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« Inutile de souligner que j’ai plus d’esprit pour te vaincre avec mon petit doigt que toi avec toute ta carcasse. Alors fais ce que je te dis. »

« Balivernes, mon cher, pures balivernes. Je peux regarder ce que bon me semble. Et j’apprécie tout particulièrement la vue des crucifix »

Achéron qui croit qu’une femme ne peut tomber enceinte que d’un homme qu’elle aime… misère…

Et après avoir lâché son arme et avoir valsé sur plusieurs mètres, il se retrouve miraculeusement avec une nouvelle arme, supposée être tombée plus loin, dans la main…

« La distance qu’elle mettait entre nous ne l’a rendue que plus désirable » mais au secours le stéréotype…

Mélanos est tellement décevant que c’en est ridicule.

Comme on ne voit pas la guerre de son point de vue, Acheron accomplit des exploits inexpliqués, c’est bien pratique…

« Pourquoi ne lisent-ils pas dans mes pensées pour m’éviter des explications ? »
« Celui qui devait être le héros de l’armée Atlante a accompli sa mission. Et du même fait, il m’a volé ma victoire »
« Peu m’importe de tuer mes propres hommes si cela me permet de régler son compte à ce vermisseau »

Depuis quand Achéron a autant d’hommes ?
Leuce a évolué en bien.

Mélanos n’est au final qu’une brute. Il était beaucoup plus impressionnant lorsqu’il ne faisait que passer dans les autres points de vue.

Achéron est en train de vaincre avec une facilité déconcertante. On se demande bien d’où vient son armée, vu que dans le tome précédent il n’avais que quelques vaisseaux de guerre dont certains ont été détruits. Il est devenu un épéiste expert comme ça…

Fin du tome 2, L’Oracle.

Ouf, j’en ai fini avec Achéron ! Personnage que je n’ai pas réussi à apprécier.
Le tome 1, au moins, abordait la condition de la femme. Le tome 2 aborde les soucis existentiels du héros..

D’ordinaire je serais contente d’avoir un dernier tome du point de vue du méchant. Problème, Mélanos étant un violeur récidiviste et une brute, ça ne me tente vraiment pas…

C’est bien ce que je craignais : Achéron est un jeune coq qui ne peut s’empêcher de roucouler avec d’autres femmes et de leur donner de faux espoirs.
Et il s’étonne qu’elle soit en colère d’être rejetée…

« Même après que son époux m’ait humilié et torturé, j’aimais Leuce »

Comme c’est généreux, genre c’est la faute de la fille… elle a juste été mariée de force à un homme qui la bat et qu’elle a supplié de t’épargner… Mais c’est gentil…

« Je suis une Atlante, Achéron. Pas une gamine grecque […]. Crois le ou non, je survivrai aussi bien que n’importe quel homme »

Fin du tome 1.

« Telle est ma destinée. Tout ce que j’ai entrepris pour y échapper n’a réussi qu’à retarder l’inéluctable. Je suis à lui par mon sang. Ma naissance a fait de moi sa femme »

« A ses yeux, il était naturel que tu rattrapes la faute de ta conception en t’unissant à Mélanos. Ainsi, tu offrirais à Atlantis l’héritier quelle n’avait jamais eu »

« Mon avenir, mon nom, mon corps ne m’ont jamais appartenu »

« De mon balcon, j’envie le peuple de Poséidon. Ivre d’une liberté que je n’aurai jamais »

« Les coups. Si mon père apprend ce qui s’est passé, il me tuera pour avoir refusé à Mélanos de m’étreindre »

« Son sourire me met le cœur au bord des lèvres. Il m’offre à mon bourreau »

« Mélanos vient de me remplacer. Il n’a rien eu à faire. Il lui a suffi d’être là et d’être homme. Atlas a trouvé un héritier. »

Livre qui traîne dans ma PAL depuis bien trop longtemps.

« In my mind are all the tides, their seasons, their ebbs and their flows. In my mind are all the halls, the endless procession of them, the intricate pathways. »

Pas du tout ce que j’attendais, aucun rapport avec l’Antiquité mais une bonne lecture très intrigante.

« I will place you somewhere where the fish and the birds can strip away all this broken flesh. It will soon be gone. Then you will be a handsome skull and handsome bones. »

« It was as though a principle of Death had been replaced with a principle of Life »

« Perhaps even people you like and admire immensely can make you see the World in ways you would rather not. »

« This is a strong pull for readers and therefore a definite pro. Unless I disappear myself, in which case, con. »

« I seem, almost unconsciously, to have fallen into a habit of treating these entries as if they were the writings os an oracle or seer, someone in a frenzied or inspired state who imparts knowledge »

« I almost forgot to breathe. For a moment, I had an inkling of what it might be like if instead of two people in the Wolrd there were thousands. »

« The World feels Complete and Whole, and I, its Child, fit into it seamlessly. »

Étrange. D’où sort l’Autre ? D’où viennent les connaissances de Pyranèse ? Qu’est-ce que la Maison ?

« I saw a vision ! In the dim air above the grey Waves hung a white, shining cross. It was beautiful but I did not understand it. »
« I spread my arms in answer to its spread wings, as if I was going to embrace it. »
« I could see the pale golden Sky reflected in some of the Windows in the Courtyard »
« Night fishing is best, when the fish are drawn to play in spots of bright Moonlight and are easy to see. »

Lecture VO.

« The Beauty of the House is immeasurable; its Kindness infinite »

« Piranesi. It is what he calls me.
Which is strange because as far as I remember it is not my name. »

« Je t’aime aussi, mon petit papillon »

Chapeau le hiérophante

La fin promet d’être épique

C’est tout bête mais ce chapitre m’a fait penser aux paroles d’Orso à la fin du tome 2

« On sait jumeler des boites, merci »

Le retour d’un certain personnage me donne un regain d’intérêt. La fin approche !

« Chaque fois qu’on démêle un fil des noeuds qui nous empêtrent, deux autres se resserrent »

« Quelqu’un a envie d’utiliser le premier des hiérophantes comme repose-pieds ? »

Je n’arrive décidément pas à apprécier ce dernier tome autant que les autres. Le changement de point de vue et ce qu’il implique pour la fin m’obsèdent. Ça pue la tragédie, comme le tome 2.

« Un fantôme du passé piégé au-dessus des ruines de ce qu’il a construit jadis »
«  Vous vous vengez parce que je vous ai laissées tomber du ciel, hein ? »

« ils ne parlèrent pas d’un moment tandis que… » bizarre cette phrase.

La femme a-t-elle un lien avec Valeria ?

« Tu arrives a voir quelque chose à travers toutes ces conneries que tu as construites ? »

« Voir les gens qu’on aime nous soutenir dans nos souffrances est une épreuve, qu’on soit augmenté ou non »

« - Est-ce bien moral de se servir de Clef comme ça alors qu’il dort ?
Excellente question ! Nous devrions la lui poser quand il se réveillera »

Ce tome pue encore la tragédie. J’ai peur qu’il n’en reste qu’une à la fin…

« Le pouvoir et la cruauté sont faciles. Si notre méthode demande une tonne de boulot, c’est qu’on fait ce qui est juste »