Octarine > Recent Status Updates

Ah, donc les souvenirs de Simon des événements survenus aux Pierres de la Colère étaient en quelques sortes scellés…
Maintenant que j’y pense, le moine en est devenu fou, et pas Simon. Pourquoi ?

« Mais si C’est la Tour de l’Ange Vert, pourquoi a-t-elle des branches ? Ce n’est pas la tour… ou du moins ce n’est plus la tour… C’est un arbre, un grand arbre blanc… »

J’aime beaucoup ce que fait Williams avec les rêves de Simon.
De manière générale, je suis du genre à chercher des indices dans ce genre de scène, et j’adore ça. Difficile de démêler le délire du prophétique.

« L’ombre de la roue s’était abattue sur lui, et il devait s’adapter à ses terrifiantes révolutions s’il voulait survivre »

« Si ton ennemi t’apporter des cadeaux, alors monte au plus haut de tes murs et jette-lui des pierres »

J’aime beaucoup Eolair, Isgrimnur et Binabik.

« Il lança les osselets au son du souffle profond et régulier de Simon. La première série donna Oiseau sans Ailes, Harpon, et La Route Ténébreuse »

« Lorsqu’il tira de nouveau, les deux premiers jets changèrent pour Torche à l’Entrée de la Caverne et Bélier Refusant l’Obstacle, mais le troisième fut encore La Route Ténébreuse »

Fin de la partie Simon Tête-Creuse

Début de la partie Simon Pèlerin

« Elle vibre comme un cœur, le cœur de toutes les peines »

« Nous vous saluons, Ineluki, Roi de l’Orage »

« Le tunnel n’était qu’une souffrance à moitié oubliée, dont le vague souvenir s’estompait, un brouillard de voix et de vain délire »

« Un autre inexprimable était présent ce soir ; quelque chose se cachait dans la nuit »

« la somnolence. Cela donnait un aspect banal à la conversation, la rendait plus lointaine, comme si meurtre ou trahison étaient des villages a l’autre bout du pays »

« Tu n’as pas le droit de me désobéir. Je n’ai pas de fils ! Je n’ai pas d’héritier ! Je suis entouré d’hommes ambitieux. Et tu ne te mettras pas sur mon chemin. Donne moi un petit-fils, et je t’offrirai Mérémund »

« A Hernystir, nous disons : un berger, pas un boucher, pour signifier qu’un roi doit préserver son pays et son peuple, n’en tirant que ce qui est juste et nécessaire, plutôt que de le presser jusqu’à ce qu’il ne reste plus qu’à en manger les restes »

« Les livres sont une forme de magie »


« Le docteur fit volte-face, refermant la main sur le parchemin. Pryrates se tenait à ses côtés, souriant »
Flippant. Clairement je l’imagine avec la voix de Voldemort.

« Une étrange traînée traversait le ciel, comme une blessure profonde tachant de sang le noir de la nuit ; une immense comète rouge traversait le ciel du nord au sud »

Mais quelle ordure !
J’espère qu’il va mourir bien violemment celui-là

« Fais attention à cette urne de cristal, mon petit : tu balaies comme un homme qui rase son pire ennemi »

« Les employés du Hayholt semblaient n’avoir que deux occupations : prier dans la chapelle pour le Roi et dire à Simon d’aller voir ailleurs »

« Barnabas le sacristain prendrait autant de plaisir à le chasser qu’à aller au paradis »

Roooh il est mignon Simon !
Un fou ! Les fous sont toujours importants.
Le roi fait du favoritisme. Mauvais signe en général…

1ere épée : Clou-Radieux (drôle de nom mais le clou semble important)

Je ‘arrive pas encore à saisir si les Sithis sont des ennemis (le roi les aurait pourchassés) ou des êtres fabuleux qui fascinent les hommes (sous-entendu dans le prologue et les 1ères pages)

Bon, c’est tout beau, avec une chouette préface et un chouette avant-propos, par contre j’ai vraiment du mal à déchiffrer ce qui est écrit sur les cartes.

« on est finalement loin du ton asceptisé des romans d’un Raymond E. Feist »
Je fais effectivement ce reproche à La Guerre de la Faille.

« Le personnage de Simon est directement inspiré de Galaad »
J’ai pensé à un autre Galaad en premier et j’ai eu peur 😅

J’aime beaucoup la préface de Emmanuel Chastellière, je redouble maintenant d’impatience.

« Toutes ces histoires ne sont pas les plus spectaculaires du monde, mais cela n’enlève rien à la tristesse dont elles sont empreintes »

« Les hommes montrent toujours beaucoup de zèle à se brûler les uns les autres »

« leur mère leur racontait une histoire qui se passait en Espéragne, celle de courageux cavaliers qui avaient vaincu les asharites en El-Rassan et reconquis le monde occidental »

Grosse bataille

« Si elle hésitait un instant a le suivre, il la tuerait de ses mains. Pas un homme d’honneur au monde ne nierait ce droit à un père »

« Certaines gens étaient nées pour commander et il n’y avait pas de raison que l’une d’elles ne fut une femme »

« -A demain, Fille aînée de Jad.
-A demain, impératrice de Sarance.
-Sarance n’est plus »

« Les légendes, quand on croisait leur chemin, pouvaient conduire à la mort »

« il repéra des objets métalliques à demi enfouis. Ils luisaient faiblement dans la lumière qui filtrait à travers la canopée printanière. Il examina l’un d’eux : une amulette très ancienne en forme d’oiseau. Il la tint en main un instant, frissonna. Il la reposa et la laissa où il l’avait trouvée »

« Si c’était vrai, alors la fortune de cet homme était faite, considérait-on. A condition qu’il sût peindre, faisait-on remarquer. Et qu’il survécut, ajoutait-on »

« La distance et le temps pesaient dans la
balance de la guerre. La pluie aussi. Au printemps, elle décidait du destin des empires »

« Il en était capable : tuer des gens avec une lettre griffonnée dans une salle du palais »

« Quelqu’un vient de mourir, j’ai l’impression. Allons voir. De plus en plus palpitante, cette journée ! »

« Il était de notoriété publique qu’elle avait fait étrangler deux de ses enfants par des eunuques en son palais pour faciliter l’accès au trône de son fils cadet »

« Il lui était souvent arrivé de penser aux terribles difficultés que rencontre une femme pour se ouvrir son propre chemin dans le monde… et à la rareté du succès.
Une solution consistait à épouser un homme qui s’en allait à la guerre et y mourait de manière opportune »

« Il était grand temps que quelqu’un l’assassine, celle-là »

« Ce que tu sais des femmes se résume à du vide entouré de vide »

« Cela se produit à l’occasion : on découvre des vérités sur soi-même en un instant, parfois au milieu d’évènements dramatiques, parfois dans le plus grand calme »