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L’éléphant doré

Apprentissage profond, mégadonnées, applications de l’IA à l’Internet et aux finances

Nouvelle LC

« Lorsque l’action cesse d’être payante, recueille des informations ; lorsque l’information cesse d’être payante, dors »

Je suis moyennement intéressée par l’histoire jusque là.
On est bien loin de mon engouement pour Terremer.

D’où le titre

Wow, beaucoup d’informations ! C’est tarabiscoté tout ça.

Maudite lumière en effet… Woah encore une fois.

« Ne laissons pas la suie des machines à charbon obscurcir ce siècle d’inventions et de progrès. Qui sait si les Arts ne retrouveront pas leur place d’antan dans ce pays ? Ne l’appelait-on pas le pays des Lumières un siècle avant l’apparition des ampoules ? »

Bang bang

Woah. Ça démarre très bien. C’était terrible.

« Sa photosensibilité était telle qu’il en aurait pleuré. Rien de pire pour faire couler le maquillage de ses yeux et mettre sa beauté en prison. Il était réputé beau garçon, pas question de faire mentir les rumeurs »

Mais non… Bo-yeong c’était ma deuxième chouchoute 🤦‍♀️

Et même Ajax, mon 3e chouchou ! Ça craint du boudin, 1932…

Je vois Celestopol sous un nouveau jour. Je pensais que tout serait… sans fin.

« - J’aurais dû chausser mes éperons, tu m’aurais entendue de loin.
- Et rayer le marbre ? Allons »

« - Tu ne crois donc vraiment à rien ?
- Si - Nikolaï écarta les bras en pirouettant sous la galerie. En moi-même. S’il existe une puissance supérieure ici, c’est moi »

Raspoutine is back !

« Qu’ils me haïssent, pourvu qu’ils me craignent »

« Vous m’avez appris alors quelque chose de plus laid encore chez vous que la colère ou la lâcheté. La résignation »

Ah mais non ! Pas Kokorin, c’est mon chouchou ! Non de non, je proteste ! Je proteeeeeste ! Sauver des chats devrait peser dans la balance !

Les lumières de la ville
Les jardins de la lune

Dans les brumes

Les personnages de Fedor et Vanina me disent quelque chose, mais je ne sais pas quoi…

La chambre d’ambre

Si je me souviens bien, Tuppence apparaît aussi dans la nouvelle Le Revers de la Médaille dans 1922.

« Le rôle des femmes n’est-il pas de se soumettre passivement aux aléas du destin ? »

Non, mais Orphée, ça te correspond bien mieux…

C’est malheureux, mais il y a une grande distance entre Orphée et le lecteur. J’ai l’impression de lire le récit d’une statue.

J’ai plus d’empathie pour la colombe que pour le narrateur…

« Elle m’est apparue comme le chant fait chair, et je n’aime rien plus que le chant »

« Laisse-la-moi encore quelques années, je t’en supplie ! Dès qu’elle sera vieille, tu pourras la prendre à nouveau ! »
Super sympa, Orphée. Il se débrouillait pourtant bien jusque là.

Leobardis… voilà ce qu’on récolte quand on fait du favoritisme. Le chouchou est toujours le plus ingrat !

« La Tour de l’Aube en Marche reflétait le soleil levant dans ses toits de cristal et d’or. On dit que cela ressemblait à une torche magnifique qui brûlait à l’horizon du matin »

Rien à voir, mais...

Le roi pécheur, qui a fondé la ligue du Parchemin, s’appelait Eahlstan. Le père de Simon, qui avait un lien avec Morgénès et donc probablement la ligue, s’appelait Eahlferend. Un lien ?

« Il se dressait au milieu du chemin de sa vie, et Simon savait qu’il ne pourrait l’éviter, qu’il était impossible de contourner ce fin doigt blanc qui appelait, prévenait, et attendait »

« Les charognards n’ont pas tous des plumes, et certaines marchent sur deux jambes »

« J’espère qu’il y a d’autres manières de devenir un homme que de mourir de froid »

« -Un cheval ? s’exclama Simon. Je vais adorer ça.
- Oh non, repondit Haestan avec un sourire narquois. T’ vas pas aimer. Pas avant un ou deux mois »

« Du dragon Igjarjuk, enfoui dans les hauteurs de la montagne Urmsheim »

« Mon peuple vit depuis longtemps près d’Urmsheim, et nous vivons depuis longtemps parce que nous n’allons pas là-bas »

« Il était à peu près certain de n’avoir parlé que d’une seule fille : la suprême traîtresse aux multiples identités »

« Les trolls d’Yiqanuc ne sont les ennemis de personne. Ce sont les Rimmersleutes qui voient notre grande taille et notre force avec une telle frayeur qu’ils nous attaquent dès qu’ils nous voient »

« - Ce qui est devant est très différent de ce qui est derrière.
J’aurais pu te le dire.
Silence, trollinet. Veux-tu demeurer sot toute ta vie ? »

« -Je ne suis pas un soldat ! Je ne suis même pas un adulte !
C’est une certaineté que tu ne te presses pas d’en devenir un »

Et la fameuse Marya… Elle aurait du lui dire en face.