Lancelot Cannissié's Blog
June 20, 2025
La place de la femme dans la Bible
L’homme au cours de son histoire a souvent interprété par lui-même les écritures pour sa propre gloire et son propre avantage, cherchant même souvent à justifier un patriarcat qui efface et amoindri la femme.
Mais qu’en est-il réellement ?
La place de la femme dans le foyer :
Tout d’abord je vais mentionner L’épître de Paul aux Éphésiens et donner quelques éclaircissements.
Dans Éphésiens 5 :22 Paul dit : Femmes, soyez soumises à vos maris, comme au Seigneur. Il est intéressant d’observer la tournure de phrase. On aurait pu écrire : Maris soumettez vos femmes, mais ce n’est pas le cas.
Dans cet épître, Paul compare la relation homme/femme à la relation Christ/Église. Il ne s’agit pas là d’un rapport de force, mais d’une soumission de respect et de confiance, la femme décide de s’abandonner à son mari. La phrase, elle-même suggère un consentement délibéré.
Seulement, Paul dit aussi indirectement que l’homme doit aussi aimer à sa femme. Si l’homme est comparé au Christ alors son rôle est d’aimer et d’être prêt à tous les sacrifices pour sa famille.
Éphésiens 5 : 25 : Maris, aimez vos femmes, comme Christ a aimé l’Église, et s’est livré lui-même pour elle.
Le mari est placé à la tête de la famille car aux regards de Dieu il en a la responsabilité. Il ne doit pas être un leader dominant mais quelqu’un qui se place au service de sa famille.
La femme et le travail
Pareil pour le travail..
Si au cour de l’histoire, l’homme a voulu justifié sa domination sur la femme même dans la sphère du travail pour certains, cela n’est qu’un interprétation détournée des écritures.
La Bible elle-même possède ces femmes qui travaillaient : Débora était prophétesse et juge, Ruth travaillait dans les champs, Lydia était marchande, ou encore Priscille qui était enseignante.
Dans sa lettre Mulieris Dignitatem ; Jean-Paul II écrit : La femme ne peut pas être seulement objet de travail ou seulement mère ; elle doit pouvoir concilier ses fonctions.
Là où l’homme abaisse, l’écriture même élève.
Proverbes 18 : 22 : Celui qui trouve une femme trouve le bonheur ; c’est une grâce qu’il obtient de l’Éternel.
Toute grâce s’entretient avec amour et respect.
Et je mentionne aussi Genèse 1 : 27-28 : Dieu créa l’homme à son image, il le créa à l’image de Dieu, il créa l’homme et la femme. Dieu les bénit, Dieu leur dit : soyez féconds, multipliez, remplissez la terre…
Je vous invite à lire la suite mais ici on comprends que l’homme est placé sur un pied d’égalité avec la femme dans la création.
Je sais pas si j’ai omis des choses mais voilà déjà deux points essentiels qui j’espère réconfortera sur des idées préconçues.
Dites moi ce que vous en pensez.
April 22, 2025
Vivre la foi comme un combat
Vivre la foi, ce n’est pas seulement croire. C’est lutter. Lutter contre soi-même, contre ses penchants, contre une nature humaine blessée par le péché originel. Ce combat intérieur est exigeant, mais nécessaire pour retrouver la communion avec Dieu. Et surtout, il ne peut être mené seul.
Une nature blesséeDepuis la chute, l’homme ne tend plus naturellement vers le bien. Il est tiraillé entre l’appel de Dieu et les désirs du monde. Cette blessure ne rend pas l’homme mauvais, mais désordonné. Reconnaître ce désordre, c’est prendre conscience de notre besoin profond de salut et de réorientation.
Un combat intérieurLe croyant lutte contre lui-même : contre l’orgueil, la paresse, l’attachement au péché. Ce combat n’est pas vain. Il purifie, recentre, libère. La mortification n’est pas un rejet du corps, mais un retour à l’ordre voulu par Dieu. Elle transforme le cœur et renforce la foi.
