traduire, une passion

Bonjour à toutes et à tous

Aujourd’hui, j’aimerais revenir sur l’une de mes passions, la traduction.

Il y a de cela plusieurs années, j’avais entrepris des études en licence d’anglais, et parmi les cours que nous avions, en plus de la littérature et de la culture du monde anglo-américain, il y avait ces séances de traduction, que ce fut du français vers l’anglais ou bien de l’anglais vers le français.

J’ai toujours aimé ce genre d’exercice que je trouvais fort enrichissant pour l’amélioration de mon apprentissage de la langue de Shakespeare, mais elle m’a également permis d’acquérir un vocabulaire riche que j’aime à utiliser aujourd’hui.

J’adore l’exercice de traduction à tel point qu’il m’est déjà arrivé à plusieurs reprises de traduire par plaisir des articles de journaux ou de magazines.
J’ai même traduit récemment deux de mes ouvrages que j’ai intitulé :
The island at the end of the world and other cosmic horrors et Madly spooked: a horror anthology

J’ai par ce fait enrichit davantage mon vocabulaire ce qui fut pour moi un plaisir.

J’ai d’ailleurs décidé avec cet article de vous partager quelques bribes de traduction de mon œuvre The island at the end of the world…

La version anglaise sera surlignée en bleu.

Bonne lecture, et n’hésitez pas à me laisser vos impressions en commentaire.

L’île du bout du monde et autres univers / The island at the end of the world and other cosmic horrors

Henri était bien trop curieux pour renoncer à visiter ces bois et même si tout lui paraissait mystérieux, inquiétant, car nul ne savait, et encore moins lui ce qui se trouvait au-delà, il n’aurait, là, pas non plus renoncé.

Henri was way too curious to renounce visiting those woods, and even though everything looked mysterious and disturbing, for no one and certainly not he could know what lay beyond, that did not stop him from going.

Se tenant au bord d’un immeuble haut d’une quarantaine d’étages, John Herbert regardait dans le vide. En bas une foule de gens s’était agglutinée pour voir ce qu’il se passait.

Standing on the roof of a forty-storied building, John Herbert was looking down. There, a crowd had gathered up to see what was going on.

J’ai également posté dans un autre de mes articles la traduction d’un texte intitulé Night terrors, que je vous partage ici :

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Published on July 13, 2021 02:21
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