Catherine Lang's Blog, page 5
May 4, 2015
Paroles de lecteurs
April 22, 2015
Les ballerines bleues - Polar
April 20, 2015
107 auteurs
Blogs amis
Une blogueuse part à la découverte d'auteurs méconnus
Le blog de Claude Colson, auteur
"L'écriture, c'est comme les palpitations, cela se produit."...
April 13, 2015
Foire aux cadeaux Auto-édition
April 6, 2015
J'écris par hasard

Les sentinelles du rêve: Pourquoi les auteurs ont-ils soif d'écrire ?
L'aventure de ce livre est belle car elle est collective.Elle met en lumière " mille et un chemins " pour arriver à unecertitude : l'écriture est un " silence turbulent " que l'onexpulse de soi ...
Ebook gratuit à télécharger
Les sentinelles du rêve : 107 auteurs témoignent
Voici ma contributionJ’écris par hasard.
Un week-end de printemps pluvieux à épuiser une ville avec des mots, les gens, les vélos qui passent, les promeneurs avec parapluie, les camionnettes garées sur un trottoir, les panneaux routiers, les jupes soulevées par le vent, le manteau rouge de la fillette…
J’écris pour croiser les passants, les regarder, les épier.
Pour observer le vieux sur son banc, les voisins qui rentrent du boulot, les gosses criards, la concierge qui boit.
Pour entendre le bruit de la fontaine sur la place du village, pour acheter une chocolatine chez le boulanger le matin.
Pour être là, pour être partout.
Pour retrouver des traces, pour retourner à l’école.
Pour plaquer des mots sur des images, des impressions ; pour que ces mots sonnent, dessinent, se mettent enfin à parler, à chanter.
Pour les traces de soucoupes volantes dans le jardin, pour parler avec le chat, pour tuer les pigeons, les manger avec des petits pois, pour faire les courses au Franprix, boire du Champagne.
Parce que rouge, parce que bleu, parce que noir et blanc.
Parce qu’une vie ne suffit pas.
Je suis un homme, je suis une femme. Je suis Hélène, je suis Michel, je suis Dominique, je suis Kevin, je suis Ludovic, je suis Marion, je suis Virginie.
J’ai cinq ans, j’ai trente-cinq, j’ai cinquante-huit ans.
Je suis riche. Je prends tous les chemins, j’ai toutes les envies.
Je suis fort, je suis faible.
Je suis vieille.
Pour partir en voiture, la nuit.
Pour m’arrêter au passage à niveau. Accélérer sur la voie, tourner le volant à droite, à gauche, tirer sur le frein à main, fermer les yeux, se laisser aller. Pour savoir si le train est à l’heure. Le conducteur du train n’aurait pas le temps de s’arrêter. Pour voir les yeux horrifiés du conducteur.
Pour lui faire un signe de la main, comme un au revoir. Entendre le crissement des freins de secours, les cris d’horreur des passagers, le fracas de la tôle froissée, le craquement des os broyés par la machine.
Catherine
Le dire et le redire : votre blog, c'est votre auberge. Votre auberge espagnole . Vous y apportez la magie de vos différences, le sel de votre histoire. A travers vos textes qui sont autant de plats
http://ecrire-et-senrichir.com/
Le blog de Frédéric Clementz
April 3, 2015
Les ballerines bleues - Polar

Les ballerines bleues (French Edition) - by Catherine Lang on Booklaunch.io | Booklaunch.io
View Catherine Lang's book, Les ballerines bleues (French Edition), on Booklaunch.io-the platform for authors and publishers who want to sell more books.
https://booklaunch.io/catherine%20lang/les-ballerines-bleues
Les ballerines bleues sur Booklaunch

