Lancelot Cannissié's Blog, page 9
May 30, 2018
Primal fear and other tales
Will you let the statuette and its curse scare you? Would you rather inquire with the detective Maurel? Or would you dare break the rules and enter the forbidden attic? You can also find courage in visiting the funfair where terrible things seem to happen.
No matter where you are, you cannot escape the monsters born from the shade of my pen.
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Good afternoon everyone!
Today I’ve decided to write this article in English. The reason for that is pretty simple: I am here to announce that the translation of my book is over and that Primal fear and other tales is now available on Kindle.
I think it is a better version of the book because I was able to correct some of the mistakes I made in the French version and to embellish some of the phrases and expressions in the text. I also opted for a new cover that I think is a more suitable representation of what the book is about, mystery, fear of the unknown, opening doors to new threats, etc.
I sure hope you’ll feel interested in discovering and reading it
I’m leaving you with a quote from one of my favourite stories: Carnival Massacre
While our five friends were sleeping soundly, on the other side of the street, a man leaning against a street lamp was staring at the window which, a quarter of an hour earlier, was bathed in the sweet light of a halogen lamp. And as he was watching, a smile appeared on his face showing two sharp teeth. He had a dark look, he who has not been blessed by nature, because he felt resentment for all those perfect men and women whereas he was deformed since birth.
May 10, 2018
Père, fils et relation spirituelle
Bonjour à toutes et à tous
Aujourd’hui j’ai décidé de traiter un sujet lourd : ma foi !
Je fais partie de celles et ceux qui croient qu’une force spirituelle transcendante à notre monde nous surveille. J’ai ce sentiment d’un regard posé sur mes frêles épaules de pauvre mortel.
Je me suis souvent dit en regardant les étoiles et en considérant l’univers et sa perfection qu’il n’y avait pas de place pour le hasard en ce qui concerne notre monde. Il y a bien sûr certaines choses auxquelles j’ai du mal à adhérer mais dans l’ensemble je crois. Oui je crois à ce père spirituel à qui depuis encore récemment j’aime me confier. Il me soulage des maux que j’ai sur la conscience.
Je sais que j’ai commis pas mal de fautes, de bêtises et que par conséquent je ne suis pas le plus digne des fils, mais j’ai également toujours fait au mieux pour faire le bien autour de moi.
Je sais que les sceptiques me demanderont comment je peux être si sûr, et à ceux-là je répondrai : je ne le suis pas. Mais n’est-ce pas cela avoir la foi ? Croire en l’impossible et l’improbable ?
Je dois aussi vous faire part de mes craintes car je ne suis pas certain de mériter entièrement sa miséricorde. Je n’ai honnêtement pas entretenu cette relation père-fils comme je l’aurais dû. J’aimerais s’il me lit, qu’il me pardonne mes offenses ainsi que les torts que j’ai pu, sans le vouloir, causer autour de moi. Car j’ai créé par le passé un démon du nom de Nightsoldier, qui me hantera et qui continuera à hanter certains et certaines. A eux, je tenais à demander pardon.
Voilà, aujourd’hui je voulais vous dévoiler encore quelque chose qui me pesait.
Et vous, quelle est votre relation à Dieu ? Y croyez-vous ?
Dîtes le moi en commentaire.
May 9, 2018
Un mouton noir ? Où est ma jeunesse ?!
J’écris cet article pour me dévoiler un peu plus.
Aujourd’hui, j’ai donc décidé de vous faire part de mes traumas de l’enfance.
Cela a été jusqu’au lycée, j’étais ou plutôt je me sentais comme le mouton noir, si différent et rejeté. Mis à l’écart du reste, dans cette répugnante solitude je me suis forgé cette bulle dans laquelle je me sentais à l’abri.
J’ai toujours pensé, à tort certains me diront, que j’étais le seul coupable, le seul responsable. Je m’étais créé cette mentalité de défaitiste qui a rongé mon enfance. Des mots tels que je suis nul, ou bien je suis moche, ou encore le fameux je n’y arriverai jamais. Ces mots n’ont cessé de résonner en moi, et assourdissants, je n’entendais qu’eux.
Il a fallu ces séances de psy pour que ma vision floutée par le manque de confiance en moi devienne plus claire, plus affûtée. J’ai appris à me moquer de ce que les gens pouvaient bien penser, tant pis si j’étais différent. Qu’y a-t-il de mal à cela ? Et puis au fond j’aime le noir. J’ai donc décidé de briser cette bulle qui m’empêchait de m’épanouir et de croquer la vie à pleine dent. Aujourd’hui, je ne me sens plus seul. Il ne manque plus que la femme qui voudra bien partager ma vie.
Et vous, vous est-il déjà arrivé de vous sentir différents, rejetés ?
N’hésitez pas à me faire part de vos expériences.
May 8, 2018
L’amour au premier regard : un amour véritable ?
