Celine > Celine's Quotes

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  • #1
    Ray Bradbury
    “Et quand il est mort, je me suis aperçu que ce n'était pas lui que je pleurais, mais les choses qu'il faisait.”
    Ray Bradbury, Fahrenheit 451

  • #2
    Ray Bradbury
    “Si vous cachez votre ignorance, vous ne recevrez pas de coups et vous n'apprendrez rien.”
    Ray Bradbury, Fahrenheit 451

  • #3
    Daphne du Maurier
    “Aucun de nous n'a envie de revivre ce passé. Maxim moins que tout autre. Et c'est à vous, comprenez-le, de nous en détacher. Il ne faut pas nous y ramener.”
    Daphne du Maurier, Rebecca

  • #4
    Jean-Claude Izzo
    “Les Marseillais n'aiment pas les voyages. Tout le monde les croit marins, aventuriers, que leur père ou leur grand-père a fait le tour du monde, au moins une fois. Au mieux, ils étaient allés jusqu'à Niolon, ou au Cap Croisette. Dans les familles bourgeoises, la mer était interdite aux enfants. Le port permettait les affaires, mais la mer, c'était sale. C'est par là qu'arrivait le vice. Et la peste. Dès les beaux jours, on partait vivre dans les terres. Aix et sa campagne, ses mas et ses bastides. La mer, on la laissait aux pauvres.”
    Jean-Claude Izzo, La trilogie Fabio Montale: Total Khéops, Chourmo, Solea

  • #5
    Jean-Claude Izzo
    “Chez Mario. Une assiette de mozzarella et tomates, avec câpres, anchois et olives noires. Un plat de spaghetti aux clovisses. Un tiramisu. Le tout arrosé d'un bandol du domaine de Pibarnon.”
    Izzo Jean-Claude

  • #6
    Jean-Claude Izzo
    “Pour l'aïoli, Céleste n'avait d'égale qu'Honorine. La morue était dessalée à point. Ce qui est rare. Habituellement, elle trempe trop, en deux eaux seulement. Plusieurs eaux étaient préférables. Une fois huit heures, puis trois fois deux heures. Il convenait aussi de la pocher à l'eau frémissante, avec du fenouil et des grains de poivre. Céleste avait aussi son huile d'olive pour "monter" l'aïoli. Du moulin Rossi, à Mouriès.”
    Jean-Claude Izzo, La trilogie Fabio Montale: Total Khéops, Chourmo, Solea

  • #7
    Michel Pastoureau
    “C'est la société qui "fait" la couleur, qui lui donne sa définition et son sens, qui construit ses codes et ses valeurs, qui organise ses pratiques et détermine ses enjeux. Ce n'est pas l'artiste ou le savant ; encore moins l'appareil biologique de l'être humain ou le spectacle de la nature. Les problèmes de la couleur sont d'abord et toujours des problèmes sociaux, parce que l'être humain ne vit pas seul mais en société.”
    Pastoureau Michel

  • #8
    Michel Pastoureau
    “Or ce qui paraît être le premier moteur de ces mutations techniques et de ces réussites professionnelles ne semble pas être une découverte de la chimie des teintures, ni l'arrivée en Europe d'un colorant jusqu'alors inconnu, mais bien une demande nouvelle de la société. Parce que celle-ci a désormais besoin de tissus et de vêtements noirs de grande qualité, parce qu'elle demande aux teinturiers de teindre d'immenses pièces de drap dans cette couleur nouvellement valorisée, ceux-ci réussissent à le faire, et le font rapidement. Ici encore, les enjeux idéologiques et la demande sociale semblent mettre en oeuvre et catalyser les progrès chimiques et techniques, et non l'inverse.”
    Pastoureau Michel

  • #9
    Christelle Dabos
    “- Et monsieur votre mari, ma chère cousine? badina le gentilhomme, en couvrant de baisers les bras gantés.
    - Mon époux? Il dilapide notre fortune au bridge, bien évidemment!
    - Veillons, dans ce cas, à lui donner un peu de chance...”
    Christelle Dabos, Les Fiancés de l'hiver

  • #10
    Katherine Pancol
    “Le succès se bâtit de l'intérieur. Il n'arrive pas par magie. Ce sont mes années d'études et de recherches qui ont rendu mon roman vibrant, vibrant de mille détails qui ont résonné dans l'esprit des lecteurs. L'âme y a sa part. L'âme de la chercheuse humble, érudite, patiente. La société, aujourd'hui, ne croit plus à l'âme. Elle ne croit plus en Dieu. Elle ne croit plus en l'Homme. Elle a aboli les majuscules, met des minuscules sur tout, engendre le désespoir et l'amertume chez les faibles, l'envie de déserter chez les autres. Impuissants et inquiets, les sages s'écartent, laissant le champ libre aux fous avides.”
    Pancol Katherine

