Sylvain Johnson's Blog, page 6

February 25, 2017

Interview de Pascaline Nolot – L’actu des auteurs 2017

Gaëlle Dupille


Pour cette troisième interview de la rubrique L’actu des auteur 2017, j’ai le grand plaisir d’accueillir une amie aussi adorable que talentueuse : Pascaline Nolot.





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Pourrais-tu te présenter ?



Je m’appelle Pascaline Nolot. Je suis orléanaise de naissance, lilloise d’adoption. Je suis une lectrice invétérée depuis mon plus jeune âge, avec une prédilection pour les genres de l’imaginaire. Depuis 2012, j’ai publié des nouvelles chez différents éditeurs : Sombres Rets, Elenya Éditions, les éditions du Chat Noir. J’ai également participé à l’Artbook Raconté de Fleurine Rétoré, une artiste que j’aime beaucoup.





Quelles seront tes publications en 2017 ?



Mon premier roman jeunesse (et premier roman tout court !) va paraître en avril aux éditions du Chat Noir : Les Larmes de l’Araignée. Il inaugure, avec un autre titre (Effroyable Porcelaine de Vincent Tassy), une nouvelle collection gothique/horrifique destinée aux 9-12 ans. Il est illustré par la très…


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Published on February 25, 2017 02:41

February 24, 2017

Interview de Didier de Vaujany – L’actu des auteurs 2017

Gaëlle Dupille


Seconde interview dans cette nouvelle rubrique. Aujourd’hui, la parole est au sympathique Didier de Vaujany !



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Pourrais-tu te présenter ?



Didier de Vaujany, je m’appelle. En région lyonnaise, je vis. Fan de Star Wars, je suis… mais des romans de Fantasy, j’écris. Plus sérieusement, je suis un de ces auteurs de l’imaginaire, un peu perché, qui propose l’évasion à ses lectrices et lecteurs.





Quelles seront tes publications en 2017 ?



Ma principale publication est Azzarielle et la Fille Sans Nom, manuscrit troisième du cycle Fantasy Tryskellia en quatre parties que j’ai entamé en 2013. Une nouvelle légende contée par Tara, mystérieuse narratrice dont on découvrira l’histoire dans le dernier volume, en même temps que les secrets des origines de l’univers qu’elle décrit. Un subtil mélange entre réalité, médiéval fantastique et SF.



Je suis également impatient d’une autre sortie, celle de ma nouvelle Aurore, dans le prochain numéro de la…


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Published on February 24, 2017 03:42

February 23, 2017

Interview d’Atef Attia – L’actu des auteurs 2017

Gaëlle Dupille


Pour inaugurer cette nouvelle série d’articles récapitulant l’actualité et les projets des « nouveaux » auteurs en 2017, j’ai le plaisir d’accueillir l’ami Atef Attia.



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Pourrais-tu te présenter ?



Atef Attia, je suis auteur tunisien de mauvais genres et co-fondateur de la maison d’édition tunisienne Pop Libris Editions, spécialisée dans la littérature au goût pop en général. J’ai à mon actif deux publications : un recueil de nouvelles noires, Sang d’Encre, en 2013, et un roman fantastique, Invisible Kid, en 2015.





Quelles seront tes publications en 2017 ?



Je suis en train de finir mon deuxième recueil de nouvelles, Obscurs Horizons, qui, je l’espère, sortira en Juin 2017. Ce sera plus axé sur l’épouvante, la SF, le fantastique… Des genres qui me tiennent à cœur.





Peux-tu nous révéler tes projets littéraires pour l’année ?



Je dois admettre que je ne croule pas sous les projets, je travaille à mon rythme…


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Published on February 23, 2017 12:02

Nouveau logo pour les Fossoyeurs de Rêves

Gaëlle Dupille


Si vous suivez un peu mes tribulations littéraires, vous savez que je fais partie du collectif d’auteurs franco-québécois Les Fossoyeurs de Rêves, que nous avons créé en janvier 2012.



Il y a quelques jours, nous avons eu l’agréable surprise de recevoir un cadeau de la part de Vael Cat, illustratrice de talent : un logo !



Il nous manquait une identité propre (puisque notre précédent logo avait été emprunté sur le Net),  voici désormais le dessin qui nous représentera :16830504_1923112231242613_1972106424_n



Nous lui adressons un GRAND merci pour ce superbe travail !

