Jonathan Reynolds's Blog, page 32

July 12, 2011

Ça m'a fait du bien

Je suis allé passer quelques jours en Estrie, chez mes parents et maudit que ça m'a fait du bien! :-)


Ce n'est pas loin du tout Montréal-Bromptonville. Pourtant, je n'y vais pas si souvent mais à chaque fois que j'y vais, ça me permets de déconnecter avec le quotidien. Un présent bercé de souvenirs. À part lorsque j'étais plus jeune et que j'allais en vacances avec mes parents, je ne vais jamais en vacances quelque part (peut-être si un de mes livres devient un best-seller… hahaha). Mes vacances à moi, c'est quand je retourne dans mon coin natal.


J'en ai profité pour me reposer, pour revoir ma famille et des amis… et j'ai pris en note quelques idées pour de futures histoires. Des nouvelles, probablement. À chaque fois que je me promène dans le petit village de Bromptonville, l'inspiration est au rendez-vous.


Peut-être que l'Estrie est ma muse? :-)



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Published on July 12, 2011 06:35

July 9, 2011

Une bonne lancée

Depuis la fin des salons du livre, j'écris.


Je me sens sur une bonne lancée, à chaque jour son lot de mots.


En juin, j'y suis allé de 500 mots par jour. Depuis début juillet, j'ai augmenté à 1000 mots par jour.


Ce qui me permet d'avancer des projets et de ne pas les faire traîner pendant des mois et mois pour rien.


Souvent, j'écris le matin, ce qui me permet de m'occuper de d'autres choses l'après-midi.


Le 21 juin, je terminais « SAM », la novella pour la Maison des Viscères. Présentement, je suis dans la réécriture. J'adore réécrire. Certains auteurs haïssent ça pour mourir, moi j'adore. La matière brute, tous les éléments sont déjà en place, il ne suffit que de couper certains bouts, rallonger d'autres scènes, préciser des trucs, et les dialogues, bien sûr, les fameux dialogues. À chaque fois, c'est comme si j'avais assemblé un casse-tête en noir et blanc et qu'il me restait à y ajouter de la couleur.


Le 22 juin, je commençais l'écriture d'un projet secret, quelque chose qui va vraiment vous plaire, je le sais mais que je ne peux pas vous parler pour l'instant sous peine de me faire écouiller ;-)


Comme certains l'ont peut-être remarqué dans la section MES PUBLICATIONS, j'y ai annoncé les prochaines histoires que je publierai. Les voici :


- Jungleries (nouvelle, fanzine Nocturne : les charmes de l'effroi no.2, été 2011)


- Sam (novella, Éditions La Maison des Viscères, automne 2011)


- Salle 4 (nouvelle, revue pagESBlanches spécial Monstres, automne 2011 )


Mes parents, des monstres? (roman jeunesse, Éditions Z'ailées, collection Zone Frousse, automne 2011)


 


Plus de détails bientôt…



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Published on July 09, 2011 04:58

July 6, 2011

Lecture no.27


Titre : « Hellraiser »


Auteur : Clive Barker


Éditeur : Bragelonne


Année de parution : 2006


Année de parution de l'édition originale, en anglais : 1986



Résumé de quatrième de couverture : « Il avait enfin résolu le puzzle de la boite de Lemarchand. Il se tenait sur le seuil d'un nouveau monde de sensations exacerbées. D'ici quelques instants, les Cénobites – qui ont passé l'éternité à la recherche de la sensualité ultime – seraient là. Ils allaient pouvoir lui révéler les secrets les plus sombres qui le transformeraient pour toujours.


Mais avec les plaisirs les plus exquis viendront une douleur sans pareille. Afin d'échapper à ses tortionnaires, et de retourner dans son monde, il allait avoir besoin de l'aide de sa belle-soeur, Julia, la femme qui l'aimait. Mais par-dessous tout, il allait avoir besoin de sang… »



Commentaire de lecture : J'ai regardé de nombreuses fois ce classique dans son adaptation cinématographique et avec grand plaisir. Mais j'étais curieux de lire le livre sur lequel le film était basé. On m'avait dit que c'était très semblable, et avec raison, c'est l'auteur lui-même, Clive Barker, qui avait réalisé le film.


