Anne Percin's Blog, page 5

September 12, 2012

Casting de ouf

 Alors que je mettais la dernière main aux corrections du manuscrit de Comment devenir une rock star (ou pas), et comme j'avais bien du mal à quitter mes personnages chéris, je me suis amusée à créer un casting imaginaire.
Ayant pour chacun d'eux des images, des visages, dans la tête, j'ai cherché à quels acteurs ils pouvaient bien ressembler...
Voici donc Natacha, Stéphane, Julius et Christian (du tome 3). Il manque Maxime (je ne retrouve plus le fichier !), quant à Kévin et Alex, je ne m'y suis pas (encore) attelée... Des suggestions ?




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Published on September 12, 2012 03:55

September 10, 2012

Vadrouille de fin d'année

Voilà, on y est, c'est la rentrée. Mon petit Maxime fait la sienne mercredi 12, j'espère que vous n'allez pas rater ça ?
Et si vous ne voulez pas me rater moi non plus, voici mes dates d'apparition publique (va falloir faire vite parce qu'avec moi, c'est un peu comme la nuit des étoiles filantes, on attend on attend et ça passe à toute vitesse, et parfois ça ne passe pas du tout :-) :

le samedi 22 septembre à Besançon (Doubs), festival Les Mots Doubsle dimanche 7 octobre à Ambronay (Ain), salon du livrele dimanche 21 octobre à St-Laurent-sur-Saône (Saône-et-Loire), salon Levez l'encre le samedi 1er décembre à Montreuil (Seine-St-Denis), salon du livre et de la presse jeunessele mercredi 6 février à Toulon (Var), forum du prix des lycéens de PACA
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Published on September 10, 2012 12:10

August 31, 2012

C'est beauC'est moderneC'est japonaisc'est Mirai Mizue......

C'est beau
C'est moderne
C'est japonais
c'est Mirai Mizue...

 
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Published on August 31, 2012 08:42

July 2, 2012

Pac(a)man

J'apprends avec plaisir que Le Premier été fait partie de la sélection officielle du  Prix littéraire des lycéens et apprentis  de PACA, parmi 5 autres romans (et 6 BD).
Le Prix PACA, c'est 1 000 jurés, 160 professionnels et 12 ouvrages contemporains défendus chaque année.

Trois grandes rencontres sont organisées pour permettre un large débat entre auteurs de la sélection et jurés de chaque ville ainsi qu'un regard croisé entre jurés :

Deux forums d'auteurs réunissent chacun une moitié des auteurs de la sélection et 250 jurés:- l'un dans l'académie de Nice
 - l'autre dans l'académie d'Aix-Marseille
Une journée de fête pour la remise de Prix (fin mai à Marseille) offre aux jurés la possibilité d'exposer, dire, jouer… leurs réalisations, en présence des auteurs des deux titres primés (cat. Roman et cat. BD)
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Published on July 02, 2012 08:21

June 21, 2012

La trilogie

Comment ne pas rater MaximeVoilà, ils sont enfin réunis ! Et j'en suis bien heureuse, malgré deux coquilles qui me mettent en fureur (on va dire que c'est pour donner du grain à moudre aux fans qui pourront s'amuser à charcher la faute - si j'en juge par le nombre de lecteurs bienveillants qui m'ont signalé celles de Comment gérer sa love story, ça va devenir une discipline olympique, bientôt)...


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Published on June 21, 2012 08:58

June 8, 2012

Mamie Lisette contre-attaque



Le lundi 4 juin 2012, Comment (bien) rater ses vacances a reçu le Prix Chronos de littérature, catégorie 4ème/3ème.
Et moi, j'ai reçu des chocolats et plein d'autres belles choses qui récompensent, encouragent et adoucissent les mœurs...
Je suis très fière de ce prix, qui récompense une œuvre qui fait le lien entre les générations : dans ma vie comme dans les romans je n'aime pas particulièrement les clivages, les segmentations, les étiquetages, et soutiens que les sentiments (amoureux, fraternels, amicaux) se passent de ce genre de frontières.


Voici un petit mot écrit pour l'occasion :

 Dans Comment devenir une rock star (ou pas) (3èmetome des aventures de Maxime), l’indéboulonnable, l’indestructible, l’indécrottable Mamie Lisette – qui a, rappelons-le, survécu à un infarctus, mais a aussi repris le jardinage, la confiture et les travaux manuels ! – se transforme inexorablement en guide spirituel, tendance Maître Yoda dans La Guerre des étoiles (vous savez, genre E.T. avec une robe de chambre et de grandes oreilles ?) Voilà qu’elle assène un jour à mon héros Maxime cette belle phrase qu’elle a trouvée elle-même, cette belle phrase tricotée main, quoi :« On ne grandit pas tout seul ».
Évidemment, Maxime s’empresse de lui rire aux nez – vous savez comment sont les ados – ce qui lui vaut une baffe, parce que Mamie Lisette, c’est comme Maître Yoda, c’est un Jedi. Faut pas l’embêter.

