Capital of Pain Quotes

“She always walked under the arches of nights
And everywhere she went
She left
The mark of broken things.”
― Paul Éluard, Capital of Pain

“« Si c’était à recommencer, je te rencontrerais sans te
chercher. »”
― Paul Éluard, Capital of Pain

“Et partout où elle a passé
Elle a laissé
L’empreinte des choses brisées.”
― Paul Éluard, Capital of Pain

“La Courbe de tes yeux

La courbe de tes yeux fait le tour de mon coeur,
Un rond de danse et de douceur,
Auréole du temps, berceau nocturne et sûr,
Et si je ne sais plus tout ce que j'ai vécu
C'est que tes yeux ne m'ont pas toujours vu.

Feuilles de jour et mousse de rosée,
Roseaux du vent, sourires parfumés,
Ailes couvrant le monde de lumière,
Bateaux chargés du ciel et de la mer,
Chasseurs des bruits et sources des couleurs,

Parfums éclos d'une couvée d'aurores
Qui gît toujours sur la paille des astres,
Comme le jour dépend de l'innocence
Le monde entier dépend de tes yeux purs
Et tout mon sang coule dans leurs regards.”
― Paul Éluard, Capital of Pain

“Je n’ai pourtant jamais trouvé ce que j’écris dans ce que
j’aime.”
― Paul Éluard, Capital of Pain

“La terre est bleue

La terre est bleue comme une orange
Jamais une erreur les mots ne mentent pas
Ils ne vous donnent plus à chanter
Au tour des baisers de s’entendre
Les fous et les amours
Elle sa bouche d’alliance
Tous les secrets tous les sourires
Et quels vêtements d’indulgence
À la croire toute nue.

Les guêpes fleurissent vert
L’aube se passe autour du cou
Un collier de fenêtres
Des ailes couvrent les feuilles
Tu as toutes les joies solaires
Tout le soleil sur la terre
Sur les chemins de ta beauté.”
― Paul Éluard, Love, Poetry

“Ma mémoire
Est encore obscurcie de t’avoir vu venir
Et partir. Le temps se sert de mots comme l’amour”
― Paul Éluard, Capital of Pain

“[...] et, comme aux temps anciens, tu pourrais dormir dans la mer.”
― Paul Éluard, Capital of Pain

“L’oiseau s’est confondu avec le vent,
Le ciel avec sa vérité,
L’homme avec sa réalité.”
― Paul Éluard, Capital of Pain

“Plus un mélange n’est absurde –
C’est ici que l’on voit le créateur de mots
Celui qui se détruit dans les fils qu’il engendre
Et qui nomme l’oubli de tous les noms du monde”
― Paul Éluard, Capital of Pain

“Tes yeux sont revenus d’un pays arbitraire
Où nul n’a jamais su ce que c’est qu’un regard”
― Paul Éluard, Capital of Pain

“Las sombras que tú creas no tienen derecho a la noche.”
― Paul Éluard, Love, Poetry

“She had in the tranquility of her body
A little snowball the color of an eye
She had on her shoulders
A spot of silence a spot of rose
A lid on her breast
Her hands and supple singing arches
shattered the light

She sang the moments without falling asleep.”
― Paul Éluard, Capital of Pain

“Il fallait bien qu’un visage
Réponde à tous les noms du monde.”
― Paul Éluard, Capitale de la douleur / L'amour la poésie

“et quand tu n'es pas là
je rêve que je rêve je dors que je rêve”
― Paul Éluard, Capitale de la douleur / L'amour la poésie

“Elle rit pour cacher sa terreur d’elle-même.”
― Paul Éluard, Capital of Pain

“Elle imagine que l’horizon a pour elle dénoué sa ceinture”
― Paul Éluard, Capital of Pain

“Les muets sont des menteurs, parle.
Je suis vraiment en colère de parler seul
Et ma parole
Éveillé des erreurs
Mon petit cœur.”
― Paul Éluard, Capital of Pain

“Faites mon portrait.
Il se modifiera pour remplir tous les vides.”
― Paul Éluard, Capital of Pain

“La Malédiction

Un aigle, sur un rocher, contemple l’horizon béat. Un aigle défend le mouvement des sphères. Couleurs douces de la charité, tristesse, lueurs sur les arbres décharnés, lyre en étoile d’araignée, les hommes qui sous tous les cieux se ressemblent sont aussi bêtes sur la terre qu’au ciel. Et celui qui traîne un couteau dans les herbes hautes, dans les herbes de mes yeux, de mes cheveux et de mes rêves, celui qui porte dans ses bras tous les signes de l’ombre, est tombé, tacheté d’azur, sur les fleurs à quatre couleurs.”
― Paul Éluard, Capital of Pain

“La nuit

Caresse l’horizon de la nuit, cherche le cœur de jais que l’aube recouvre de chair. Il mettrait dans tes yeux des pensées innocentes, des flammes, des ailes et des verdures que le soleil n’invente pas.

Ce n’est pas la nuit qui te manque, mais sa puissance.”
― Paul Éluard, Capital of Pain

“D’une seule caresse
Je te fais briller de tout ton éclat.”
― Paul Éluard, Capitale de la douleur / L'amour la poésie

“Mon amour pour avoir figuré mes désirs
Mis tes lèvres au ciel de tes mots comme un astre
Tes baisers dans la nuit vivante
Et le sillage de tes bras autour de moi
Comme une flamme en signe de conquête
Mes rêves sont au monde
Clairs et perpétuels.

Et quand tu n’es pas là
Je rêve que je dors je rêve que je rêve”
― Paul Éluard, Capitale de la douleur / L'amour la poésie

“Inconnue, elle était ma forme préférée,
Celle qui m’enlevait le souci d’être un homme,
Et je la vois et je la perds et je subis
Ma douleur, comme un peu de soleil de l’eau froide.”
― Paul Éluard, Capitale de la douleur / L'amour la poésie

“et quand tu n'es pas là
je rêve que je dors je rêve que je rêve”
― Paul Éluard, Capitale de la douleur / L'amour la poésie

“Elle se refuse toujours à
comprendre, à entendre,

Elle rit pour cacher sa terreur
d'elle-même.

Elle a toujours marché sous les
arches des nuits,

Et partout où elle a passé,

Elle a laissé l'empreinte des
choses brisées.”
― Paul Éluard, Capitale de la douleur / L'amour la poésie

“nconnue, elle était ma forme préférée,
Celle qui m’enlevait le souci d’être un homme,
Et je la vois et je la perds et je subis
Ma douleur, comme un peu de soleil dans l’eau froide.”
― Paul Éluard, Capital of Pain

“La rivière que j’ai sous la langue,
L’eau qu’on n’imagine pas, mon petit bateau,
Et, les rideaux baissés, parlons.”
― Paul Éluard, Capital of Pain