Ludovic est en prison.
C’est l’occasion pour lui d’écrire à sa fille unique, qu’il n’a pas vue depuis longtemps. Tout au long de ses lettres, en forme de compte à rebours jusqu'à sa libération, il va raconter ce qu'il lui est arrivé.
Il va revenir sur son passé, évoquer ses souvenirs, essayer de renouer des liens avec sa fille. Et tenter de comprendre qui est la femme aux ballerines bleues morte sur la dune du Pilat un soir de septembre.
De Paris à Bordeaux, jusque dans les Landes et le Bassin d’Arcachon, Les ballerines bleues, roman épistolaire, s’inscrit dans le genre policier.
Extrait :
"Je retrouvais mes habitudes, mon lit. Je me disais que j’allais pouvoir me reposer, enfin. J’étais fatigué par ce trop plein d’émotion. C’était compter sans le stress des jours précédents. Les cauchemars ont commencé deux ou trois nuits après. C’était horrible. Il faisait nuit. J’étais seul au milieu de la forêt de pins. Je courais. Les fougères me fouettaient les jambes, me griffaient. Je cherchais Florence, je l’appelais. Je voulais la ramener. Soudain, j’entendais du bruit derrière moi, des cris. Je me retournais. J’étais poursuivi par des centaines d’hommes, des soldats de la Guerre de 14, baïonnette au canon. Ils sortaient de partout, ils hurlaient. Les boutons en cuivre de leur capote, pleine de sang et de boue, brillaient comme des milliers d’étoiles dans la nuit. Ils avaient abandonné leur casque. Leurs cheveux noirs tombaient sur leurs chevilles, d’où pendaient des molletières en lambeaux. Ils étaient maigres, édentés. Ils avaient de grands trous noirs à la place des yeux, effrayants. Petit à petit, leurs visages se transformaient et prenaient l’apparence de Xavier, de ses parents, de Corinne, de Jicé, des enquêteurs que j’avais croisés. Ils me pourchassaient. Ils brandissaient leurs armes dans ma direction. Ils voulaient me tuer. Ils criaient tous ensemble : « Assassin ! Assassin ! » Je tentais d’accélérer. J’avais un peu d’avance sur eux mais les grains de sable fuyaient sous mes pieds. Je glissais, je trébuchais, me relevais. Je reprenais ma course. Arrivé au sommet, je dévalais la dune, de l’autre côté. J’atteignais la plage, en bas. Il y avait un blockhaus, J’y entrais pour me cacher. L’eau montait à l’intérieur. Je cherchais la sortie, je ne la voyais plus. J’étais happé par le courant. Je n’arrivais pas à faire demi-tour. J’essayais d’appeler à l’aide mais aucun son ne sortait. Je nageais, je me débattais alors que je savais que c’était inutile. On ne se bat pas contre l’océan. L’eau continuait à monter, monter. Je n’arrivais plus à garder la tête hors de l’eau. Je buvais la tasse. Mon corps ne m’obéissait plus. La force et le courage me lâchaient. Alors, je me laissais aller. J’abandonnais le combat. J’atteignais le fond, et là, Florence apparaissait, toute vêtue de blanc. Elle me tendait les bras. Elle avait le visage radieux du premier jour, celui que je regardais en cachette se refléter dans la fenêtre du train. Elle m’annonçait que nous allions partir tous les deux et que là où nous allions, personne ne pourrait plus nous atteindre. J’avançais ma main vers la sienne et au moment où j’allais la saisir, elle disparaissait. Tout devenait noir. Je me disais alors que j’allais mourir…"
Retrouvez la page facebook

Kobo - eBooks - Les ballerines bleues
Ludovic est en prison. C'est l'occasion pour lui d'écrire à sa fille unique, qu'il n'a pas vue depuis longtemps. Tout au long de ses lettres, en forme de compte à rebours, il va raconter ce qu'i...
https://store.kobobooks.com/fr-fr/ebook/les-ballerines-bleues
Les ballerines bleues, "polar épistolaire", sur Kobo