La force vient de DieuAucune victoire spirituelle n’est possible sans la grâce. L’Esprit Saint agit en nous, souvent dans le silence, pour nous relever et nous guider. Le croyant apprend à s’appuyer non sur sa volonté seule, mais sur Dieu, source de toute force véritable.
Le rôle de la communautéLa foi se vit avec les autres. La communauté soutient, encourage, relève. C’est un lieu de prière, de partage, de fraternité. Même imparfaite, elle est un don essentiel pour traverser les épreuves du chemin spirituel. On ne se sanctifie pas seul.
Un combat qui mène à la joieCe combat n’est pas une punition, mais un chemin vers la vraie joie. La paix profonde née de la fidélité à Dieu dépasse tout ce que le monde peut offrir. Ce n’est pas la facilité qui donne du sens à la vie spirituelle, mais la fidélité dans l’épreuve.
Marcher avec Dieu, c’est lutter avec Lui. Et c’est là, dans ce combat quotidien, que naît la sainteté.
March 18, 2025
La foi : l’obtenir et la cultiver
Bonjour à tous !
Aujourd’hui, je vais vous parler d’un sujet important pour toutes celles et ceux qui désirent entrer dans la religion chrétienne (celle dont je fais parti) : il s’agit de la foi.
Mais qu’est-ce que la foi :
Pour un chrétien, la foi est avant tout un lien de confiance que l’on tisse avec le Christ qui nous révèle par sa parole Dieu, en l’acceptant comme vérité, et observant ses commandements comme étant justes et bons.
Elle s’obtient donc avant tout par une relation directe avec Dieu ; je dois chercher à le connaître.
Mais comment le connaître dans un monde d’opinions divergentes où l’on peut entendre des discours divers et variés, finalement comment savoir qui est réellement Dieu : tout d’abord par ce que le Christ lui-même par sa parole et sa vie publique nous en a révélé.
La foi ne saurait être donnée par l’homme même qui est imparfait. Surtout que dans les faits, même un chrétien ne reflètera pas nécessairement de manière juste et fidèle l’image même de Dieu.
La foi s’obtient donc directement auprès de lui, en le détachant de l’homme : Dieu est parfait, l’homme est imparfait ; Dieu est bon, l’homme est divisé et dans sa division il est mauvais.
En dissociant l’homme de Dieu, et en apprenant à voir toute chose et vérité à travers le spectre divin, notre conception des choses changent.
Par expérience personnelle, j’atteste ne pas être revenu par les hommes vers le Christ mais par simple circonstance.
J’ai même eu du mal avec l’église (en tant que lieu) pendant des années, sujet à de fortes angoisses. J’y suis retourné car mon frère faisait sa première communion et que par amour pour lui, malgré mes réticences, j’ai voulu l’accompagner. C’est là que j’ai redécouvert le Christ, Jésus et ce qui m’a été révélé.
Le danger, aujourd’hui, c’est la méconnaissance directe de Dieu et la confiance abusive non pas en lui mais en l’humain, par manque de discernement.
Beaucoup de Chrétien croient juste, ils appartiennent au corps de l’Église, mais pas à l’âme (manquement au sacrement, tiède dans leurs pratiques : que ce soit la charité ou la prière). Et c’est aussi là le danger ; car si on a pas ce lien avec Dieu, dans ce cas qui parle à travers eux ?
Dieu est bon, juste et aimable, il parle toujours dans le calme et le zèle, jamais dans l’agitation, il ne se veut pas excluant mais incluant, il apporte paix et sérénité. Si vous ne ressentez pas tout ça quand vous discutez avec autrui, ce n’est pas bon et dans ce cas mieux vaut s’éloigner.
Il faut donc connaître Dieu, avant tout par lui-même et pour lui-même, à travers les évangiles notamment. Il vous révélera le vrai du faux, le bon du mauvais.
