant que j’ai commencé à écrire. Tout comme le font plein d’autres auteurs, d’ailleurs.

Les deux autres marches du podium sont occupées par les indéboulonnables John le Carré et John Irving, que j’ai découvert sur le tard mais auxquels je suis très fidèle.

Pour le reste, je lis beaucoup Serge Brussolo, Grangé, Dean R Koontz, Michael Connelly, Jim Thompson. J’envie particulièrement la bibliographie de ces trois derniers.


Q : Offrez-nous le plaisir d’une anecdote étrange, particulière, énigmatique. Avez-vous déjà fait l’expérience d’un événement fantastique, surnaturel ? Ou n’y croyez-vous tout simplement pas.

Alors là je crois que je vais en décevoir quelques-uns, je ne crois pas vraiment aux phénomènes paranormaux. Je n’en ai jamais fait l’expérience de ma vie… C’est peut-être pour ça que j’écris dans le fantastique, qui sait ? I Want To Believe.


Q : Parlez-nous de votre pays. Faites découvrir la Tunisie à ceux qui ne connaissent rien de ce pays.

R :La Tunisie a la pire classe politique que l’on puisse imaginer mais dont les habitants sont des gens formidables. C’est un tout petit pays mais qui est riche de 3000 ans d’histoire. En parlant de la Tunisie, les gens pensent automatiquement à un parasol sur la plage, mais ce n’est pas que ça : les sites archéologiques sont légion, de premier ordre et très variés du fait de toutes les civilisations qui ont y ont régné, toute religions confondues. C’est aussi très diversifié du point de vie naturel puisque c’est l’un des rares pays à pouvoir offrir des plages dorées, des contrées désertiques aux dunes ensablées ainsi que de magnifiques reliefs montagneux à couper le souffle. Je ne vous parle même pas de la gastronomie, il faudra vraiment venir et découvrir par vous mêmes.


Q : Quels sont vos projets futurs ? Avez-vous déjà commencé la suite de votre roman «Invisible Kid ? »

R :Pas tout de suite non. La suite d’Invisible Kid n’est pas encore au programme, mais ça viendra.

En tant qu’auteur je suis en cours d’écriture de mon troisième livre (et deuxième recueil de nouvelles, oui, j’aime ça !). Cette fois-ci les textes verseront plus volontiers dans l’épouvante, le fantastique, la fantasy et la science fiction. Après ça, deux projets de romans (Un polar sombre et un roman d’épouvante) qui me taraudent depuis longtemps et auxquels il faudra bien s’atteler un jour. L’exercice du roman me tétanise, moi qui suis surtout habitué au format court.

Sinon, en tant qu’éditeur je planche actuellement sur les deux prochaines sorties de Pop Libris, complètement différentes l’une de l’autre.

Autant dire que je n’ai pas le temps de m’ennuyer (rires).


Merci pour votre générosité et votre temps Atef Attia !


Liens Utiles :


Critique de Sang d’encre

Critique Invisible Kid


Sites d’Atef.


http://atefmusicblog.blogspot.com/

https://www.facebook.com/StrangeMovies/timeline

http://atefattia.wix.com/auteur#! blog/c1ndg


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Published on March 19, 2016 17:12

March 18, 2016

« Awen » de Gaëlle Dupille

L'ivre-Book


ISBN : 978-2-36892-258-3 / 1,99 € (Coll. Imaginarium Fantastique)

Awen - Gaelle DupilleUn soir d’orage, l’écrivain Victor Simoni découvre une voiture accidentée sur la route. Son conducteur, l’auteur à succès Edgar J. Paul, est mort. Son chat, une femelle noire prénommée Awen, a survécu au choc. Vic, fan inconditionnel de Paul et amateur de félins, l’emporte avec lui et décide de l’adopter. Rapidement, l’animal révèle des aptitudes très particulières et devient la principale source d’inspiration de l’auteur, en raison de sa mystérieuse nature. Le jeune homme ignore cependant que le prix à payer pour tant de créativité peut parfois se révéler très élevé… et être synonyme de mort et d’horreur.



Disponible le 19 mars chez L’ivre-BookFNACImmatérielRelay – AmazonGoogle PlayBookeenKoboNolim Carrefour – Archambault – Chapitre.com – Actu SF – etc.

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Published on March 18, 2016 08:32

March 14, 2016

Invisible Kid d’Atef Attia.

Invisible Kid d’Atef Attia.


28169254

J’ai découvert Atef lors de la sortie de son premier roman Sang d’encre. Un type sympa, talentueux et très généreux de son temps. J’avais aimé son roman – voir ma critique sur le lien suivant – critique de Sang d’Encre. Ce fut donc tout un honneur de pouvoir lire son nouveau roman intitulé « Invisible Kid ». Il y a de ces écrivains au talent indéniable dont on ne se lasse pas. Il en fait partie.


