Simon Vandereecken's Blog, page 3

ABBA Voyage

Je me souviens de la premi��re fois que j'ai entendu ABBA, c'��tait dans un trajet en voiture vers l'��cole, covoitur�� par la m��re d'un copain. Je me souviens que chaque morceau me s��duisait plus que le pr��c��dent, que chaque piste que je d��couvrais ��tait magique, entrainante et unique.

Depuis cet instant, les albums d'ABBA furent toujours les premiers �� ��tre ajout��s �� mon discman, mon lecteur MP3, Spotify, ... J'ai grandi en adorant ce groupe, sa musique entrainante, ce refuge qu'ils m'offraient et qui me redonnait le sourire quand la vie ��tait grise.

J'avais beaucoup d'�� priori sur l'annonce d'ABBA Voyage. Crainte sur ces avatars digitaux, sur le show en lui m��me, le prix, la n��cessit�� de voyager �� Londres, ... j'ai donc repouss�� pendant pas mal d'ann��es cette visite. C'est mon mariage qui a finalement ouvert la porte �� ce voyage, Londres venant clot��rer notre voyage de noces tardif (qui avait d��marr�� en Gr��ce).

Je ne sais pas expliquer l'��motion que j'ai ressenti durant ce show. Mais d��s les premi��res notes de The Visitor, ma gorge s'est serr��e et une larme a coul��e sur mon visage. M��me en ��crivant ce moment, l'��motion me reprend. Le show a ��t�� fantastique, terrassant toutes mes craintes et proposant un moment unique, au del�� de tout ce que je pouvais esp��rer au point qu'il est difficile de trouver les mots.

J'ai pass�� le concert �� sautiller, chanter sur chaque chanson, frapper des mains, tent�� de parler alors que ma voix ��tait ��cras��e par des sanglots de joie. Rien n'aurait pu surpasser ce moment hormis une machine �� voyage dans le temps pour m'amener en 1979 les voir vraiment en live.

Benny Andersson a toujours ��t�� un tr��s grand fan de technologique, et le show qu'il propose avec les trois autres membres d'ABBA est quelque chose d'absolument unique au monde qui leur survivra s��rement pendant de longues ann��es.

Le c��t�� cynique en moi ne pouvait s'emp��cher de dire qu'on assistait �� un film projet�� et non �� un concert live, mais il n'a pas r��ussi �� ��teindre la joie que l'enfant que j'ai ��t�� ressentait �� entendre ces morceaux, dans cet environnement.

Ce fut une ann��e charg��e en grand ��v��nements, j'ai pu voir Taylor Swift, Myl��ne Farmer et bien d'autres spectacles, mais ce Voyage a ravi la premi��re place, se pla��ant aux c��t��s de Starmania, autre p��pite de mon enfance.

Je ne peux donc conclure que sur cette recommendation: si vous avez l'occasion d'aller voir ce concert unique, foncez, vous ne serez absolument pas d����us. Et vous danserez encore des semaines apr��s.

Envies journali��res

Mon cher th��rapeute, que j'��voquais ici, m'a donn�� depuis quelques semaines un exercice �� l'allure assez simple: chaque matin, me fixer une "envie du jour" que je veux r��aliser, estimer si j'en ai l'��nergie et la r��aliser.

Ca parait simple non ? H�� bien je ne compte pas le nombre de jours o�� j'ai beau passer mon cerveau au peigne fin, je n'arrive pas �� trouver une envie en particulier.

D'abord je me suis fix�� quelques envies par rapport �� la nourriture. M'accorder d'appr��cier un pain au chocolat (ok j'ai perdu les toulousains, d��sol��), sans me juger, sans me faire de reproche. Ensuite il y a eu quelques envies li��es �� mes loisirs. Finir un jeu en particulier par exemple, ou un livre, une s��rie, un film, ...

Puis je me suis retrouv�� �� tourner en rond. Passant des journ��es sans envies particuli��res �� part retrouver monsieur, passer du temps avec mes amis, ... Des moments plus difficiles �� d��finir sans doute parce que je ne peux pas vraiment les marquer dans le temps, ils s'��talent, sont plus flous.