Conclusion : la foi ne s’obtient pas par une confiance aveugle et non réfléchie en l’humain mais par le lien que l’on tisse directement avec Dieu, par la communion et la prière.
Je vous dit tout cela sachant que je ne suis pas non plus infaillible, c’est pour cela que je vous renvoie vers les évangiles et à vous renseignez aussi après du catéchisme.
Ici je me concentre sur la foi, mais j’explorerai d’autres sujets dans un avenir prochain.
January 18, 2025
Histoire d’une conversion
Je suis né dans une famille croyante, baptisé dès la naissance.
Pourtant, malgré cela, je n’ai pas eu cette chance d’avoir une réelle proximité avec le Seigneur (c’est à peine si on allait à la messe à part pour les grandes occasions (allez savoir pourquoi)).
Cette non-proximité m’a valu de prendre des chemins détournés, et j’ai fais des choix dans la vie qui m’ont éloignés de plus en plus.
Je connaissais brièvement Jésus, mais pour moi ce n’était qu’un nom parmi tant d’autres.
Malgré cela, je ressentais que quelque chose n’allait pas dans ma vie, que j’étais toujours passé à côté de quelque chose d’essentielle.
Je me suis toujours douté que quelque chose clochait quand même le bâtiment me repoussait (j’avais du mal à rester dans une église 5 minutes).
Puis, un jour, lors de sa première communion, j’ai suivi mon frère. Je découvrais alors une messe que je n’avais jamais connu auparavant, moins austère, avec ces chants en latin, grégoriens, cette liturgie qui rapproche davantage de Dieu.
Alors j’y suis retourné encore et encore, et je ne crains même plus ce lieu, je l’aime.
J’y ai redécouvert le Christ que j’avais toujours ignoré.
Ce Christ qui s’est fait homme afin de pouvoir donner son sang sur la croix pour nos péchés, lui qui était innocent et qui par amour a accepté de prendre sur lui les fautes de l’humanité et racheter ainsi notre dette, nous ouvrant les portes de la vie éternelle.
Lui qui a souffert toutes les offenses possibles, qui s’est fait humilié pour nous et qui pourtant n’a jamais cessé de nous aimer.
Aucun humain sur Terre n’aurait eu cette force ; quand on voit le monde, l’homme aurait maudit les persécuteurs pour une grande partie.
Je serai toujours convaincu que seul Dieu pouvait faire ce miracle.
Je ne suis certes pas parfait, mais aujourd’hui je connais le chemin, et même si c’est parfois difficile, je sais que le Seigneur m’accompagne, que je ne marche pas seul.
Je crois car seul Dieu peut convertir comme il l’a fait. Passer du malaise à l’envie soudaine d’y retourner encore et encore. Mon envie d’être près du Seigneur, mon envie de communier, je la dois à moi, même si on m’a ouvert les portes, j’y suis entré de mon propre chef.
Nous avons tous une manière différente d’être appelé au Seigneur.
Et même si la voie du Christ n’est pas toujours de tout repos, car il y a quelques sacrifices qu’il faut accepter de faire, jusqu’à renier son passé ; rappelons-nous de SON sacrifice pour nous.
Et puis, l’amour n’est-il pas fait non plus de concession ?
J’ai décidé de suivre Dieu car je sais que là où il veut m’emmener sera bien meilleur que mes propres plans. De part son omniscience, déjà, il voit bien plus loin que moi. Et même si la vie, elle, est semée d’embûches, malgré mes souffrances, je crois en la promesse de ce bonheur, cette vie éternelle…Cette lumière au bout du tunnel.
Et vous quelle est votre histoire ?
January 5, 2025
L’enfer frappe à la porte
Bonsoir à tous !
Je vous souhaite avant tout une très belle année 2025, en espérant que vos projets de vie se concrétisent ou se poursuivent.
Aujourd’hui je reviens vers vous avec une nouvelle création, un recueil intitulé
L’enfer frappe à la porte qui est édité sur Books on demand.