Résumé du quatrième de couverture :


« Il y a des jours où Issour Danielovitch se sentirait presque devenir invisible. Entre un père despotique, des frères aînés absents, des ennuis de santé, les railleries de ses camarades et un premier amour tué dans l’œuf, il mène une vie plutôt mouvementée pour un adolescent de quinze ans. Une vie qui serait somme toute banale, mais c’était sans compter la cruauté et l’acharnement de certains de ses camarades qui poussent la farce un peu trop loin. Et lorsque leur dernier canular tourne au drame, ils ne se doutent pas de la force maléfique qu’ils déchaînent et qui changera la vie d’Issour à tout jamais. »


Mon Commentaire :


Un détail qui nous accroche dès les premières pages est cette capacité de l’auteur à nous rapprocher de ses personnages. Son talent de raconteur et l’intimité de ses propos nous offrent une perspective unique sur la vie du personnage principal. Le petit Issour, un gamin de 15 ans. L’écriture d’Atef se transforme à mesure que nous tournons les pages. L’analyse quotidienne de la vie du petit est un leurre, un appât séduisant qui flirte avec nos souvenirs de cette époque lointaine où nous étions nous-mêmes sur les bancs d’école. Comme le poisson qui mord à l’hameçon, les premières pages nous capturent, elles nous emprisonnent dans l’étroit tunnel de la désillusion. Qui ne revit pas occasionnellement ces moments de beauté propres à l’enfance et à l’innocence? Atef le sait et exploite notre mémoire, nos souvenirs de déceptions, de peurs, d’isolements ou de solitude. Tout ce qui fait de l’adolescence une période bien difficile pour beaucoup d’entre nous.


« La préméditation avait du bon. »

P.143

Dès que nous sommes prisonniers, imbibés des détails et personnages très réussis, il ouvre la porte sur nos peurs, nous libère de notre zone de confort, pour ensuite nous faire descendre les différents paliers menant à l’enfer fantastique de nos instincts de violence, de notre folie passagère.


C’est une balade en douceur sur les eaux calmes d’un lac, un ciel qui se couvre de nuages noirs, les vagues qui grossissent et la pluie glaciale qui tombe. Mais il est déjà trop tard, vous avez franchi le point de non-retour et vous ne pouvez que tanguer au rythme des moments intenses décrits par Atef.


« C’était une masse noire et amorphe qui semblait hésiter sur la forme à adopter. Une aberration en mutation perpétuelle. Elle était ici et ailleurs en même temps, comme un trou noir, une brèche dans un autre espace-temps remplissant l’air d’électricité statique qui hérissait tous les poils d’un Issour tétanisé. »

P. 133-134

Ma seule déception, même si ce n’est qu’une déception provisoire menant à un moment de joie est l’idée qu’une suite se prépare. Une suite qui éveille mes neurones et me permet de penser à tous les scénarios possibles. Une suite que je vais indéniablement lire.


Comme si le récit principal ne suffisait pas, il y a une petite surprise à la fin. Une nouvelle qui devrait bientôt paraître dans un recueil. Une nouvelle littéraire tout à fait différente du roman. Un texte qui nous transporte au Mexique, une histoire de séduction, de tromperie, de survie. J’ai aussi adoré.


Et, Monsieur Atef, comment ignorer vos références cinématographies ou littéraires. Je vous laisse les découvrir.


Les thèmes du roman :


Amour, enfance, abandon, vengeance, mort.


En conclusion :


Ben voilà, que faites-vous ici, allez vite vous procurez ce roman. Une des bonnes lectures de 2016.


Ma note :


9/10

Liens utiles :


Site de l’éditeur PopLibris


Site d’Atef


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Published on March 14, 2016 09:19

L’invisible Kid d’Atef Attia.

L’invisible Kid d’Atef Attia.


28169254

J’ai découvert Atef lors de la sortie de son premier roman Sang d’encre. Un type sympa, talentueux et très généreux de son temps. J’avais aimé son roman – voir ma critique sur le lien suivant – critique de Sang d’Encre. Ce fut donc tout un honneur de pouvoir lire son nouveau roman intitulé « L’invisible Kid ». Il y a de ces écrivains au talent indéniable dont on ne se lasse pas. Il en fait partie.