Il est vrai, et j’en ai souvent fait l’expérience, que l’on peut être attiré par une personne lors d’un premier regard, d’une première impression. Il suffit de peu : un joli minois, une certaine élégance vestimentaire pour que l’on tombe sous le charme. Cet état est ce qu’on appelle le coup de foudre, un sentiment qui frappe vite et sans prévenir comme l’éclair, d’où son nom. On se surprend à désirer l’autre. Mais peut-on vraiment parler d’amour ? N’est-ce pas une simple attirance passagère?
Je sais qu’n coup de foudre peut devenir par la suite un amour véritable, mais il n’en est pas un. L’amour véritable ne se construit pas sur une simple observation mais se développe, s’entretient au fil du temps. Le coup de foudre n’est que l’élément déclencheur d’une suite d’évènements qui peuvent, ou non, conduire à cet amour véritable.
J’ai souvent pensé qu’il était plus facile de tomber sous le charme que de tomber amoureux et cela pour diverses raisons. C’est que l’amour , lui, demande plus de courage car il exige de se mettre à nu, de se découvrir. Il s’agit aussi d’affronter la peur du rejet, de savoir faire le premier pas. Il est vrai que se prendre le fameux râteau fait mal. Pourtant le risque vaut le coup, car il mène au bonheur auquel chacun aspire.
L’amour au premier regard, un véritable amour ?
Non mais il ne tient qu’à nous qu’il le devienne.
April 27, 2018
Ma PAL de Mai + Adresse pro
Bonjour à toutes et à tous !
Aujourd’hui, j’ai décidé pour la première fois de vous partager ma PAL. Je commence donc par celle du mois de Mai.
Cette PAL n’est certes pas très grande vu qu’elle se résume à quatre livres. Le fait qu’elle soit si petite est dû à ma lenteur quand il s’agit de lire. En effet, je dois avouer que je ne suis pas le plus rapide dans ce domaine et que je préfère prendre mon temps à la lecture. Je dois aussi avouer que je suis plus écrivain que lecteur et que la majeure partie de mon temps je le passe à écrire mes histoires. Cependant, aujourd’hui, j’ai décidé de me remettre à jour dans mes lectures.
C’est pour cela que je vous présente les livres qui constitueront cette PAL de Mai.
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Nous commençons donc par deux romans d’Agatha Christie, mes premiers de cette auteure avec Le crime de l’Orient Express et Dix petits nègres. J’ai toujours suivi les fameuses enquêtes du célèbre détective belge Hercule Poirot à la télé mais je n’en avais jamais lu les livres. J’ai également choisi Dix petits nègres car le résumé me faisait de l’œil et parce que il se trouvait juste à côté du premier :’)
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Ensuite, j’ai choisi un thriller de Preston & Child, deux auteurs de romans à suspens que ma mère m’a fait découvrir et que j’ai commencé. Pour résumer l’histoire, il s’agit de celle de Nora Kelly, stagiaire à l’institut archéologique de Santa Fe. Un jour, elle décide de se rendre dans le ranch familial qui a été vandalisé. Là, elle se fait agresser par quelque chose qui lui réclame « la lettre ». Nora la découvre, une lettre écrite par son père quinze ans plus tôt. Cette lettre va la conduire sur les traces d’une ancienne cité amérindienne. Nora y organise donc une expédition mais elle n’y découvrira que horreur et mort.
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Nous terminerons enfin par Le bazar des mauvais rêves du maître de l’horreur Stephen King. Là, je plonge complètement dans l’inconnu car je ne sais absolument pas de quoi ça va parler. Mais bon, c’est de l’horreur, c’est du King donc j’ai bon espoir.
April 12, 2018
Schizophrénie
La schizophrénie est une maladie qui je pense est assez mal comprise, notamment à cause de certaines fausses images que véhicule la fiction.
Ici la réalité est tout autre. En effet, pas de double personnalité comme on veut bien nous le montrer dans les films. Celui qui reste tout de même proche de la réalité est « Un homme d’exception » avec Russel Crowe.
Le schizophrène est le plus souvent sujet à des hallucinations (visuelles, auditives et voire même olfactives) et une dissociation d’idées (pensées délirantes). Le sujet a aussi du mal à s’organiser dans les tâches du quotidien ou encore à comprendre ses émotions.
Il existe plusieurs formes de schizophrénie. Celle dont je souffre s’appelle schizophrénie paranoïde. Elle se manifeste le plus souvent par des hallucinations auditives et des délires paranoïaques, ou bien une illusion de grandeur. La maladie se développe en règle générale à l’âge adulte et peur se déclencher suite à un traumatisme. Elle peut également résulter en un manque de confiance en soi et d’estime de soi avec des pensées rabaissantes.
Ne pas écouter ces pensées reste un travail assez ardu et demande énormément d’efforts et d’énergie. Aussi la prise en charge est primordiale si le sujet ne veut pas devenir un danger pour lui-même (pensée suicidaire) ou pour les autres.