Effectivement, c'est bien le cas: les deux oeuvres se ressemblent presque en tout point mais le livre offre en plus de l'excellente histoire, la plume unique de Barker : très sensuelle, poétique et chirurgicale par moment (dans les scènes gore).


Même si j'ai adoré les Cénobites (créatures infernales venus d'ailleurs) dans le film, je préfère leur aspect plus mystérieux dans la version littéraire. Bien sûr, au cinéma, on veut en mettre plein la vue et c'est le but mais les Cénobites du livre se rapprochent davantage d'un mélange de spectres et d'entités lovecraftiennes (peu décrites mais juste assez pour créer le frisson chez le lecteur).


Il se lit dans le temps de le dire, il n'y a aucune longueur ou scène inutile. Ici, tout s'enchaîne dans une relation de cause à effet vers une finale fantastique.




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Published on July 06, 2011 10:17

July 5, 2011

À la main ou à la machine?

1) À la main


2) Avec une machine à écrire


3) À l'ordinateur


Quelle est la meilleure manière d'écrire une histoire? Il n'y a pas d'autres bonnes réponses à cette question que celle-ci : de votre manière. C'est vous le maître, non?


Pour ma part, j'ai essayé les trois manières. Et même si la plus simple est la dernière (puisque, bien entendu, peu importe la méthode utilisée, vous devez retranscrire le tout dans un traitement de texte sur ordinateur…), j'aime bien à l'occasion écrire à la main, ça donne moins mal aux yeux à la longue.


Quand j'étais au secondaire, j'écrivais toutes mes nouvelles au crayon à mine HB (j'ai encore tous ces manuscrits dans une valise) avant de les retranscrire, une fois terminée, sur WORD. Je ne sais pas exactement pourquoi mais je préférais ce logiciel à WORDPERFECT.


À chaque fois que je prends l'autobus en direction d'un salon du livre, j'emporte avec moi quelques crayons HB et un cahier pour écrire car je n'ai pas d'ordinateur portable.


Mais la seule fois où je me suis servi des trois manières mentionnées ci-haut est lors de la rédaction de mon recueil de nouvelles « Silencieuses » qui a commencé en septembre 2007 pour se terminer quelque part au printemps 2008. Je voulais m'amuser, je voulais jouer, varier. Pour certaines des histoires, je commençais à la main, dehors dans un parc, avant de passer à l'ordinateur, pour d'autres je sortais une machine à écrire qui appartient à ma copine et je jouais à l'image qu'on a parfois d'un écrivain qui tape à la machine.


Et vous, de quelle manière écrivez-vous?



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Published on July 05, 2011 05:20

July 3, 2011

Lecture no.26


Titre : « Brume : La Faucheuse »


Auteur : Stephen King


Éditeur : J'ai lu (Épouvante)


Année de parution : 1989


Note : En anglais, les deux tomes (« Paranoïa » et « La Faucheuse ») sont parus dans un seul livre, en 1985, sous le titre « Skeleton Crew ». En français, l'équivalent existe, publié en grand format paru en 1987 sous le titre « Brume ». 


 


Résumé de quatrième de couverture : « Un rien qui dérape et nous voilà plongés dans un monde, le nôtre, soudain menaçant. Accablé d'une crainte sans nom, l'homme vit alors une tragédie. On l'a vu dans « Paranoïa» , le premier volet de cette série de nouvelles.


Ici, les choses parcourues de secrètes vibrations deviennent brutalement étrangères. Objet familier comme cette divine machine à traitement de texte dotée de pouvoirs surnaturels… Engin maléfique, ce camion sournois, mastodonte aux instincts meurtriers, qui avance sans en avoir l'air…


Partout, l'ombre de la mort plane. Quand elle ne rôde pas dans le Chenal, elle se perd dans les profondeurs vides d'un miroir, silhouette à capuchon, à l'image de la Faucheuse qui tranche le fil de nos vies à tous. »


 


Commentaire de lecture : L'été, quand il fait beau et chaud, j'adore lire un livre de Stephen King. J'avais lu le premier tome de « Brume » il y a plusieurs années, l'été de 2007 et j'avais adoré (avec, entre autres, l'excellente nouvelle éponyme qui a inspiré le film).