Ludovic est en prison. C'est l'occasion pour lui d'écrire à sa fille unique, qu'il n'a pas vue depuis longtemps. Tout au long de ses lettres, il va lui raconter ce qu'il lui est arrivé, pourquoi il
http://www.amazon.fr/gp/product/B00V83CE7U?*Version*=1&*entries*=0
Les ballerines bleues, "polar épistolaire", sur Amazon
Qui sont les auteurs autoédités ?
Charlie Bregman nous livre ici le résultat d’une enquête menée ne 2014 auprès des auteurs autoédités francophones. Avec chiffres à l’appui et analyses, que les auteurs eux-mêmes et les lecteurs auront la curiosité de découvrir, cette étude nous offre le panorama le plus exhaustif possible de ce que sont ces auteurs, quels sont leur objectifs, leurs désirs secrets, leurs attentes.
C’est ici l’occasion de soulever un certain nombre d’interrogations quant à la place de l’autoédition par rapport à l’édition traditionnelle et notamment la question de l’émergence d’un nouveau modèle économique.
Non sans humour, Charlie Bergman nous parle du regard que certains libraires, éditeurs et médias posent sur ces « imposteurs » qui revendiquent le droit d’écrire et s’auto-proclament auteurs alors qu’ils n’ont pas été adoubés par le cercle restreint des grands éditeurs, et qu’en plus, ils ne maitrisent pas l’ortho-typo.
En effet, ces auteurs, dits quelquefois « indépendants », c’est à dire non dépendants du système traditionnel des éditeurs savent de mieux en mieux s’approprier les nouvelles technologies de l’informatique et d’internet et prennent leur destin en main. Il est remarquable de constater qu’ils sont de plus en plus exigeants envers les éditeurs, ayant eu à connaitre des expériences peu concluantes. Exigeants mais non fermés.
Evoquons brièvement les médias, les spécialistes de la littérature, certains éditeurs, les libraires et notons au passage la grand confusion qu’ils continuent de faire entre autoédités et édités à compte d’auteur, n’ayant pas la curiosité d’aller voir ce qui se cache derrière ces mots. ce qui prouve le mépris qu’ils en ont. Les auto-édités seraient-ils dangereux ?
Enfin, les auteurs autoédités ont, d’après l’auteur, une grande qualité, ils sont capables d’avancer ensemble, encore faut-il qu’ils en prennent d’avantage conscience.
Je recommande ce livre à tous les auteurs, les éditeurs, les chroniqueurs, il pointe l’émergence d’un nouveau modèle qui reste à inventer.
Pour se procurer l'étude, cliquer ici

L'AUTO-ÉDITION POURQUOI COMMENT POUR QUI: Grande enquête auprès de 130 auteurs francophones
En France aujourd'hui, un premier roman devient un succès dès 800 exemplaires. Ce chiffre ne permettant pas aux éditeurs de résister aux contraintes économiques, les jeunes auteurs se heurtent...
http://www.amazon.fr/LAUTO-%C3DITION-POURQUOI-COMMENT-POUR-QUI-ebook/dp/B00UWFMBL4/ref=cm_cr_pr_pb_t
March 26, 2015
Les ballerines bleues
Offre promotionnelle pour la sortie du livre Les ballerines bleues, « polar épistolaire », disponible sur Amazon, à 0,99 euro au lieu de 2,99
Lien vers la plateforme Amazon

Ludovic est en prison. C'est l'occasion pour lui d'écrire à sa fille unique, qu'il n'a pas vue depuis longtemps. Tout au long de ses lettres, il va lui raconter ce qu'il lui est arrivé, pourquoi il
http://www.amazon.fr/gp/product/B00V83CE7U?*Version*=1&*entries*=0
Les ballerines bleues, "polar épistolaire", sur Amazon