April 10, 2018
Faire vivre la peur
La peur est un sentiment qui est soit instantané soit constant.
Il existe la peur à laquelle on doit faire face lors d’une situation donnée ; le plus souvent pour prévenir d’un danger et qui se déclenche à un moment bien précis.
Il y a aussi ce que l’on appelle phobies et qui restent ancrées en nous comme les moules sur un rocher.
Que ce soit l’une ou l’autre, elle procure en nous une réaction physico-chimique telle une abondante suée, des tremblements, une gorge sèche.
Bien évidemment, ce sentiment reste assez complexe et est difficile à faire transparaître dans une histoire. Il est en effet assez compliqué de jouer avec une émotion qui diffère et reste propre à tout un chacun.
Même si on tente par tous les moyens d’insuffler cette peur à une audience, un lecteur au travers de descriptions, champs lexicaux et dialogues, etc… il n’est jamais certain que cette peur puisse être transmise et ressentie de la même manière et reste indépendante de la vision que peut se faire le public.
La poésie et les humeurs
La poésie véhicule un message, une pensée pas par ses rimes mais par sa musicalité. Le rythme peut être rapide et enjoué comme il peut être lent, soutenu et monotone. Ces changements peuvent parfois s’opérer au sein d’un même poème, en accord avec nos humeurs. Les rimes, quant à elles, servent à apporter et maintenir une certaine harmonie, se refusant à une pensée qui se voudrait chaotique et amenant de la précision dans le discours.
Les émotions peuvent être mises en lien avec certains éléments extérieurs aux sentiments profonds qui constituent la psyché de la personne écrivant ces poèmes. Le plus souvent il s’agit de la nature, comme par exemple un temps pluvieux, une tempête peuvent symboliser un événement triste ; tout comme la représentation d’une journée ensoleillée, printanière, en fleur peut symboliser la joie de vivre, l’amour, etc. Ce sont ces éléments externes qui apportent une licence poétique aux textes.
Tout ceci ne reflète, bien sûr, que ma vision de la poésie et ne s’applique pas nécessairement à tout poète. En poésie chacun reste libre de faire passer un message de la manière qui lui est propre, en jouant avec les mots de façons bien distinctes.
April 9, 2018
Ma vision de l’écriture
Il existe, selon moi, deux manières de raconter une histoire.
La première est plutôt intuitive et automatique, et ne requière pas de préparation préalable. L’auteur pose les mots tels qu’ils lui viennent à l’esprit. C’est une méthode qui peut être utile si on mise tout sur l’action externe et non interne (psychologie des personnages, descriptions). L’auteur s’attarde plus sur le déroulement de l’histoire que ce qui la compose.
La deuxième manière d’écrire se veut d’être planifiée. C’est la méthode qui est le plus souvent utilisée lors de l’écriture d’un très gros roman où l’auteur va plus miser sur les effets de styles qui composent l’aspect descriptif des lieux et des personnages. Il y a en effet un vrai travail de recherche.
En ce qui me concerne, j’aurais plus tendance à écrire de manière instinctive, misant mon travail sur des actions plus spontanées et courtes avec de très légers effets. J’ai également tendance à mettre de côté le développement psychologique des personnages dans les descriptions et développe leurs caractères dans leurs actions.
Cependant, si je devais écrire une histoire plus longue, j’opterais pour la deuxième méthode.
March 20, 2018
L’île du bout du monde et autres univers
Auteur : Lancelot Cannissié
Edition : Amazon autoédition
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Résumé :
J’ai toujours eu l’intuition que nous n’étions pas seuls dans le vaste cosmos et que les étoiles nous observaient. Que ce soit le vieil Henri Preston, John Herbert ou bien encore le jeune écrivain William Hepburn ; tous nous ont ouvert les portes d’un monde qui je le crois n’ai pas prêt de se refermer, laissant la Terre à la merci de créatures venues de cette dimension et de l’autre.
Bonjour à toutes et à tous !
Aujourd’hui je vous retrouve pour vous parler de ma nouvelle œuvre que j’ai intitulé « L’île du bout du monde et autres univers« .
Il s’agit là encore d’un recueil de trois nouvelles de science-fiction faisant une quarantaine de pages chacune. Il se compose des histoires suivantes :
L’île du bout du monde où un pauvre marin se voit percer les mystères d’un monde parallèle, porte ouverte à des créatures qui apporteront malheur sur les épaules de l’homme.
La montagne aux milles yeux qui se passe sur la planète d’une galaxie lointaine et qui s’appelle Calium 3000. Une planète où le danger rode et vous guette jusqu’à vous en faire perdre la tête.
Puis Au-delà de l’azur, vous découvrirez un tout autre univers dans les filets duquel sera attrapé l’écrivain en mal d’inspiration, William Hepburn.