La seconde partie de l'exercice c'est de pr��ter attention �� ce que je ressens dans mon corps en vivant ces moments. Et c'est l�� que j'ai r��alis�� que j'ai une belle d��connexion par rapport �� mon corps tellement je n'arrive pas �� pointer des ��l��ments pr��cis. Entre mon SII qui provoque un mal de ventre constant et le d��ficit d'attention qui agite mes jambes, le reste de mon corps passe en second plan, masqu�� par ces "bruits".

Je me suis senti un peu perdu et on en a rediscut�� avec le th��rapeute. Premi��re bonne nouvelle, c'est apparemment normal de ne pas avoir "d'envie" tous les jours. J'avoue que ��a m'a soulag�� d'apprendre ��a, ��tant int��ress�� par beaucoup de choses mais pas vraiment passionn��, j'ai toujours eu l'impression d'��tre un peu fade face �� ces connaissances que je vois ultra investies dans des passions.

Puis r��aliser aussi doucement que parfois mes envies du jour r��sonnaient plus �� ma personnalit�� profonde. Que souvent l'envie du jour tournait autour des autres: profiter vraiment du moment avec mon mari, passer un chouette instant avec un ami. Ou au contraire profiter d'une accalmie, d'un moment plus cocon, hygge comme diraient nos amis du nord.

Je continue l'exercice, sans doute pas de la mani��re la plus appliqu��e, mais en prenant le temps de choisir une envie qui compte pour moi. Et d'apprendre en m��me temps �� rel��cher la pression et appr��cier parfois la simplicit�� et le quotidien.

Goodbye WordPress

Yesterday I decided to delete my account and contributions on both WordPress.com, WordPress.org and Gravatar following WordPress CEO actions in the last weeks. This ends around 15 years of using WordPress.

WordPress was one of my favorite tool to build almost anything and I found immense joy with it. However in the past weeks its CEO started to act like a bully going as far as stealing shamelessly other's people work.

I'd like to think Matt is the only one acting like this. But the true is that he's unfortunately not. I'm tired of CEO acting like high school bullies and exhausted of their ways of handling employees concerns through "like it or leave it policies" on the pretence of "aligning with a company culture". You can't build anything without discussion, neither can you build anything worth it by surrounding yourself of only like-minded individuals.

This last crop of CEO acting like despotic bullies are a curse on any company or product and won't lead to anything good. I hope that Matt Mullenweg will step down from WordPress, but if I have to infer based on several CEO's behaviour in the last months, it's highly unlikely.

In the meantime, I'm happy to have built my own little corner of the Internet and to be able to avoid using any of those maniacs tools. But it seems we open the floodgates to more and more unhinged power hungry people and I'm afraid of what's to come.

Petites connections

Apr��s trois ans �� la chasser, je viens enfin de mettre la main sur une bande dessin��e illustr��e par une ancienne amie de secondaire. Pendant ce temps, un de mes rares amis de mon bref passage dans les mouvements de jeunesse va sans doute devenir maire du village de mes parents. M��me quand ils ne sont plus dans nos vies, les gens laissent des traces <3

Voyage de noces, premi��re partie

On est �� la moiti�� de notre voyage de noces dans les Cyclades et je suis assez ��merveill�� des paysages qu���on d��couvre.

Le d��but du voyage a ��t�� un peu hard, mon corps me faisant ressentir la fatigue accumul��e et d��cidant de d��clencher d���un coup plusieurs affections pas vraiment joyeuses. Heureusement je suis majoritairement remis maintenant.

La rencontre avec Ath��nes a ��t�� surprenante. Si nous n���avons pas pu voir le Parthenon parce qu���il fallait r��server �� l���avance, ce que l���on fera �� notre retour jeudi, on a ��t�� profond��ment surpris par la taille de la ville vu du haut de cette colline. C���est la premi��re fois que j���ai ce sentiment de m��gapole immense, alors que la ville s�����tend dans tout l���espace entre les montagnes qui la ceignent.