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Published on February 23, 2017 04:15

February 19, 2017

La pierre de Judaculla.

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Lors de votre prochain voyage dans la magnifique région de la Caroline du Nord, n’oubliez surtout pas de visiter la petite ville de Sylva, coincée entre le Tennessee et ses chanteurs country et la Géorgie avec ses pêches délicieuses et juteuses. Nichée au pied des montagnes et au cœur d’une région de verdure accueillante, la ville de Sylva est le site d’une découverte particulière.


La pierre de Judaculla.


Sylvain, pourquoi nous parles-tu d’une pierre? Qu’a-t-elle de particulier? Tu joues les géologues? Est-ce un fameux bijou ayant appartenu à un empereur romain? Une pierre philosophale laissée en Amérique par un ordre de moines homosexuels anticonformistes? Un rocher tombé d’un vaisseau spatial et vénéré par une tribu oubliée d’Amérindiens?


Non. Il s’agit plutôt d’une mystérieuse pierre formée de stéatite. Voici ce que mon dictionnaire en ligne m’apprend sur la stéatite :


« Silicate de magnésium naturel, qu’on retrouve dans certaines roches métamorphiques sous la forme de talc compact et non feuilleté »


Bref, c’est une roche. Elle est couverte de dessins gravés dans la pierre et les archéologues l’ayant examiné croient qu’elle date entre deux et trois mille ans. L’époque de Jésus ou même avant. Les Cherokee, qui habitent la région depuis des temps immémoriaux, la considéraient eux-mêmes comme ancienne, à une époque avant leur arrivée sur ces terres.


Le nom Judaculla (qui n’est pas le nom d’un cousin de Dracula) est tiré d’une légende Cherokee, selon laquelle la pierre fut créée par Judaculla, une sorte de géant aux yeux croches qui dominait les montagnes. Tout cela remonte à une époque lointaine. On considérait cet être comme le grand maître de la chasse, sa puissance lui permettait de sauter d’une montagne à l’autre et il pouvait même contrôler le climat. Voyez, même les Cherokee croyaient en ces théories du complot dont nous sommes friands de nos jours. Toujours selon la légende, la pierre lui servait à marquer son territoire et portait son empreinte de main à sept doigts. Il utilisait la pierre pour éviter de tomber en se retenant dessus. Pas besoin d’ajouter que les « Indiens » considéraient ce lieu comme sacré. Il n’y a pas si longtemps, on utilisait encore cet endroit pour des cérémonies, mais il s’agissait plutôt d’initiations nocturnes pour les étudiants des Universités de la région. J’imagine les cochonneries qui ont pu s’y dérouler.


N’empêche que comme pour la plupart des lieux mystérieux, des récits et témoignages d’évènements paranormaux ont commencé à circuler. Certains racontent avoir vu des fantômes, d’autres font état d’étranges lumières autour de la roche, il existe même des individus convaincus d’avoir vu des OVNIS dans le secteur. Notons qu’un vieux cimetière Cherokee se trouve à proximité, ce qui influence peut-être les visiteurs.


La pierre gît au pied d’une montagne, tandis qu’une large veine de cuivre passe sous le site, expliquant l’importance du lieu, que ce soit pour sa richesse en métaux ou en minéraux. Une certaine perturbation dans le champ de force électromagnétique fut aussi enregistrée et aurait possiblement influencé nos ancêtres à considérer le lieu comme sacré.


Une analyse de la pierre nous apprend qu’elle comporte 1548 motifs. Archéologiquement parlant, l’endroit est d’une importance indéniable, puisque des traces d’activités de carrières et de fabrications de bols ont été retrouvées. Le lieu aurait servi durant plusieurs centenaires, comme le prouvent les fouilles récentes. En poussant un peu plus l’analyse, on découvre l’importance stratégique du lieu où la pierre se trouve. Elle est à mi-chemin entre les plaines où les tribus pratiquent l’agriculture durant l’été et les hautes terres où commence le terrain de chasse pour l’hiver et l’automne.


L’avis des experts, concernant les pétroglyphes, est qu’il s’agit de cartes stylisées du terrain où elle fut trouvée. Une représentation du territoire habité par les Cherokees permettant de récolter de l’information sur l’histoire et la préhistoire de cette région.


Si jamais vous décidez de prendre l’avion et de venir découvrir la pierre de Judaculla, n’oubliez pas de venir me saluer au passage.


