Depuis qu’il avait fait la connaissance de Yûichi, il rêvait d’une œuvre où la perfection serait guérie de la maladie de la perfection et qui serait éclatante d’une santé funèbre, elle-même guérie de la maladie de la vie. Ce serait alors une guérison de toutes choses. De la jeunesse, de la vieillesse, de l’art, de la vie, de l’âge, de la société, sinon de la folie. Conjurer la décadence …
— Jul 07, 2022 12:44PM
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