Nous avons ensuite pass�� trois jours �� Santorin, ��le magnifique mais tout en falaises et pleine de monde malgr�� la hors saison. C���est aussi r��aliser peu �� peu que notre mani��re de voyage en gros city trips ��tendus, en se reposant sur centres urbains et transports en communs atteint doucement ses limites.

C���est aussi pour moi doucement apprendre �� voyager et d��couvrir sans me mettre la pression de devoir faire la check-list de tous les points �� voir. Nous avons s��rement manqu��s des choses sur l�����le, et tant pis! Quand je vois qu���apr��s y avoir ��t�� vingt fois j���ai encore des choses �� d��couvrir �� Londres, je vais arr��ter de me mettre la pression pour des vacances et profiter de cette parenth��se de calme �� deux �� recharger nos batteries.

Nous sommes pour le moment �� Pharos, beaucoup plus calme, beaucoup moins peupl��e, �� profiter de la plage d���une mer �� 24 degr��s o�� je retrouve le plaisir de me baigner, moi qui d���ordinaire d��teste la plage.

Les ��les sont rocailleuses, le soleil tape mais la brise marine vient rendre l���ensemble tr��s agr��able. Je m�����merveille du poids de l���Histoire qui nous entoure �� donner le vertige et retrouve mon ��me d���enfance en d��couvrant les liens entre Santorin et le mythe de l���Atlantide.

��a fait du bien d���un peu se poser par rapport �� la course qu���ont ��t�� les derniers mois, et si mon corps me l���a fait payer, je comprends un peu sa r��volte. Je vous laisse alors que nous allons aborder �� D��los, j���ajouterai sans doute des photos plus tard (sinon tout est sur Instagram!).

Maintaining relationships in the modern world

In my Internet errands came accross this article where the author points out the amount of sollicitation and notifications caused by nowadays social apps and networks and the impact on one's mental health.

While I partially understand this, there's a conflation really bothering me in the article between social medias expectations versus giving news to friends. People care about you, reach out to take some of your news, to see you, ... those are not social medias apps, those are human relationships waiting to be fertilised.

We all have our ups and downs, we all have some time when we want to shut the world down and do so. My problem lies when not answering for weeks (not talking about hours or days, weeks!) becomes part of your character and "just who you are".

And this is where I disagree with the author, there's a giant difference between the "always available" expectations of social medias apps and repeateadly waiting weeks to answer to a friend, the second being wanting to build / maintain / keep some relationship.

Not answering repeatedly is not "an answer", it's a clear sign you either don't care or don't want to entertain a relationship with the other person. You can't expect the other side to always be the iniating one if you value a relationship.

During the last three years I had to learn, the hard way, to give up on several relationships. Because I was the one maintaining them for years, always the one to reach out, trying to organise, giving news, ... I realised how deeply it hurt me that those friends never reach out. Not out of malice, but simply because they were, I quote, "bad at giving news".

I'm sad for the friends I've lost, I'm longing for some news from them, but the energy it took me to keep those relationships alive was just exhausting and slowly became a source of hurt of the years. And no friendship is worth this amount of hurt.

The reality is that a big part of adults are just bad a maintaining relationships. Is it increased by social apps and our smartphone? Perhaps. But it's also an easy culprit for one's behavior and an easy pass that I see used more and more.

Relationships are a two way streets, you can hide behind "I'm just like that" but don't act surprised when you end up alone in the end because you left all the weight of your friendships on the others.

And when people then come back after years of absence saying "why did you stop giving news?", I just want to shout "because you hurt me, time and time again, when I was trying to build something".

P.S.: There's a reason my favourite Pok��mon (and the only one I got as a tattoo) is Togepi, as its Pok��dex entry says: "As its energy, Togepi uses the positive emotions of compassion and pleasure exuded by people and Pok��mon. This Pok��mon stores up feelings of happiness inside its shell, then shares them with others."

