Hélène Louise's Blog, page 9
December 1, 2019
OFFRE DE NOËL !
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l’Avent a commencé ! Comme chaque année je vous propose une petite promo de Noël
Admirez mon bonnet de lutin (aussi connu sous le nom de bonnet de la honte
November 12, 2019
Verveine revient !
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« Verveine et l’équinoxe d’automne », victime de son succès, est en rupture de stock. Mais dès ce soir, mardi 12 novembre à 19 h et jusqu’au dimanche suivant, le 17 novembre à minuit, nous ouvrons, Caroline et moi, une nouvelle pré-commande
October 31, 2019
Le premier Halloween de Brocéliande
A l’occasion de la soirée d’Halloween, guidée par les souhaits de mes amis sur Instagram, j’ai écrit une histoire courte, « Le premier Halloween de Brocéliande ».
C’est une histoire de fantasy contemporaine, plutôt pour adultes, mais non déconseillée aux enfants !
Vous la trouverez en lecture libre, par ici.
Bonne lecture !
October 23, 2019
Verveine et l’équinoxe d’automne
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« Verveine et l’équinoxe d’automne », un roman jeunesse (dès 9 ans) de 133 pages, richement illustré (d’une cinquantaine d’illustrations couleur) est le fruit d’une étroite collaboration avec l’illustratrice, Caroline Millet (à droite sur la photo). Ce projet est né à l’automne 2018, l’idée d’écrire une histoire automnale, celle d’une petite sorcière, enrichie d’illustrations. Non pas un album mais un vrai roman, pour petits et grands !
Si la genèse de cette collaboration vous intéresse, vous trouverez deux articles le sujet : celui de Caroline, ici et le mien, par-là.
Les thèmes sont d’abord ceux qui nous tiennent à cœur à toutes les deux : la forêt, l’automne, la famille, l’amitié, les maisons pittoresques au fond des bois, la sorcellerie positive, les aventures enfantines, les animaux, les bonnes choses à manger – sans oublier les courges !
[image error]Le thème porteur de l’histoire est celui du dépassement de soi-même, non pas pour atteindre l’excellence, mais plutôt pour dépasser ses peurs, ses angoisses, juste un peu, suffisamment pour profiter de la vie et de ses opportunités.
Vous trouverez ci-dessous le texte de quatrième de couverture, quelques illustrations (pas toutes, il faut lire le roman pour les découvrir !) et quelques extraits.
Notez que le roman est pour le moment en vente exclusive sur le site de l’illustratrice, et que s’il est actuellement en rupture de stock il sera de nouveau en pré-commande très bientôt, courant novembre 2019 !
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Verveine, jeune sorcière de onze ans, vit heureuse au Bois Bruissant, auprès de ses parents et de son familier, un hérisson nommé Gédéon.
Son seul regret, plus douloureux à mesure que passent les saisons, est de devoir renoncer aux Rencontres Surnaturelles où sorcières et sorciers, garous, devins et devineresses, se retrouvent plusieurs fois l’an.
Mais cette année, tout est différent : Verveine est bien décidée à vaincre l’appréhension qui la paralyse et l’empêche de rejoindre la communauté surnaturelle.
Elle a en effet promis à son ami Byzantin qu’elle le retrouverait à la Rencontre de l’Équinoxe d’Automne, où ils feraient leurs preuves, elle en tant que sorcière et lui en tant que renard-garou…
(Extraits)
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« Le soir, je travaille ma magie. Papa et maman m’ont abonnée à : La Revue Officielle des Sorcières, Sorciers et Mages en tous genres, l’hebdomadaire Trucs et Astuces pour Sorts Délicats, l’Almanach de la Sorcellerie Moderne, Balai Magazine, Méditation et Magie Mineure, Nos Familiers et Nous, L’Art et la Manière d’Accommoder la Lune, au Courrier des Surnaturels des Bois et Forêts et, bien sûr, au RRRS – le Règlement Rigoureux des Rencontres Surnaturelles. »
[image error]« Avant d’aller plus loin, je vais profiter de votre attention pour faire une mise au point sur les baguettes magiques – outil indispensable à la pratique magique, si l’on en croit les on-dit. Dans la pratique, c’est assez différent, voyez plutôt.