Qu'en est-il du deuxième tome? Je dois avouer qu'il est moins bon que « Brume : Paranoïa » qui contenait des textes très forts (dont « Le radeau », « L'expédition » et « Le Raccourci de Mme Todd »). « Brume : La Faucheuse » contient plus de nouvelles mais moins qui m'ont réellement marqué.


Bien sûr, il y a de belles trouvailles comme « Le goût de vivre » (où un homme naufragé sur une île déserte devra commettre l'impensable pour survivre…), « Mémé » (qui a dit que les gentilles grand-mères ne pouvaient pas devenir effrayantes?) et « Le camion d'oncle Otto » (où tout repose sur une ambiance très mystérieuse, où la réalité bascule juste assez subtilement pour qu'on y croit).


À la fin du volume, on peut découvrir les secrets derrière ces histoires, ce que Stephen King fait, dans un court essai, comme pour la plupart de ses livres. J'adore, ça apporte une réflexion sur l'écriture et je trouverais ça vraiment bien si plus d'auteurs s'adonneraient à ce même petit jeu.


En bref, une lecture sympathique mais j'ai de beaucoup préféré le premier tome ou encore le génial « Danse Macabre » (« Night Shift », autre recueil de nouvelles : à lire absolument! )



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Published on July 03, 2011 08:31

July 2, 2011

Il y a environ 25 ans…

Il y a environ 25 ans, à pareille heure, j'étais assis devant la télé pour regarder les  nombreux dessins animés que je suivais. Chaque samedi matin, je me levais à 6h00 pour ne rien manquer. J'en aimais plusieurs, He-Man, G.I.Joe, Transformers, etc, en français et en anglais. Dernièrement, je me suis rappelé le nom de certains un peu moins connus mais que j'adorais :


Thundercats :



Inhumanoids (the evil that lies within) :



Sectaurs :



 


 


 



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Published on July 02, 2011 06:19

June 30, 2011

Ma phobie

Depuis toujours, je suis arachnophobe. J'ai peur des araignées. Pas des toutes petites mais aussitôt qu'elles se présentent devant moi aussi grosses qu'un sous noir, je fige.



Chez mes parents, il y a une cave avec un escalier pour sortir dehors entre une porte et une trappe de métal. Et dans cet escalier (vide en dessous), devinez ce qui pullule dans le noir…


Elles.


Alors quand ma mère me demandait d'aller lui déverrouiller la trappe de l'intérieur, j'avais des sueurs froides. Juste de penser à leurs yeux, leurs huit yeux globuleux sur moi, leurs pattes, leurs huit pattes velues prêtes à grimper sur mon corps, je figeais. Et là, il fallait que j'y aille alors je fermais les yeux et je courrais dans l'escalier, je sentais leurs toiles me coller à la peau, au visage, sur les bras.  Bien sûr, je réussissais à ouvrir la trappe à ma mère. Le tout avait pris 10 secondes à peine mais j'étais tout en sueur et troublé.


Je me souviens que je tentais d'apprivoiser ma peur en regardant souvent le film « Arachnophobie »


Même maintenant, alors que je suis adulte, j'y repense et ça me rend mal à l'aise. Parfois, quand je suis couché entre le sommeil et l'éveil, une vision s'empare de mon esprit : je ne suis pas couché dans mon lit, je suis prisonnier d'une toile. Et bientôt, bientôt, elles viendront me dévorer!



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Published on June 30, 2011 05:50

June 28, 2011

Je ne fais plus de cauchemars

Je ne sais pas si c'est la même chose pour vous mais depuis des années, je ne fais plus de cauchemars. Des rêves parfois étranges, oui, mais pas à me flanquer la frousse, celle qui te fait réveiller en sueur au milieu de la nuit et qui t'empêche de te lever tellement tu as peur…


Quand j'étais au primaire, j'en faisais souvent.