  • #11
    Katherine Pancol
    “C'était un mari, on ne se posait pas toutes ces questions. On se mariait, on vivait ensemble, parfois on riait, d'autres fois on ne riait pas, mais on ne souffrait pas pour autant.”
    Pancol Katherine

  • #12
    Katherine Pancol
    “Certains joggers setaient le savon, d'autres la sueur. Les uns dévisageaient les femmes, les autres les ignoraient. C'était un ballet d'habitués qui tournaient, transpiraient, souffraient et tournaient encore. Elle aimait faire partie de ce monde de derviches tourneurs. Sa tête se vidait peu à peu, elle se sentait flotter. Les problèmes se détachaient tels des morceaux de peau morte.”
    Pancol Katherine

  • #13
    Katherine Pancol
    “Elle repensa à la devise du vrai Du Guesclin : "Le courage donne ce que la beauté refuse.”
    Pancol Katherine

  • #14
    Carlos Ruiz Zafón
    “Miquel Moliner était dévoré par une culpabilité qu'il soignait par le travail, et même s'il respectait, voire enviait l'oisiveté des autres, il la fuyait comme la peste. Loin de se vanter de son éthique du travail, il plaisantait sur cette frénésie de production et la décrivait comme une forme mineure de la lâcheté.
    -Pendant qu'on travaille, on ne regarde pas la vie dans les yeux.”
    Carlos Ruiz Zafón, The Shadow of the Wind

  • #15
    Joseph  Delaney
    “Lonely? How can you be lonely ? You've got yourself, haven't you? If you ever lose yourself, then you'll really be lonely. In the meantime, stop complaining. You're nearly a man now, and a man has to work. Ever since the world began, men have been doing jobs they didn't like. Why should it be any different for you? You're the seventh son of a seventh son, and this is the job you were born to do. - Mam”
    Joseph Delaney, Revenge of the Witch

  • #16
    Kathryn Stockett
    “La laideur, on l'a en dedans. Etre laid, ça veut dire être méchant et faire du mal aux autres. Alors, t'es comme ça, toi?”
    Kathryn Stockett, The Help

  • #17
    Kathryn Stockett
    “You is kind. You is smart. You is important.”
    Kathryn Stockett, The Help

  • #18
    Kathryn Stockett
    “Je ne dis pas que la fille de Constantine était née blanche comme neige ; je veux seulement montrer que l'amour que Constantine avait pour moi est né de l'absence de cette enfant. c'est peut-être à cela qu'il devait d'être si unique, si profond. Peu importe que je sois blanche. Elle voulait que sa fille lui soit rendue, je voulais que maman ne soit pas déçue par moi.”
    Kathryn Stockett, The Help

  • #19
    Pierre Pevel
    “Vous seriez mort si l'on avait voulu que je vous tue.”
    Pierre Pevel, Les Lames du Cardinal

  • #20
    Pierre Pevel
    “Je suis un soldat : je sers où l'on me dit de servir. Et si cela ne suffisait pas, je suis une Lame.”
    Pierre Pevel, Les Lames du Cardinal

  • #21
    Pierre Pevel
    “La plupart des hommes sont loyaux tant qu'ils n'ont pas intérêt à trahir, Monseigneur.”
    Pierre Pevel, Les Lames du Cardinal

  • #22
    Marcel Pagnol
    “Il n'est pas besoin d'espérer pour entreprendre ni de réussir pour persévérer.”
    Marcel Pagnol, La Gloire de mon père

  • #23
    Marcel Pagnol
    “Nos jours ne sont beaux que par leur lendemain.”
    Marcel Pagnol, La Gloire de mon père

  • #24
    Marcel Pagnol
    “Ces travaux qui ne durèrent pas plus de 3 mois, occupent cependant dans ma mémoire, une place considérable, car c'est à la lumière du bec Matador que j'ai découvert l'intelligence de mes mains, et la prodigieuse efficacité des plus simples outils.”
    Marcel Pagnol, La Gloire de mon père

  • #25
    Gregory Maguire
    “Lurline est la reine des fées qui volait au-dessus des déserts de sable, avant d'apercevoir le splendide pays vert d'Oz. Elle laissa sa fille Ozma pour diriger ce pays en son absence, promettant de revenir aider Oz dans ses plus noirs moments.”
    Gregory Maguire, Wicked: The Life and Times of the Wicked Witch of the West

  • #26
    Gregory Maguire
    “Plus nous devenons civilisés, plus nos amusements se font horribles.”
    Gregory Maguire, Wicked: The Life and Times of the Wicked Witch of the West



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