Quand une sorcière ou sorcier met en place un sort, il doit se concentrer pour accumuler sa magie et la canaliser en un point de son corps, un point de convergence. Souvent c’est la main et n’importe quel objet long tenu (un morceau de bois, un crayon, une carotte, un tisonnier) aide à viser. Mais c’est parfaitement facultatif. En outre certaines sorcières ou sorciers focalisent leur magie par le pied, ou bien la tête, ou même le coude. L’almanach de cette année citait même Elerig Calburkec, sorcier du siècle dernier, qui jetait ses sorts par l’arrière-train et devait s’aider d’un miroir pour ne pas rater ses enchantements. (Mais comme cette anecdote datait du premier avril, je crois qu’on peut conclure à un canular). »
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Arrivée dans le cellier j’enfilai mes bottes et ma cape de pluie. Puis je me saisis d’une badine de merisier que papa avait laissée là et rassemblai en l’air mes courges multicolores, courgettes vert tendre, patidous crémeux, musquées argentées, potimarrons orangés, pâtissons blancs et dorés.
Avez-vous remarqué que certains légumes ont une figure ? Des irrégularités de leur peau qui forment des yeux, une bouche, une expression ? Eh bien, c’était le cas de cette mini citrouille, et son visage était particulièrement angélique.
Rendez-vous en novembre pour la nouvelle pré-commande du roman, par ici !
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September 3, 2019
L’écriture, c’est aussi beaucoup de relectures !
Pendant que @carofromwoodland mettait les bouchées doubles pour finir les illustrations de notre projet d’automne, le roman jeunesse illustré « Verveine et l’équinoxe d’automne », je continuais vaillamment mes relectures du manuscrit…
Je relis toujours beaucoup mes textes. Que dis-je beaucoup… énormément ! À la folie !
Quand un lecteur jette les yeux sur une des phrases d’un de mes livres, je pense qu’elle a dû être relue une centaine de fois. Par moi surtout, mais aussi par mes fidèles bêta-lecteurs, dont certains sont par ici sur Instagram @clementine.v @cureuilvairon @jean_de_le_bidet, merci mille fois
« Verveine et l’équinoxe d’automne », la genèse
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Verveine, jeune sorcière de onze ans, vit heureuse au Bois Bruissant, auprès de ses parents et de son familier, un hérisson nommé Gédéon.
Son seul regret, plus douloureux à mesure que passent les saisons, est de devoir renoncer aux Rencontres Surnaturelles où sorcières et sorciers, garous, devins et devineresses, se retrouvent plusieurs fois l’an.
Mais cette année, tout est différent : Verveine est bien décidée à vaincre l’appréhension qui la paralyse et l’empêche de rejoindre la communauté surnaturelle.
Elle a en effet promis à son ami Byzantin qu’elle le retrouverait à la Rencontre de l’Équinoxe d’Automne, où ils feraient leurs preuves, elle en tant que sorcière et lui en tant que renard-garou…
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« Verveine et l’équinoxe d’automne », un roman pour enfants dès 9 ans de 133 pages, richement illustré par Caroline Millet, sortira courant octobre 2019. Il sera en pré-vente mi septembre puis, en vente sur le site de l’illustratrice.
Pour tous ceux qui attendent avec impatience la sortie du dernier tome des Enfants de l’Hyphale d’or, ne craignez rien, je ne l’ai pas oublié, il sera bientôt terminé ! (la couverture est même déjà prête, réalisée comme toujours par l’adorable et talentueuse Amandine Labarre).
Après avoir écrit une demi-douzaine de romans toute seule, « Verveine et l’équinoxe d’automne » est mon premier projet commun. Car si Caroline est aux commandes des illustrations et moi du texte, les thèmes et les axes de développement de l’histoire ont fait l’objet de bien des cogitations et concertations !
Curieusement, je me rappelle très bien du moment précis où j’ai découvert le compte de Caroline sur Instagram. Ce n’était pas encore l’automne et je m’étais intérieurement exclamé « aucune importance, ce compte automnal est si joli, je ne veux rater aucune des ces inspirantes publications ! ». De fil en aiguille, au fil des mois et des saisons, Caroline et moi avons discuté, ici ou là, et sommes devenues amies. J’ai continué d’admirer ses belles photos, son talent pour créer une ambiance nature et épurée, et à profiter de son dynamisme. J’ai été ravie d’être témoin de son idylle renouée avec l’aquarelle et tout de suite fan de son coup de pinceau et de son univers.