Résumé du quatrième de couverture :


« Il y a des jours où Issour Danielovitch se sentirait presque devenir invisible. Entre un père despotique, des frères aînés absents, des ennuis de santé, les railleries de ses camarades et un premier amour tué dans l’œuf, il mène une vie plutôt mouvementée pour un adolescent de quinze ans. Une vie qui serait somme toute banale, mais c’était sans compter la cruauté et l’acharnement de certains de ses camarades qui poussent la farce un peu trop loin. Et lorsque leur dernier canular tourne au drame, ils ne se doutent pas de la force maléfique qu’ils déchaînent et qui changera la vie d’Issour à tout jamais. »


Mon Commentaire :


Un détail qui nous accroche dès les premières pages est cette capacité de l’auteur à nous rapprocher de ses personnages. Son talent de raconteur et l’intimité de ses propos nous offrent une perspective unique sur la vie du personnage principal. Le petit Issour, un gamin de 15 ans. L’écriture d’Atef se transforme à mesure que nous tournons les pages. L’analyse quotidienne de la vie du petit est un leurre, un appât séduisant qui flirte avec nos souvenirs de cette époque lointaine où nous étions nous-mêmes sur les bancs d’école. Comme le poisson qui mord à l’hameçon, les premières pages nous capturent, elles nous emprisonnent dans l’étroit tunnel de la désillusion. Qui ne revit pas occasionnellement ces moments de beauté propres à l’enfance et à l’innocence? Atef le sait et exploite notre mémoire, nos souvenirs de déceptions, de peurs, d’isolements ou de solitude. Tout ce qui fait de l’adolescence une période bien difficile pour beaucoup d’entre nous.


« La préméditation avait du bon. »

P.143

Dès que nous sommes prisonniers, imbibés des détails et personnages très réussis, il ouvre la porte sur nos peurs, nous libère de notre zone de confort, pour ensuite nous faire descendre les différents paliers menant à l’enfer fantastique de nos instincts de violence, de notre folie passagère.


C’est une balade en douceur sur les eaux calmes d’un lac, un ciel qui se couvre de nuages noirs, les vagues qui grossissent et la pluie glaciale qui tombe. Mais il est déjà trop tard, vous avez franchi le point de non-retour et vous ne pouvez que tanguer au rythme des moments intenses décrits par Atef.


« C’était une masse noire et amorphe qui semblait hésiter sur la forme à adopter. Une aberration en mutation perpétuelle. Elle était ici et ailleurs en même temps, comme un trou noir, une brèche dans un autre espace-temps remplissant l’air d’électricité statique qui hérissait tous les poils d’un Issour tétanisé. »

P. 133-134

Ma seule déception, même si ce n’est qu’une déception provisoire menant à un moment de joie est l’idée qu’une suite se prépare. Une suite qui éveille mes neurones et me permet de penser à tous les scénarios possibles. Une suite que je vais indéniablement lire.


Comme si le récit principal ne suffisait pas, il y a une petite surprise à la fin. Une nouvelle qui devrait bientôt paraître dans un recueil. Une nouvelle littéraire tout à fait différente du roman. Un texte qui nous transporte au Mexique, une histoire de séduction, de tromperie, de survie. J’ai aussi adoré.


Et, Monsieur Atef, comment ignorer vos références cinématographies ou littéraires. Je vous laisse les découvrir.


Les thèmes du roman :


Amour, enfance, abandon, vengeance, mort.


En conclusion :


Ben voilà, que faites-vous ici, allez vite vous procurez ce roman. Une des bonnes lectures de 2016.


Ma note :


9/10

Liens utiles :


Site de l’éditeur PopLibris


Site d’Atef


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Published on March 14, 2016 09:19

March 13, 2016

Rester concentré lorsqu’on écrit : parfois un vrai challenge !

Le problème de la concentration durant l’écriture…je connais….


Gaëlle Dupille


ecrire-premier-chapitre



Combien parmi vous se sont déjà dit : « Mais pourquoi suis-je sur Facebook depuis des heures alors que j’ai un roman à continuer » ?  »



J’imagine que vous êtes nombreux à aimer lézarder sur les réseaux sociaux au lieu de rester concentré sur votre histoire. Je me suis moi-même retrouvée plus d’une fois dans cette situation. Il faut dire que l’avantage, mais aussi l’inconvénient du « métier » d’auteur est de pouvoir gérer notre temps d’écriture comme bon nous semble. Vous en avez assez de progresser sur votre intrigue à la vitesse d’un gastéropode paralytique ? Vous avez besoin d’un peu de motivation pour vous pousser à écrire quotidiennement sans vous laisser distraire ?



Il n’existe pas de solution miracle, mais quelques outils peuvent s’avérer utiles pour vous aider -forcer- à rester concentré et à écrire votre roman/recueil/nouvelle/novella en un temps record.



ecrire-vite-L-sPeZYl



Et si vous commenciez par élaborer un plan, incluant…


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Published on March 13, 2016 08:53