Sauf si une vieille malédiction Cherokee vous transforme en grenouille.


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Published on February 19, 2017 16:10

February 13, 2017

Le « Devil’s Tramping Ground » en Caroline du Nord.

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Amateur de destinations inhabituelles, je tenais à vous faire découvrir un endroit à proximité de la petite communauté de Bear Creek, en Caroline du Nord. Facile d’accès, en retrait de la route principale, il s’agit d’un simple cercle dépouillé de toute végétation au cœur de la forêt. Qu’est-ce qu’il y a de particulier au sujet de ce cercle ingrat et poussiéreux? Rien n’y pousse! D’un diamètre de 1.5 m, on prétend que les arbres, les fleurs et les mauvaises herbes n’y poussent pas. Les animaux sauvages le contournent, tandis que les chiens évitent de s’en approcher, gémissant avec la queue basse entre les pattes. Toute végétation transplantée là est inévitablement destinée à mourir.


Pourquoi?


Selon la légende, vieille de 120 ans, c’est l’endroit de prédilection pour le diable, qui vient y danser, colérique, bouillonnant de rage. Il ratisse les limites étroites du cercle, libérant sa haine envers l’humanité en chants nocturnes et incantations cauchemardesques. La première mention du « Devil’s Stamping Ground » remonte à 1882. Des témoins auraient aperçu des yeux rouges scintillants au centre du cercle durant la nuit. On raconte aussi que tout objet laissé sur place, peu importe son poids, serait inévitablement et violemment repoussé hors des limites de cette piste de danse démoniaque durant la nuit.


Personne ne sait pourquoi le diable a choisi cet endroit en particulier, mais la fascination pour cette histoire continue de faire couler de l’encre.


Il y a quelques années, un journaliste désireux de prouver que cette histoire n’était qu’une farce a décidé d’y passer la nuit dans une tente avec ses deux chiens. Il serait resté jusqu’au lendemain, affirmant plus tard avoir entendu des bruits de pas autour de sa tente, sans voir qui que ce soit.


Si vous parlez aux gens habitant la région, vous aurez le plaisir de découvrir de multiples histoires au sujet de cet énigmatique « Stamping Ground ». C’est un peu une attraction locale attirant les touristes.


Une chose est certaine, c’est un lieu de prédilection pour les soirées bien arrosées, pour faire peur aux enfants et impressionner les amis. Les nombreuses bouteilles de bière vides au sol semblent prouver le passage fréquent de visiteurs.


Où est-ce plutôt le diable qui s’y rend pour noyer son chagrin avec une bonne bière froide?


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Published on February 13, 2017 08:22

February 12, 2017

Extrait #6 du roman « Les survivants d’Huttopia »

Gaëlle Dupille


huttopia-01 (Illustration par Jimmy Rogon)



« […] Le jeune homme avança lentement en direction de la maison, suivi de près par le reste du groupe. Il regarda à l’intérieur à travers l’une des vitres. Un désordre indescriptible régnait dans la pièce principale. Des journaux et des livres étaient entassés sur le sol. Dans la cuisine, de hautes piles d’assiettes et des tasses trônaient sur une table en bois. Ben sursauta et recula lorsque quelqu’un se jeta contre l’une des vitres pour y coller son visage en criant.
— Toby, ça suffit ! cria une voix de femme. Tu vas les effrayer, voyons.
La porte s’ouvrit. Une femme âgée d’environ quatre-vingts ans les accueillit.
— Je m’appelle Agatha, dit-elle en leur faisant signe d’entrer.
Elle était vêtue d’un long vêtement vaporeux de couleur blanche, dont il était difficile de déterminer s’il s’agissait d’une chemise de nuit ou d’une robe. Ses longs cheveux gris…


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Published on February 12, 2017 04:31