Et puis, progressivement, de rencontre en rencontre, de fil en aiguille, de chat en souris, petit à petit, Maxime finira par comprendre ce que sa grand-mère voulait dire (eh oui, à 18 ans, « ça comprend vite, mais faut leur expliquer longtemps », comme disait ma grand-mère à moi).Maxime finira même – vous savez comment sont les ados – par lui piquer cette devise, l’enrichissant au passage : « On ne grandit pas tout seul, mais on n’a besoin de personne pour vieillir ».
Quand j’ai appris que Comment (bien) rater ses vacances s’était vu décerner le prix Chronos,  à peine remise de mon émotion légitime, c’est cette pensée-là qui m’est venue. Cette réflexion, née dans deux esprits si proches, malgré les deux générations qui les séparent.
Bien sûr, Mamie a raison : on ne grandit pas tout seul. Il faut près de soi des amis sur qui compter, une famille qui vous aime, des modèles et des contre-exemples, de quoi se rassurer et de quoi s’opposer, aussi. Mais pour vieillir, on n’a besoin de personne : vieillir, ça se fait tout seul, quoi qu’on fasse, et parfois ça se fait très vite, hélas. Sitôt qu’on arrête de s’ouvrir aux autres, de rire, de découvrir des choses nouvelles.
La bonne nouvelle c’est que, quel que soit leur âge, ce danger ne guette pas, généralement, les amateurs de lecture.Dès l’enfance, on trouvera dans les livres des amis qui vous feront grandir, modèles ou contre-exemples, héros complices ou adversaires auprès de qui découvrir la vie. Dans l’âge mûr, on continuera d’explorer des continents nouveaux où l’on n’aurait jamais cru débarquer, on gardera un pied dans l’enfance ou dans l’adolescence, on maintiendra le lien avec des réalités qu’on ne voit plus, qu’on ne sent plus autour de soi… et qui nous manquent parfois.
Merci à tous tous les lecteurs qui ont participé à l’aventure du prix Chronos, petits et grands, jeunes et moins jeunes. Tous ceux qui ont accepté de faire un bout de chemin avec Maxime et Mamie Lisette,  qui se sont amusés à leurs côtés. Tous ceux qui ont ri avec ce livre. Ceux qui ont peu grandi aussi, pourquoi pas ? grâce à lui. Tous ceux qui n’ont pas vieilli, parce que le rire est un excellent anti-rides.
Anne Percin © 2012
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Published on June 08, 2012 03:33

June 6, 2012

Eugène GuillevicD. Lange


Eugène Guillevic

D. Lange
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Published on June 06, 2012 12:05

May 30, 2012

En route !

Le plus dur, c'est de commencer. De commencer vraiment.
Pour commencer, il ne suffit pas d'avoir l'idée : elle est là, bien souvent, depuis des lustres, n'attendant que le moment propice pour sortir de sa cachette où elle a mûri.
Pour commencer, il ne suffit pas non plus d'écrire les premières lignes, ni même les premières pages : chez moi, bien souvent, elles sont médiocres d'emblée et ce triste constat peut bloquer pendant des mois tout le processus.
Pour commencer, il faut avoir envie .
Vraiment envie.
Il faut que ça démange, que ça picote, que ça chatouille, que la perspective de passer des mois en compagnie de la même histoire et des mêmes personnages apparaisse comme une distraction et non comme un pensum. Il faut avoir envie, en quelque sorte, de partir en vacances avec un roman. Il faut en tomber amoureux avant qu'il ne soit né, amoureux de l'idée de ce qu'il sera, et que personne ne voit.
Je commence (je dis bien : commence) à avoir très envie de partir, là.
Il sera question d'amitié. Surtout, avant tout, par dessus tout. Il sera question de création, de peinture. Il sera question des années 20 et de Dada. Je sais déjà tout cela, mais ce que je ne sais pas, c'est : quand est-ce qu'on décolle ? J'attends le signal du chef de bord. J'ai mes petites valises de mots. Je suis prête.

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Published on May 30, 2012 12:14

May 24, 2012

Cherchez le lapin

Après vous avoir présenté son dernier roman paru, Pépère (ed. L'une & L'autre), je ne pouvais pas manquer de vous faire part des dernière innovations du site de Christophe Spielberger.
 On y trouvera des lapins, un morphing de folie, des tableaux légendés, des expos qui s'animent : bref, il donne la part belle à la version "créations plastiques" de son oeuvre.
Mais la littérature n'est pas oubliée et l'on trouvera toutes les infos sur ses romans et poèmes (dont certains, parus en revue, sont désormais accessibles sur ce site).

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Published on May 24, 2012 09:51

May 2, 2012

A lire... en mai !

A paraitre le 1er mars 2012
Christophe Spielberger est écrivain, poète, plasticien.
Il a déjà dû m'arriver de parler de lui et de son travail sur ce blog, car il se trouve que je partage sa vie depuis de nombreuses années (on restera discret sur le nombre exact).


Il publie en mai un court roman, Pépère : émouvant et drôle. Indispensable, donc. 


Ce roman est (enfin) disponible dans toute bonne librairie et sur les sites marchands du web.


Le jour de ses 100 ans, Albert Binot, dit Pépère, ancien libraire strasbourgeois, décide de tenir un journal de bord. Estimant que l’on n’arrive pas à son âge par hasard, il se défend d’être un vieux con et dans ce cahier qu’il souhaite léguer à son arrière-petit-fils, revisite à la fois son passé et son présent… 
Libraire jusqu’à la fin du XXè siècle, il se souvient du temps où l’on imprimait encore les livres sur du papier, on se déplaçait même pour les acheter…
Des femmes de sa vie à une infirmière dévouée, à l’asile Élisa où il réside depuis trois ans, du copain de promenade à sa voisine de palier abîmée par Alzheimer, de l’amour à la mort les frontières vont s’avérer poreuses…
Son journal durera 100 jours, 100 petits chapitres et autant de tranches de vie, soutenus par des vignettes piochées tantôt dans un imagier fétiche, tantôt dans son propre imaginaire…
Sage et malicieux, drôlement poétique, Pépère est un roman sur ce qui fout le camp mais aussi sur ce que l’on voudrait garder jusqu’au bout.

ISBN 2357290633
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Published on May 02, 2012 04:31

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Anne Percin
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