Participez à l'évènement sur Facebook
Ludovic est en prison.
C’est l’occasion pour lui d’écrire à sa fille unique, qu’il n’a pas vue depuis longtemps. Tout au long de ses lettres, en forme de compte à rebours jusqu'à sa libération, il va raconter ce qu'il lui est arrivé.
Il va revenir sur son passé, évoquer ses souvenirs, essayer de renouer des liens avec sa fille. Et tenter de comprendre qui est la femme aux ballerines bleues morte sur la dune du Pilat un soir de septembre.
De Paris à Bordeaux, jusque dans les Landes et le Bassin d’Arcachon, Les ballerines bleues, roman épistolaire, s’inscrit dans le genre policier.
Extrait :
"Je retrouvais mes habitudes, mon lit. Je me disais que j’allais pouvoir me reposer, enfin. J’étais fatigué par ce trop plein d’émotion. C’était compter sans le stress des jours précédents. Les cauchemars ont commencé deux ou trois nuits après. C’était horrible. Il faisait nuit. J’étais seul au milieu de la forêt de pins. Je courais. Les fougères me fouettaient les jambes, me griffaient. Je cherchais Florence, je l’appelais. Je voulais la ramener. Soudain, j’entendais du bruit derrière moi, des cris. Je me retournais. J’étais poursuivi par des centaines d’hommes, des soldats de la Guerre de 14, baïonnette au canon. Ils sortaient de partout, ils hurlaient. Les boutons en cuivre de leur capote, pleine de sang et de boue, brillaient comme des milliers d’étoiles dans la nuit. Ils avaient abandonné leur casque. Leurs cheveux noirs tombaient sur leurs chevilles, d’où pendaient des molletières en lambeaux. Ils étaient maigres, édentés. Ils avaient de grands trous noirs à la place des yeux, effrayants. Petit à petit, leurs visages se transformaient et prenaient l’apparence de Xavier, de ses parents, de Corinne, de Jicé, des enquêteurs que j’avais croisés. Ils me pourchassaient. Ils brandissaient leurs armes dans ma direction. Ils voulaient me tuer. Ils criaient tous ensemble : « Assassin ! Assassin ! » Je tentais d’accélérer. J’avais un peu d’avance sur eux mais les grains de sable fuyaient sous mes pieds. Je glissais, je trébuchais, me relevais. Je reprenais ma course. Arrivé au sommet, je dévalais la dune, de l’autre côté. J’atteignais la plage, en bas. Il y avait un blockhaus, J’y entrais pour me cacher. L’eau montait à l’intérieur. Je cherchais la sortie, je ne la voyais plus. J’étais happé par le courant. Je n’arrivais pas à faire demi-tour. J’essayais d’appeler à l’aide mais aucun son ne sortait. Je nageais, je me débattais alors que je savais que c’était inutile. On ne se bat pas contre l’océan. L’eau continuait à monter, monter. Je n’arrivais plus à garder la tête hors de l’eau. Je buvais la tasse. Mon corps ne m’obéissait plus. La force et le courage me lâchaient. Alors, je me laissais aller. J’abandonnais le combat. J’atteignais le fond, et là, Florence apparaissait, toute vêtue de blanc. Elle me tendait les bras. Elle avait le visage radieux du premier jour, celui que je regardais en cachette se refléter dans la fenêtre du train. Elle m’annonçait que nous allions partir tous les deux et que là où nous allions, personne ne pourrait plus nous atteindre. J’avançais ma main vers la sienne et au moment où j’allais la saisir, elle disparaissait. Tout devenait noir. Je me disais alors que j’allais mourir…"
Participez à l'évènement sur Facebook
Offre promotionnelle pour la sortie du livre Les ballerines bleues, « polar épistolaire », disponible sur Kobo à 0,99 au lieu de 2,99
Lien ver la plateforme Kobo