Il s’agit là d’un livre qui se compose d’une trentaine de micronouvelles horrifiques et gores mettant en scène le quotidien macabre de protagonistes
en proie à leurs démons par les choix de vie douteux par lesquels ils sont passés.
Le livre est destiné pour un public averti, compte tenu des passages gores qu’il peut contenir…par simple précaution.
Plongez dans l’univers déroutant de ma plume qui vous conduira encore une fois aux confins de l’enfer.
Retrouvez l’œuvre ici :
https://librairie.bod.fr/lenfer-frappe-a-la-porte-lancelot-cannissie-9782322535330
Il sera également disponible sur les différentes plateformes telles que Amazon, Fnac, Cultura, etc…
Voici aussi un aperçu des différentes histoires :

En souhaitant que cette nouvel ouvrage vous plaise.
October 1, 2024
Le placement d’ouvriers
Dans le domaine du jeu de société, le placement d’ouvriers est une mécanique qui consiste à placer des pions, que l’on appelle dans le jeu moderne des meeples, sur des emplacements spécifiques d’un plateau de jeu afin d’y réaliser certaines actions.
Les emplacements peuvent être limités pour un certain nombre de joueurs, avec un système de premier arrivé premier servi, ce qui oblige à concevoir une certaine stratégie pour optimiser son jeu au maximum.
La mécanique de pose d’ouvriers offre aussi plein de possibilité en terme de gameplay et offre des jeux divers et variés.
Je pense notamment aux jeux comme Architectes du royaume de l’Ouest ou encore Voyageurs du Tigre du Sud qui ont tous les deux une approche différente de cette mécanique.
Dans Architectes du royaume de l’Ouest, le nombre d’ouvriers que l’on attribue à un lieu détermine le nombre de ressources que l’on peut prendre ou d’actions que l’on peut effectuer.
Et dans Voyageurs du Tigre du Sud, les ouvriers servent non seulement à effectuer des actions, mais lorsqu’ils sont utilisés, ils sont également mis à la disposition des autres joueurs qui peuvent dans un tour suivant les récupérer.
Cette mécanique oblige non seulement à penser son propre jeu, mais aussi anticiper les actions des autres joueurs, que ce soit par interaction directe ou indirecte.
Et vous ? Que pensez-vous de cette mécanique ? Et quel est votre jeu favori l’utilisant ?
D’ailleurs, fait-elle parti de vos créations ? (si vous êtes designers )
June 30, 2024
June 17, 2024
La luxure
Définition : recherche déréglée des plaisirs sexuels
Pourquoi la luxure est-elle un péché ?
Beaucoup de personnes pensent qu’il existe une forme de liberté dans la luxure, le fait de pouvoir s’adonner à des plaisirs sans entrave. Avoir ce sentiment de contrôle et de faire comme bon nous semble.
Seulement la luxure est bien perverse de par son manque de mesure et de tempérance. Elle accorde le droit d’assouvir ses besoins sans limite.
La luxure empêche la tempérance dans la sexualité et peut ainsi conduire à des
débordements tels que viols, incestes, etc… (revoir Sodome et Gomorrhe)
La luxure est aussi l’antithèse de l’amour dans le sens où elle est auto-centrée, alors que l’amour est l’acte de se donner à l’autre pour le bien de l’autre.
De plus, la luxure empêche de se poser sincèrement.
Quand on laisse une place trop importante au sexe, il en devient une drogue dont on est incapable de se passer.
La luxure empêche également de construire son couple sur la durée, elle rend volage les cœurs.
Si notre sexualité domine sur notre couple, alors quand vient avec l’âge le manque d’envie, que reste-t-il ?
Le plaisir de la chair se focalise davantage sur le physique, notre perception du beau matériel qui lui est éphémère et changeant avec le temps.