L’année dernière, en fin d’été, alors que nous discutions du plaisir des lectures saisonnières, en particulier automnales et illustrées, Caroline m’a proposé de réfléchir à un projet commun. Flattée de sa proposition, enthousiasmée à l’idée qu’une de mes histoires puisse être illustrée par son talent, j’ai accepté sans hésiter.
Nous avons très vite constaté que nos idées et nos souhaits convergeaient joliment, que cette idée de créer un roman illustré nous séduisait sans partage, et décidé de mener ce projet à terme. Après quelques discussions, nous avons rapidement abouti à la conclusion qu’il nous faudrait beaucoup de temps pour le mettre en place exactement comme nous le souhaitions et décidé ainsi de le reporter à l’année suivante.
Nous avons ainsi pris le temps de réfléchir à l’histoire, à ses personnages, à ses thèmes, à ses axes de développement, pendant que Caroline crayonnait, cherchant le visage de Verveine, petite sorcière de onze ans.
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Certaines choses coulaient de source : une ambiance positive et sereine, une histoire adaptée à des enfants, même si nous savions déjà que beaucoup d’adultes seraient intéressés ! Une maison tarabiscotée dans la forêt, un petit familier – mais pas un chat ou un hibou, voyons… oui un hérisson ! Caroline voulait une petite citrouille, non pas en déco ou en soupe, mais en personnage : pas de problème, lui ai-je répondu, tu auras ta petite citrouille !
Peu à peu nous avons peaufiné les détails : le physique de la petite sorcière, son prénom (celui-ci a demandé plusieurs jours de réflexion et de tâtonnements, mais une fois trouvé nous n’en avons plus démordu, c’était le prénom, son prénom !), sa famille, son quotidien. Pour son meilleur ami, un garçon de son âgé, renard-garou de son état, le prénom m’est venu immédiatement, et très bizarrement, car ce n’est pas un prénom, du moins pas à ma connaissance ! J’ai ainsi proposé de le nommer Byzantin, et comme ça plaisait aussi à caroline, on l’a gardé
June 19, 2019
The Resurrectionist of Caligo – Wendy Trimboli and Alicia Zaloga
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I was absolutely delighted by this book, since the very beginning until the last page, and have already pre ordered the paper book. I’ll be very happy to read the sequel, and will certainly re read this one first.
Curiously it’s often easier to explain why some read didn’t agree with me than explain about my enthusiasm. I will thus start with a possible trigger for a random reader: corpses.
If the story is settled is a fantasy world, with magic, and not an uchronic one, the atmosphere holds a certain historical tonality, as the theme of Resurrectionists is based on a reality of the beginning of the 19° century in many European countries. The idea is to exhume illegally some corps to sell them to medical institutes, to allow dissections and learning. The character whom activity is to be a Resurrectionist isn’t indifferent to people, quite the contrary. His dream is to be a real doctor someday and he tries to survive and to train himself. His philosophy is that learning to protect and to treat the living is more important than respecting the dead – even if he’s never disrespectful or indifferent toward the corpse he used that way.
So if you believe in medecine and for caring for the living above all, and don’t mind (or even crave) frequent allusions to graveyards, corpses and death (nothing really gore, mind you) and if you’re not shocked because of some ethical convictions of yours, you’ll have all the chances to love this book as much as I did.
The story is very entertaining, a mix between social comedy, mysteries, criminal investigation and old grievances. The atmosphere isn’t dark, even if the themes are, but rather positive and heart-warming.
The characters are great, with colourful interactions, strong personalities but never stereotyped thanks to some clever nuances: the young princess, quite rebellious, is just dragging out things, she knows that she’ll have to marry the right person someday and not the one she’d have chosen. The young hero, intense and caring, is also impetuous and prone to premature judgement, and the perfect young man has quite a funny part. The relation between the main character and the little girl is wonderful, subtle, touching but never mushy, bittersweet and credible.
I also loved how the magic (rare and only reserved to the royal family, with assassination of all illegitimate children to guarantee the purity of the line) was treated: some rather weird and even a priori useless magic, but which have been very useful in specific circonstances. This point has driven the population to worship their royalties, alive and dead alike, in a colourful way.