Kobo - eBooks - Les ballerines bleues
Ludovic est en prison. C'est l'occasion pour lui d'écrire à sa fille unique, qu'il n'a pas vue depuis longtemps. Tout au long de ses lettres, en forme de compte à rebours, il va raconter ce qu'i...
https://store.kobobooks.com/fr-fr/ebook/les-ballerines-bleues
Les ballerines bleues, "polar épistolaire", sur Kobo
March 16, 2015
Chroniques vendéennes 5 - J'aime mes voisins (2)/A droite toute au Conseil général/Printemps du livre de Montaigu
J’aime mes voisins (2).
Je vous en ai parlé il y a un peu plus d’un mois (le lien ICI). Le département étend le dispositif de participation citoyenne, autrefois appelés « voisins vigilants ». Vous avez remarqué au passage le l’abandon de cette dernière expression. Les voisins étaient-ils trop invasifs ? Ou pas assez « voisins » ? Nous ne le saurons pas.
Dans le cadre du développement de cette initiative, la commune de Thorigny a organisé une réunions publique au début de mois de mars pour tous les citoyens, vos voisins, les voisins de vos voisins, et vous-mêmes, qui êtes probablement le voisin de quelqu’un.
Le « travail » confié à ces citoyens volontaires consiste à faire remonter des informations.
La réunion était animée par des représentants de la Brigade de La-Roche-sur-Yon, préfecture d’un département qui voit ses effectifs de gendarmerie diminuer… et son taux de délinquance baisser.
Pourquoi cette volonté de recruter des « auxiliaires » parmi la population ? Justement parce que la délinquance baisse - il faut savoir que le département est un de ceux où la délinquance est une des plus basses, sauf pour les infractions dues à l’état d’ivresse, peut-être -, je disais donc : parce que la délinquance baisse et qu’il « ne faut pas laisser s’installer le sentiment de sécurité », ainsi que l’a affirmé le représentant de la Gendarmerie.
Non, ce n'est pas une erreur, non, le représentant de la force publique n’a pas fait de lapsus !
Interdiction de dormir en paix et de se promener tranquillement. Il faut que la terreur règne.
Pourquoi si peu de volontaires ?
Il n’est pas toujours bon de regarder ce qui se passe chez le voisin, il risque de mal le prendre et de devenir violent, ce qui augmenterait les chiffres de la délinquance, il risque de vouloir lui aussi s’octroyer le droit de le faire chez vous. A moins que les postulants ne craignent que l’enquête de moralité indispensable à l’adoubement ne révèle quelques secrets à la maréchaussée ?
A droite toute au Conseil général de Vendée.
Les vendéens ont reçu gratuitement le journal du Conseil général dans leur boîte aux lettres. Depuis la retraite de « notre bon Philippe », on ne sait plus de quel parti politique se réclame le président actuel. Il s’agit vaguement d’une coalition de Majorité départementale. Ainsi, au nom de l’identité et de la modernité, le Président en place s’offre, mine de rien, une double page pour les prochaines élections, comment voter, avec petits dessins explicite, avec énumération des actions entreprises pour le département. Il affirme toute sa confiance dans la prochaine équipe. Il a raison. Il faut ratisser large pour garder la présidence lors du renouvellement des Conseillers départementaux (nouvelle dénomination).
Mais non, il n’est pas en campagne, il fait de l’information !
Par contre, le lecteur s'étonne qu'un encart avec deux bobines, mais alors « pas tibulaires » du tout ait pu se glisser dans le journal. Il s’agit des deux candidats d’un parti d’extrême droite que nous ne nommerons pas. Chaque habitant a ainsi pu recevoir la binette ainsi que la profession de foi des deux zozos qui se présenteront dimanche dans leur propre canton. Certes, ils sont autorisés à se présenter aux élections, mais pourquoi les tracts des autres candidats n’’ont-ils pas fait l’objet de la même attention ? Pour ne pas être accusés de médisance, nous dirons que c’est probablement parce que leurs tracts n’étaient pas prêts !
A signaler dans ce même journal départemental, l’encart pour un des plus grands salons du livre, Le Printemps du livre de Montaigu, les 27, 28 et 29 mars 2015, dont le Président est cette année Gilles Legardinier. Des auteurs français, étrangers, des people. Pour ces derniers, nous n’en retiendrons qu’un seul, Philippe Katerine.
Dans un prochain billet, je vous parlerai du « trou des halles ».
Oui, La-Roche-sur-Yon va avoir son trou, comme Paris. Y a pas de raison. La rénovation de cet espace fait déjà couler beaucoup d’encre…

Le Printemps du Livre accueille plus de 250 écrivains venus d'horizons différents pour présenter des ouvrages variés.
http://www.pdl.terresdemontaigu.fr/
Salon du livre de Montaigu