De plus, pour ceux qui croient le plaisir charnel étant lié étroitement au corps, celui-ci meurt avec nous. Il n’existe pas de sexualité dans l’au-delà vu que seule l’âme demeure après la mort.
C’est ainsi qu’on construit son propre enfer dans lequel nous aurons plus jamais accès à ce qui sera devenu une drogue. Un manque inassouvi pour l’éternité.
Si Dieu l’interdit, c’est parce qu’il désire avant tout que l’on puisse se donner accès au vrai bonheur, celui qui selon lui demeure, est éternel. Il veut que l’on puisse être aimer tout au long de notre vie, qu’on regarde le cœur de l’autre et non le corps.
Je ne prétends pas que ceci vous changera mais j’espère que l’article vous fera réfléchir.
Vous restez maîtres de vos choix de par votre libre arbitre.
Mais réfléchissez-y.
Voilà, c’est tout pour moi.
Nouvel séquence d’articles.
March 3, 2024
L’IA : un Némésis
L’IA attire beaucoup par sa simplicité.
Il suffit d’entrer du texte et elle est capable de sortir des images et autres choses.
Et beaucoup de personnes se complaisent dans la facilité.
Toutefois, elle représente un danger non négligeable par le fait qu’elle cette tendance à se substituer à l’humain.
Elle crée alors une forme d’asociabilité nous coupant des liens qui de base unissent l’artiste au client.
L’art est avant tout un échange entre deux êtres, ce de quoi l’IA nous coupe.
Il y a le relationnel, au-delà de l’aspect financier.
Le danger est dans le fait que l’un puisse remplacer l’autre.
Dans un monde déjà en constant conflit où tout s’oppose, les nations et les sexes, créer une chose qui nous coupe davantage de l’autre, même si ça peut paraître anodin pour certains, est bien triste.
Sans oublier la question morale sur le fait que l’IA ne fait rien par elle-même mais va chercher inspiration dans les œuvres d’autrui, des œuvres créées par des artistes de sang et de chair.
L’IA nous pousse donc vers un oubli et une négligence de l’humain.
Bien entendu, cela reste mon analyse mais je pense que si on y réfléchit, elle n’est pas dénuée de sens.
Et vous ? Quel est votre avis sur le sujet ?
Porter sa croix
J’ai durant ma vie commis des erreurs, et souvent c’est bien normal, c’est comme ça qu’on apprend et qu’on grandit.
J’en ai une qui m’a particulièrement marqué et qui aujourd’hui encore laisse une trace qui ne s’est pas totalement effacée.
Le plus dur dans tout ça, c’est que ça a eu un impact sur mon entourage, un impact dont je n’avais pas pris conscience dans l’acte.
C’est d’ailleurs souvent bien trop tard que l’on se rend compte du tort causé,
après que la faute ait été commise.
Alors s’installe les regrets qui grandissent au fur et à mesure que le temps passe
et qui naissent dans les relations qu’on a gâchées, les amis qu’on a perdus.
Ce qui est dure pour ma part, c’est que mon empathie pour ce qu’on a alors pu ressentir m’alourdit davantage.
Je n’ai jamais été du genre à vouloir faire du tort volontairement, j’ai même été du genre à vouloir que les gens autour de moi soient joyeux et heureux.
Certains me diront sûrement de passer à autre chose, mais ce n’est pas si simple car pour moi ce serait égoïstement faire comme si rien ne s’était passé et que je me foutrais de ce que l’autre aurait pu ressentir.
Je pense que par respect j’ai un devoir de mémoire, et aussi pour me rappeler de ne plus refaire l’erreur.
Alors j’ai décidé de porter la croix de mon péché.
J’aimerais que mes fautes me soient pardonnées mais pour le moment j’ai trouvé moyen de faire pénitence en priant pour les offensés, pour que ces personnes soient toujours heureuses et en bonne santé.
Je souhaiterais aussi que tous ceux qui ont vécu un truc similaire puissent faire leur mea culpa un jour.