Il y en a deux qui me reviennent en tête aujourd'hui :


1) J'étais avec mon père près d'une plage. Des marches de pierres, immenses, menaient à celle-ci. Mon père voulait y descendre. Malgré mes avertissements, malgré mon pressentiment qu'il y avait quelque chose, là, en bas, dans l'eau, il ne m'a pas écouté et a rejoint la plage. Une bouche monstrueuse et dentée a surgi du lac pour avaler mon père. Et là, je criais dans mon rêve et dans la réalité. Mes parents sont venus voir ce qui se passait et là, je n'arrêtais pas de répéter à mon père qu'il ne m'écoutait pas quand je parlais. :-)


Voici une image du film « Deadly Spawn » qui ressemble un peu au monstre dans mon cauchemar :



2) J'étais dans ma chambre, en haut de l'escalier et mon père regardait le base-ball dans le salon, en bas. Une fille (que je connaissais dans la vraie vie) est entrée et est venue me rejoindre dans ma chambre. Je sentais que c'était interdit, et je lui disais de ne pas parler trop fort sinon mon père allait entendre… Je ne savais pas trop ce qui allait se passer, elle me regardait avec des yeux de séductrice (mais j'avais 6 ou 7 ans, je ne comprenais pas trop…) et a enlevé sa jupe. Là, à la place d'un sexe féminin, il y avait un petit bras gris à trois doigts qui bougeait, qui voulait m'agripper… Je ne suis réveillé apeuré et avec cette culpabilité qui ne m'a pas quitté pendant longtemps. :-)


Et vous, vous rappelez-vous de vos cauchemars d'enfance?


 



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Published on June 28, 2011 07:29

June 26, 2011

Ça vous marque

Ce qui se passe dans votre jeunesse vous marque pour toujours.


Et ce que vous voyez à la télévision aussi.


Pour moi, quand j'étais au primaire, la télévision représentait (et peut-être encore au présent) une ouverture sur un autre monde. Pour moi, ça n'a jamais été seulement : « bon, je n'ai rien à faire, je vais regarder un film… » Non, moi, c'était un véritable évènement à chaque samedi soir, le programme double de TVA, avant que mon père achète notre premier magnétoscope, avant qu'on puisse enregistrer ou louer des films (ce que je n'imaginais pas qu'on pouvait faire avant de le voir de mes yeux, on était dans les années 1980, j'avais 6 ans)


Bref, dans ce temps où si tu ratais le début d'un film, tu devais attendre longtemps avant de le revoir (et où ça prenait trois ans avant de voir à la télé ce qui passait au cinéma).


Au fil des années, des images me revenaient en tête, des fragments de films, quelques scènes mais sans connaître le titre. Ces images ont fini par me hanter et par m'obséder même. J'en parlais à plein d'autres cinéphiles pour tenter de remonter à la source, de savoir quels étaient ces films que j'avais vu à 6, 7 ans, à la télé…


Je devais les revoir.


Et au fil des années (vers 2005, 2006), je les ai retrouvés ou, du moins, certains d'entre eux. C'est comme, pour un archéologue, d'enfin trouver le trésor qu'il recherche depuis longtemps. C'est le même sentiment, celui de ne pas simplement avoir imaginé que tel bout de film, qu'il existe pour vrai! Bon, dans les faits, ils ne sont pas tellement bons mais ça m'a fait du bien de les revoir.



Strange Invaders (Les envahisseurs sont parmi nous, 1983) :


http://www.youtube.com/watch?v=35Ze9l0tYgQ


J'avais une peur bleue des extra-terrestres (pour tout vous dire : E.T. me terrifiait et j'étais sûr qu'il se cachait dans la cave de la maison de mes parents et qu'il attendait que je descende au salon pour venir me toucher de ses longs doigts). Et quand j'ai vu « Strange Invaders », j'ai pleuré toute la nuit tellement j'avais eu peur, surtout une scène où un homme se cache pour espionner un individu au comportement étrange et voit cet individu s'arracher la peau du visage pour révéler sa véritable apparence! (Bon, ce film se révèle être une comédie, une parodie de films de SF des années 50 mais pour moi, c'était le sommet de la terreur).