Speaking of the past, the manner used to draw the background is faultless: if you’re an intolerant info-dump reader you’ll be delighted! Many hints and very short stories are told during the book, quite naturally, bringing all the required informations while painting a vivid and substantial background. Really outstanding writing.
One of my best read of the year, I’m looking forward reading more of the authors!
(I thank Netgalley and Angry Robot for sending me the ARC in exchange for my honest review)
June 8, 2019
Mystère – Marie-Aude Murail
Un petit livre adorable, mais une certaine déception…
J’adore lire des livres pour tous petits, certains sont même des coups de coeur pour l’adulte que je suis. Adorant l’autrice, Marie-Aude Murail, j’étais sûre d’apprécier cette petite histoire, aux ravissants dessins qui me rappelent ceux de Sempé, et en effet j’ai bien aimé. L’histoire s’amuse à s’inspirer des contes classiques, avec une pointe de Cendrillon, une pincée de Blanche-Neige, une larme de La Belle au bois-dormant, etc. La personnalité de Mystère est très bien vue, positive et inventive, pleine de malice, et modère bien l’horreur de sa situation, celle d’une enfant mal-aimée et rejetée par sa famille depuis sa naissance.
Ma déception est légitime : l’histoire n’est pas finie. D’abord elle s’arrête au milieu de l’histoire… est-ce une fin ouverte ? destinée à faire réfléchir l’enfant ? à lui faire inventer la suite ? Ensuite je me demande dans quelle mesure cette fin omise, qui ne rassure pas vraiment le lecteur sur le sort de la petite fille, et ne châtie pas les horribles parents, n’est pas pernicieuse pour un jeune enfant. J’aurais été très agacée et frustrée par ce livre si je l’avais lu à six ou sept ans !
Je comprends les éditeurs qui travaillent presqu’exclusivement avec leurs « auteurs maisons », d’ailleurs qui s’en plaindrait avec une autrice aussi talentueuse que Marie-Aude Murail, mais là c’est un peu se moquer du monde… Je doute fort qu’un tel manuscrit, envoyé spontanément, ait été accepté en l’état par l’éditeur ! On dirait une histoire bâclée, écrite sur un coin de table pendant le dessert…
Enfin, je me trompe peut-être, des spécialistes de la petite enfance sauraient, qui sait, m’expliquer en quoi cette histoire tronquée est utile à l’imaginaire de l’enfant… mais en attendant j’ai l’impression d’avoir lu une histoire feuilleton « suite au prochain épisode » !
June 6, 2019
Hunted – Sherwood – Megan Spooner
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~HUNTED ~
As soon as I saw this book I was seduced by the theme (a fairy tale retelling, so exciting!) and by the extraordinary beautiful cover.
By some cosmic and rather unusual chance, I wasn’t disappointed in the end but wildly enthusiastic!
The strong points are speaking for themselves:
A classical narration, rather literary and very fluid, with credible characters and not – a frequent flaw in much YA recent best-sellers – modern characters introduced in a historical or magical world. As an exemple Yeva (named Beauty by her father), a young girl living in medieval Russia, is much more tough then we are. She doesn’t mind cold, she loves her dogs but also passionately loves hunting (she respects wildlife but doesn’t have any qualm about killing animal to survive, doing it sparsely and respectfully), what she prefers above all is spending days in snowy woods, where she’s perfectly able to survive without nothing more than a bow, a warm cape and some few things to make fire and treat small wounds.
Her predilection for coldness and snowy woods is really convincing, even if you prefer green and sunny meadows!
The second strong point is actually the personality of the retelling. This book is a retelling of Beauty and the Beast (no spoiler there!) but it isn’t at all a Disney version. Quite the opposite as it’s much inspired by Russian folklore, with a clever twist.
These qualities reminds me of Juliet Marillier’s wonderful books, especially Daughter of the Forest, which is the same kind of clever and personal fairy tale retelling.
An other quality is the subtlety of the Beast treatment. The duality between humanity and bestiality is cleverly showed along the story and the relation between Beauty and the Beast evolves very naturally and credibly from a violent situation toward tolerance, compassion and comprehension.
For this aspect I was something thinking about Sunshine by Robin McKinley while reading « Hunted ».
To conclude a very romantic story but not a rosy one: a truly romantic one, as only intelligent and wise stories can be.