Ralentir

Je travaille depuis peu avec un nouveau th��rapeute �� r��ussir �� reprendre contact avec mon corps. Apr��s plusieurs ann��es avec pas mal de troubles alimentaires et un rapport avec lui compl��tement ��clat�� au sol, je voulais r��ussir, alors que les quarante ans approchent �� grands pas, �� enfin ��tre un peu plus sympa avec moi m��me.

Les exercices ces derniers temps sont extr��mement centr��s sur le fait de ralentir et de me poser vraiment dans le moment pr��sent, surtout face �� la nourriture ou la boisson. J'ai r��alis�� �� quel point manger ��tait une obligation qui, m��me si j'appr��ciais souvent ce que je mangeais, ��tait vite exp��di��e, souvent en second plan.

De m��me je ne compte pas le nombre de verres que j'ai bus sans vraiment y pr��ter attention, et trop souvent plus pour ��pancher ma soif que pour vraiment appr��cier le breuvage. j'apprends doucement �� ralentir, lever le pied et appr��cier chaque gorg��e plus lentement, dans toute sa nuance.

J'apprends �� ralentir en mangeant, �� laisser toutes les saveurs s'installer, les comprendre et les d��couvrir. C'est marrant de me voir faire le chemin dans l'autre sens apr��s une enfance pass��e �� essayer de rattraper la famille de mon meilleur ami qui terminaient toujours leurs assiettes en un temps record.

Je r��alise aussi �� quel point j'avais ce besoin de ralentir et �� quel point mon esprit fuyait trop souvent l'instant pr��sent, perdu dans ses pens��es, ses souvenirs, ses projections. Manger c'est me forcer gentiment �� ��tre dans l'instant dans mon entieret��, ralentir c'est le savourer. J'ai encore du chemin �� parcourir, mais c'est des premiers pas dans la bonne direction

September 25th, 2024 - Br��ve

Fascinant de voir arriver sur Bluesky ces gens qui passent leurs journ��es �� d��verser leur bile raciste, homophobe et j'en passe. Je ne comprendrai jamais comment on peut vivre sa vie en ��tant �� ce point p��tri de haine.

Content de voir que les utilisateurs sont conscients des ��garements de Twitter et bloquent imm��diatement ces imb��ciles sans leur donner d'audience, ��a fait du bien.

Salem

Parce que, gr��ce au t��l��travail, on passe une journ��e �� deux, j'avais envie de d��dier un petit espace pour parler de mon formidable chat, Salem. Pr��c��demment nomm�� Yoda, mais comme il se fout de son nom, je l'ai renomm�� (et de toute fa��on il r��pond plus facilement �� pspspsps).

Salem est "un peu "sauvage et timide, il n'aime pas trop quand des gens sont de passage �� l'appartement (�� quelques exceptions pr��s) et file se cacher dans un recoin, sous un meuble, passant de temps en temps la t��te pour observer ces indigents.

Depuis le d��part de Fassbender, Salem est tr��s vocal, se lan��ant dans de grandes d��clamations quand il ne nous trouve pas dans l'appartement ou juste apr��s qu'il ait mang��. Depuis peu, j'ai fini par lui apprendre �� appr��cier d'��tre port��, chose qu'il s'est mise �� r��clamer, encore plus quand je suis en call en train de parler �� des coll��gues.

Salem a une fa��on "particuli��re" de r��clamer de l'affection, utilisant sa t��te comme un b��lier, ce qui peut mener �� quelques surprises si vous avez une tasse de caf�� bouillant entre les mains��!

Le soir il vient se blottir contre moi, acourrant d��s que je passe dans la chambre, se posant de tout son long contre ma jambe (car il n'a jamais ��t�� du genre �� se coucher sur les gens). Lors des siestes, apr��s avoir tent�� le b��lier deux ou trois fois, il va finir par s'allonger en face de moi et s'endormir lui aussi, de pr��f��rence la t��te pos��e sur mon bras.

Ayant une tr��s mauvaise m��moire des dates, je ne sais plus tr��s bien quand Salem est entr�� dans ma vie. Je sais que c'est �� peu pr��s au m��me moment o�� j'ai commenc�� �� bosser, ce qui fait que ce petit monsieur a au moins 14 ann��es r��volues.