Lire gratuitement ET légalement : quelques conseils très simples

Gaëlle Dupille


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Parmi les raisons les plus fréquemment évoquées pour ne jamais lire, j’ai souvent entendu que le prix de certains ouvrages demeurait un frein d’achat. Il est vrai que lorsque l’on dispose d’un budget très serré, dépenser 10 ou 20 euros dans un roman ou un recueil n’est pas toujours évident, surtout pour les plus jeunes. Il est malgré tout possible de dénicher chez des bouquinistes des livres neufs -ou presque- à des prix défiant toute concurrence. Et pour les plus fauchés (ou radins !), sachez que que lire gratuitement ET légalement est évidemment possible. Tout d’abord, je rappelle qu’il existe de grands bâtiments très accueillants et garnis de livres appelés… bibliothèques ! L’inscription est parfois payante (tout en restant très accessible – à moins de 10 euros/an), mais elle est entièrement gratuite dans certaines villes, dont Bordeaux. Les médiathèques proposent elles aussi des cartes d’abonnement à des prix annuels très…


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Published on February 12, 2017 04:30

February 7, 2017

Destination Caroline du Nord « The Frying Pan tower »

[image error]La tour de la poêle à frire!

Vous cherchez un endroit particulier où passer vos vacances? Vous en avez assez des lieux de villégiatures habituels? De plages bondées de touristes en « speedo »? De musées et lieux historiques où il faut faire la file durant des heures? Vous cherchez l’aventure et la nouveauté?


Pourquoi ne pas entreprendre un séjour à la tour de la poêle à frire en Caroline du Nord?


Mais qu’est-ce que cette tour?


Il s’agit d’une plateforme de forage venant du Texas transformé par la garde côtière américaine en phare. La tour fut inaugurée en 1964 et fut mise hors d’usage en 1992. Durant une enchère, un individu en a fait l’achat avec la mission de la préserver et d’en faire un hôtel unique. Tout un défi.


Située à 52 kilomètres du rivage et de la ville de Cape Hatteras en Caroline du Nord, la tour est ancrée au fond de l’océan d’une profondeur de seize mètres à cet endroit, situation idéale pour la pêche et les activités nautiques. En raison de sa présence tout près du Gulf Stream et de ses courants marins chauds, elle bénéficie d’une météo plus clémente que sur le continent. Il n’est pas rare que la température soit de quelques degrés plus élevés que les villes les plus proches. La tour est aussi située le long de ce qu’on appelle « hurricane alley », un corridor invisible qui chaque année se voit traversé par de nombreuses tempêtes tropicales et ouragans. Pas vraiment l’endroit où j’aimerais passer ces longs mois de la saison des ouragans. Les dommages causés par mère Nature nécessitent d’ailleurs de constantes réparations, une lutte de tous les jours contre la rouille dont l’effet est amplifié par l’eau salée.


Notons aussi que la tour se trouve à la pointe sud du « cimetière de l’Atlantique », un endroit d’une grande notoriété en raison de sa navigation dangereuse et de multiples vaisseaux échoués au fond de l’océan depuis que l’homme navigue dans ces eaux sombres. Un phare fut d’ailleurs construit en 1854 dans la région afin de faciliter la navigation.


Cette tour est équipée de douches, d’eau chaude, avec électricité et accès à l’Internet, une cuisine complète et même une salle de récréation. La station pouvait abriter une vingtaine de membres de la garde côtière durant ses beaux jours. Elle fut bâtie à l’époque où les marins n’utilisaient pas encore de « GPS » et pour éviter que les bateaux ne s’échouent sur les hauts-fonds entre la côte et le large.


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La réparation et la maintenance de la tour sont effectuées par des volontaires et financées par les contributions et donations de matériels.


Selon le site web, on peut réserver des chambres pour 598 $ américain pour 3 jours, 2 nuits. Il y a 8 chambres disponibles et plusieurs activités possibles.


Cela vous tente?


Site de la Frying Pan Tower




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Published on February 07, 2017 17:55

January 18, 2017

Retrouvez le bruit d’une machine à écrire sur votre clavier d’ordinateur

Gaëlle Dupille


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Ah, le doux cliquetis si caractéristique d’une machine à écrire ! Si vous rêvez de le retrouver à chaque fois que vous utilisez votre clavier d’ordinateur, il est possible de concrétiser ce rêve en quelques clics. J’ai découvert, un peu par hasard, une application  appelée Qwertick, permettant de recréer ce son si agréable aux oreilles des auteurs…



Il vous suffit de vous rendre sur le site Nattyware.com/qwertick.php et de télécharger gratuitement (et légalement) l’application. Sans même avoir à l’exécuter, elle se met en place toute seule et fonctionne plutôt bien.  Aucun virus à signaler lors du téléchargement, vous pouvez y aller sans crainte.


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Published on January 18, 2017 17:07