(If you loved Juliet Marillier’s books you’ll probably loved this one too. And on the other hand… well, you know ^-^)
~ SHERWOOD ~
I was waiting for this book with great trepidation, having loved « Hunted » by the author and hoping for another miracle (the book as good inside as it’s beautiful outside ^-^).
By chance, I wasn’t disappointed : « Sherwood » was a wonderful read, with strong messages woven in it and a beautiful atmosphere.
First of all, you must know that it’s not a Robin Hood classical retelling, as a jolly story of Robin and his friends, with a woman instead of a man. The story is much more subtle, and grave. The underlined feminism isn’t overly simplified and can easily be transposed in a society where woman are supposed to present some precise feature and disposition to be considered feminine and attractive – as in ours.
The first part of the book is hugely centred around mourning and loss. Robin, Marian betrothed and best friend, is dead. Marian lives in a world where women have few rights and where who they marry will definitively affect the rest of their lives. Marian loved Robin and Robin loved Marian. It didn’t mind that Marian was always the best, the more accomplished at men’s arts, as archery. Robin was proud of her and happy to encourage her to be who she was, a tall and capable woman.
As the story unfolded, we understand more and more about the tight relation between Robin and Marian, through short flashback, well handled (I’m not a huge fan of flash-backs, so they need to be good, easy to read and useful!).
Marian doesn’t run away in the forest, « Yippee, I’m Robina Hood, I’m going to be the new heroine of the poor and oppressed! » No. The story is written in a credible way for the era; Marian loves her father, is respectful, and entirely aware of the risks to behave in a no womanly fashion. She realises that the death of Robin also meant the death of her futur and tries to survive in the new reality she’s been thrown in. When she’s led to help some people and takes some decisions, taking some huge risks, she also makes tremendous efforts to stay inconspicuous. She never decides, for instance, to take Robin’s place, the events occurs one after and other, always for good reasons and lead her to be, for some time, Hope for the poor and oppressed – as Robin’s ghost.
For all its gravity, « Sherwood » isn’t a sad book, and have its part of optimism, with a good ending for soft hearts as I have. The atmosphere is very romantic, in a literary, credible and insightful kind of way, you wouldn’t find any stereotypes (especially no Young Adult stereotypes, alas more and more frequent).
If you liked being surprised, you probably would be, the final twist is quite good and absolutely in harmony with the book tonality and the heroine’s personality.
A fantastic read, a book I know I will read again!
Now, next please
May 27, 2019
Pawsitively Poisonous – Melissa Erin Jackson
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This book was rather a deception for me. I love urban fantasy, I love cosy mysteries and I love cats, but I still wasn’t charmed by this story. On the bright side I read the book rather easily, the sign that many readers may like it more then I did.
The main characteristic of the book is its settings: an imaginary little town (well I except it’s imaginary) where all streets and shops have names with cats’ puns. It supposed to be sweet and charming, I guess, but I’m rather ashamed to say that I find it irritating and a little bit silly. Furthermore I often had the impression of a murder story in a small town mixed with a chicklitt romance – without romance which hold a weird tonality (even is some parts sounded oddly like romance where it couldn’t/shoudn’t have).
The witch part was very good in the beginning, I love the idea of bewitched toys, but I was frequently startled the compulsion of the heroin to drug everybody around her to manipulate their emotions and make them do, or say thinks they wouldn’t have want to do or say, or even falling asleep without being able to awake for hours. Morally wrong and potentially dangerous. Of course the excuse is that she must do that do find her friend murderer; and if she really must, I’d admit her techniques more easily. But the problem is that I never could suspend by disbelief about her legitimacy to meddle in an investigation that hadn’t even began. And when she finally has, she makes very absurd decisions, information retention and speaking mindlessly to people around her! In the end, if the murder mystery was neatly solved, and satisfying, it wasn’t a difficult case at all, and the police would have found the murderer quickly and easily. The heroine intervention was completely superfluous logically speaking (yes, I know, without her there wouldn’t have been any story).
Still, the writing is pleasant and the main character interesting, so if you’re not as an hairsplitter than I am, if the premises of the book appeals to you, you may appreciate it much more than I did.
(I thank Netgalley and Ringtail Press for sending me the ARC in exchange for my honest review)