Je rigole souvent en disant que Salem est ma plus longue relation avec un ��tre masculin, tellement il a tout travers�� avec moi, entre ruptures, d��m��nagements multiples, expatriations. S'il reste plut��t attach�� �� moi et farouche, c'est tout attendri que je le vois, �� travers les photos, rejoindre mon mari quand je suis absent.

Alors pour une fois j'avais envie de lui d��dier un petit espace par ici, parce que ces petites boules de poils ont une place gigantesque dans nos vies au final. Et que j'esp��re qu'il nous tiendra compagnie encore de longues ann��es !

Kill your darlings

Grandir c'est aussi voir tomber une �� une chacune de ses id��les. Ca a d'abord ��t�� la r��alisation qu'Isaac Asimov, bien qu'ayant ��crit des r��cits qui m'ont fait r��ver et voyager �� des ann��es lumi��res, ��tait aussi un bon gros pervers, et constater avec le recul (en souffrant la lecture de Pr��ludes �� Fondation), que ses ��crits ��taient quand m��mes bourr��s de bon gros passages libidineux bien lourdingues.

A suivi Roal Dahl qui s'est r��v��l�� raciste, antis��mite et j'en passe ternissant ��norm��ment une bonne part de la magie de mon enfance, berc��e par "James et la Grosse P��che" ou "Charlie et la Chocolaterie".

Ensuite ��a a ��t�� J.K. Rowling, qui avait enchant�� mon enfance, qui s'est rev��l��e ��tre une bonne grosse TERF, qui s'est arrang��e pour avancer masqu��e et paraitre mod��r��e au d��but et se r��v��le chaque jour de plus en plus insupportable. Elle qui aurait pu profiter d'une vie aur��ol��e de gloire finit par ��tre c��l��br��e quand elle ne dit enfin plus rien pendant 12 jours sur Twitter. Triste pour quelqu'un qui avait ��merveill�� tant d'enfants et s'��tait battu pour eux et la cause des femmes...

Puis Joss Whedon, qui avait cr���� une de mes s��ries favorite, s'est retrouv�� ��tre au final un immense connard et le set de Buffy ��tre un v��ritable cauchemar o�� les monstres n'��taient finalement pas les vampires.

R��cemment c'est Neil Gaiman qui est accus�� par plusieurs femmes, et plus je lis les t��moignages, plus mon idole perd de son lustre. C'est Nobody Owens, Dream et consorts qui en prennent un coup et mon adolescence qui s'assombrit un peu.

Des comme ��a il y en a encore plein Sans doute ai-je assimil�� la capacit�� de ces personnes �� me faire r��ver, voyager, �� me d��tacher du quotidien �� un status de sur-humain, les pla��ant sur un pi��destal. Et comme l'��voque Comicsblog dans son article sur Gaiman, c'est tr��s compliqu�� de regarder ses idoles en face et d'accepter qu'elles soient, comme nous, tristement humaines.

Dans un d��bat invitant �� s��parer l'oeuvre de l'artiste, je penche de plus en plus pour la s��paration nette et j'avoue d��velopper une profonde envie d'ignorer totalement la personne �� l'origine d'une oeuvre pour ne pas risquer de la ternir.

Parce que beaucoup de ces oeuvres sont les rares choses qui am��nent des couleurs dans nos vies et un peu d'espoir, mais qu'elles restent malgr�� tout r��alis��es par des ��tres faillibles. Et de me rappeler que ma petite mamie consid��rait Sinatra comme "un bel enfoir��" et Alain Delon comme "une petite crapule" et que finalement, elle avait sans doute bien raison (il faut toujours ��couter mamie).

P.S.: Gr��ce �� Alyx (que je vous invite �� suivre), j'ai rep��r�� deux trois soucis sur le blog qui menaient �� des RSS foireux. J'ai recod�� diff��rentes parties du syst��me de blog mais si vous voyez encore des soucis n'h��sitez pas �� me le signaler !