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- A Bone Dry Place (5/5)

It was lovely to read about Dream and Delirium teaming up again, after "Brief Lives"

- The Gate of Gold (5/5)

Beautiful story and very poetic writing. I love how Mark Kreighbaum was able to understand and describe the Dreaming’s atmosphere. Also loved how he wrote Morpheus.

- The Writer’s Child (0/5)

I didn’t understand the aim of that story nor what was happening. It was unintelligible (especially because of typos and lack of quotation marks) and I felt uneasy regarding the metaphor regarding the relationship between the writer and the reader; but also some things happening (the narrator was super weird, especially regarding the child character). It’s a big no-no for me.

- An Extra Smidgen of Eternity (2,5/5)

- Escape Artist (5/5)
My favourite short story. The writing is so beautiful and respectful of Wanda’s story. I love Wanda as a character and Caitlín R. Kiernan really honoured her by writing her even better than Gaiman.

- Splatter
"Still, if a cereal convention wants to pay me to show up and sell more copies of my books, I won’t complain"
Oh this one is def going to be funny!

- The Birth Day (1/5)
Not a fan of that one and Dream’s depiction. Of course, Dream is still very "young" at that moment, but he was written are very caring (?) towards Ikat and that’s not the feeling I got from his past-self and his "god"-ish selfishness. Also didn’t like Ikat who felt like a self-insert Y/N 🫣 That’s, sadly, the only short story for which I have such strong feelings 😅

"De mon temps, nul n’aurait pu prévoir qu’en dépassant un certain niveau intellectuel les machines cesseraient d’être fiables. (…) Une machine obtuse, incapable de réfléchir, fait tout ce qu’on lui ordonne. (…) Et au fait, pourquoi devrait-elle se comporter autrement si elle est intelligente ? L’intelligence c’est la liberté intérieure."

"J’éviterai toutefois d’utiliser un trop grand nombre de mots nouveaux dans mon journal ; ils blessent mon sens de l’esthétique ou peut-être mon attachement à une époque révolue."

💔💔
Ce livre me rend tellement triste du futur, je ne sais pas si c’est l’effet escompté 😅

"Je sais à présent qu’il faut réellement le concours de deux femmes pour mettre un enfant au monde : l’une d’elles produit l’ovule, tandis que l’autre porte le produit de la conception et accouche."

Petit clin d’œil à The Handmaid Tale ? C’est fou de se dire que cette idée de procréation "à deux" se retrouve dans beaucoup de livres de SF.

"Nul n’a le droit de s’abandonner à des sentiments spontanés."

Qu’est ce que c’est triste. Les traits sont très grossis puisque c’est une sorte de parodie. Mais pour autant je n’arrive pas à me débarrasser de ce sentiment d’horreur latent qui me fait dire que nous fonçons droit dans une société semblable à celle-ci.

Je trouve cet extrait de l’eau du robinet triste parce que l’auteur montre bien qu’aujourd’hui nous n’y connaissons plus rien à la bienveillance et nous n’en voulons pas. On préfère s’en débarrasser plutôt que de l’apprécier à sa juste valeur et faire le bien autour de soi. Pourquoi une telle flambée de bienveillance et de gentillesse devrait-elle être perçue aussi négativement?