*



Deadly Blessing (La ferme de la terreur, 1981) :


http://www.youtube.com/watch?v=q5bagblnFSY


Ce film (de Wes Craven) avait été diffusé l'après-midi et quelques fragments étaient resté dans ma mémoire pour créer un film effroyable (vous devinez que dans les faits, ce n'est pas du tout terrifiant et que l'histoire est bien différente que celle que je m'étais créée…) : un homme qui habite sur une ferme se lève la nuit parce qu'il entend des bruits dehors. Il s'y rend et se fait tuer. Dès le lendemain, à l'enterrement, sa femme voit sur une colline près du cimetière des silhouettes, des hommes vêtus de noir qui la regardent, elle sera la prochaine. Ils l'attendent dans la grange… Ça, c'est le film que je m'étais créé et j'ai cru pendant longtemps l'avoir imaginé.


*



Warning sign (Contact mortel, 1985) :


http://www.youtube.com/watch?v=iUCJYHM3C9E


« Warning Sign » m'avait presque autant effrayé que « Strange Invaders » car il touchait un point vital : la fatalité. Paf! Ça arrive et vous n'y pouvez rien. Pour un enfant de 7, 8 ans, c'est vraiment terrifiant. Ce film est un ancêtre du premier « Resident Evil » : un virus se répand dans un laboratoire et donne la rage meurtrière à tout ceux qu'elle contamine. Heureusement, plus personne ne peut sortir de cette bâtisse. Mais les deux héros du film doivent y entrer pour aller secourir des gens non-contaminés qui sont prisonniers… Vêtu de combinaison spéciale, ils entrent, mitraillette à la main. J'étais terrifié. Surtout quand un des deux héros se rend compte que sa combinaison est trouée, ça y est, il est infecté. Le lendemain, à l'école, on parlait tous de ce film, il nous avait tous traumatisé.


*



Blastfighter (L'exécuteur-exterminateur, 1984) :


http://www.youtube.com/watch?v=Z-YTFwIiSqU


Parfois, mon grand-frère Francis m'amenait chez un voisin, son meilleur ami, pour regarder des films. Et là, c'était cette copie italienne de Rambo (que je n'avais pas encore vu) qui jouait. Ce n'est pas un film d'horreur mais il m'avait fait peur. Tous les chasseurs d'un petit village se liguent contre un seul homme, qui doit retrouver son arme spéciale (chaque balle fait quelque chose de différent : fumée, explosion, etc) pour pouvoir se défendre. Beaucoup de scènes d'action et un meurtre (la femme qu'il aime se fait tuer : ça, ça m'avait marqué) pour mener à l'affrontement final entre deux frères : chacun a une balle, l'un survivra, l'autre non. J'étais paralysé sur ma chaise.


*


Il y a encore certaines scènes qui m'habitent, certains films que je recherche sans savoir le titre.


En voici un exemple : un combat qui se déroule dans une usine où des pâtés à la viande sont préparé sur des tapis roulants. Deux hommes se battent, aux poings, et l'un d'eux tombent dans la machine à préparer les pâtés.


Une autre scène qui me hante : deux garçons se chicanent en haut d'un genre d'observatoire en bois et l'un deux pousse l'autre en bas (celui-ci meurt). Le survivant descend en courant, et commence à manger de la terre, pour se punir, en pleurant.


Savez-vous à quels films appartiennent ces scènes?


 


 


 


 



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Published on June 26, 2011 08:21

June 24, 2011

De la SF québécoise pour la bonne cause

Vous aimez le Québec?


Vous aimez la science-fiction?


Et vous aimez faire un don pour une bonne cause?


Ça tombe bien, mon collègue Alexandre Lemieux, auteur québécois de SF, a concocté une excellente histoire qu'il partage avec vous en échange d'un don pour une bonne cause!


C'est juste ici : http://www.fortrel.net/blog/2011/06/22/ma-nouvelle-vers-un-monde-meilleur-au-profit-du-cyclo-defi-contre-le-cancer/



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Published on June 24, 2011 06:29