S.G. Horizons's Blog, page 3

Une fresque épique pour un concept inédit !

Voici mon prochain livre en collaboration avec Elena Guimard, Catherine Boullery et Olivier Karven ! Une aventure originale car écrite à 8 mains, soit 4 cerveaux chacun bourré d'imagination que je vous invite à découvrir sur Amazon le 15 décembre. 



Quatre auteurs de fantasy, quatre personnages ! Leurs destinées se brisent et s’entrecroisent au gré des forces obscures qui bouleversent chacun de leur vie, leur univers.


La vie en pleine forêt, entourée de son père et des autres bûcherons convient parfaitement à Imara (Sg Horizons). Jeune femme libre et forte vivant dans un univers d'hommes, son esprit de combattante comptera lorsque parvenue à la cité, elle devra faire face au danger.
Dans les ruelles colorés de la cité, Alyrus (Elena Guimard) se faufile enveloppé d'un voile invisibilité afin de ne pas effrayer ses sujets. L'odeur du sang remonte à ses narines et lui ouvre l'appétit, mais ce soir, il n'est pas là pour ça, autre chose l'a attiré loin du palais et il ne doit pas se laisser déconcentrer.
Eogan (Olivier Karven) se hâte pour assister à l’intronisation de son père, bienfaiteur de Maslir, qui va enfin recevoir l’hommage de ses pairs après une vie passée à améliorer la vie de ses concitoyens. Pourtant, rien ne se passera comme prévu : de terribles chocs bouleverseront la vie du jeune homme à jamais, l’obligeant à prendre des décisions sans retour.

Sous les agitations perpétuelles du Malstrom qui surplombe la Citadelle, Saphie (Catherine Boullery) aimerait rêver... Pourtant, le Guide Suprême répétant sans cesse que tous ses enfants doivent lui être dévoués, elle replonge dans les enluminures qui peuplent sa vie de copiste et un quotidien aussi terne que réglé. Jusqu’au jour où un maître de la Guilde vient la chercher…
Le résumé :

Un concept inédit pour une fresque épique 

En première page du journal des rebelles (webzine gratuit)

Et coucou tout le monde,
Crys Louca et moi sommes heureuses d'avoir été choisies par l'équipe des rebelles pour être en couverture de ce numéro bimensuel novembre/décembre. 
Nous avons également répondu à toute une série de questions sur notre duo, notre série, nos projets, etc.
Voici quelques pages de ce super interview. 
Encore un grand merci à Marie Nel, Cocomilady et le reste de l'équipe. 



POUR LE RESTE, C'EST PAR ICI : LIEN

Des nouvelles de "la magie d'Avalon"

Et bonjour, 
Vous êtes nombreux à m'avoir écris pour me demander quand sortira le tome 2, de la série "la magie d'Avalon". Et bien, j'en viens de finir l'écriture. Finalement, je l'ai totalement réécrit afin de rendre l'histoire plus importante, profonde. A la fin de la semaine, il part en correction. 
La sortie est donc prévue début décembre. 
Est-ce que cette couverture vous plait ?
Sg

Voici le nouveau book trailer de "La magie d'Avalon"

Enjoy !!!

Et voici le nouveau épisode de "Au service du surnaturel"

Et bonjour,
afin de m'excuser de mon manque de présence sur le blog, je vous offre le premier chapitre au complet de ce nouveau épisode de Blake, le troisième.


1 – Sexe à gogo !

« Mort. Voilà, je suis mort. »Sans force, le corps agité de soubresauts, je reposais sur le sol de marbre froid. J’étais bien incapable de lever ne serait-ce qu’un petit doigt. Jamais je n’avais éprouvé cet état d’extrême épuisement après le sexe. C’était comme si ma partenaire m’avait vidé de toute mon énergie. Il me fallut un moment pour tourner la tête vers elle, et... ce que je vis me parut un peu inquiétant... voire carrément inquiétant. Accoudée sur le flanc, un sourire aux lèvres, elle était fraîche et pimpante alors que je venais de la défoncer. Son regard enfiévré qui glissa sur mon corps m’indiqua qu’elle était prête pour un second round. Pas moi. Maintenant que j’avais l’esprit clair, il ne faisait aucun doute qu’elle m’avait ensorcelé ou un truc du genre. On ne pouvait vraiment pas savoir avec les surnaturels. Sans cesser de sourire, elle se lova contre moi, passant l’une de ses jambes entre les miennes. Sa main caressa mon torse. Afin de me donner une certaine contenance, je lui lançai (enfin, je lui murmurai plutôt) :— Vous n’en avez pas eu assez ?Elle minauda en dodelinant de la tête.« Okay ! Comment je vais m’y prendr... »Elle m’embrassa et, immédiatement, un regain d’énergie m’électrisa. Sans briser notre baiser, elle s’installa sur moi avant que je la fasse rouler pour me retrouver sur elle. Le corps en feu, en appui sur une main, je passai l’autre entre nous pour caresser ses seins, son ventre. Elle écarta les jambes pour m’accueillir. Mes doigts, qui se glissèrent entre ses cuisses, tandis qu’elle s’accrochait des deux mains à mes épaules, la pénétrèrent avec envie. Un gémissement s’éleva alors qu’elle basculait la tête en arrière. Je serrai les dents, tentant de contenir mon besoin de la posséder. Je la caressais, la fouillais, la titillais pour la rendre folle de désir. Je perçus les petites secousses qui l’agitaient de l’intérieur avant qu’un déluge chaud inonde son sexe. Entendant ses cris de jouissance, je ne pus me retenir plus longtemps. Me redressant, je posai les mains entre ses cuisses pour les lui écarter et m’enfonçai avec délectation en elle. Après une série de coups de boutoir, je lui demandai :— Ça te plaît, comme ça ?— Oui, haleta-t-elle en resserrant sa prise sur mes bras de chaque côté d’elle.À nouveau, le nuage de particules s’exhala d’entre ses lèvres et j’en inspirai une bouffée. L’instant suivant, je rugis. Je me retirai d’elle, la fis se retourner et revins l’envahir par-derrière. Un gémissement s’échappa de sa gorge avant qu’elle ne se cambre pour approfondir mes pénétrations. Je caressai sa croupe, m’extasiant de sa blancheur et de sa douceur, puis remontai mes mains à ses épaules pour la ramener vers moi. Il me fallait la serrer dans mes bras, ne faire qu’un avec elle.— Oui, plus fort !Ce fut un ordre que je m’empressai d’exécuter. Je la prenais plus sauvagement en haletant tout près de son oreille. Les prémices de son orgasme arrivaient ; son sexe palpitait autour de ma queue. Je déroulai mes bras et elle retomba au sol. Ce n’était pas pour autant que je la laissai m’échapper. Mes mains vinrent s’ancrer sur ses hanches parfaitement découpées. Mes coups de reins se firent lents, mais plus brusques. Je voulais m’enfoncer au plus profond d’elle, la tatouer de mon vit. Les « oui » ininterrompus qu’elle lançait m’emplissaient de fierté et de plaisir. Mon corps était parcouru de frissons et pourtant, je brûlais de l’intérieur. J’avais également la sensation d’être ivre tant la tête me tournait. Je rejetai celle-ci en arrière en fermant les yeux. Je m’accrochai davantage à ma partenaire sous moi, mes doigts marquant sa chair, quitte à nous en faire mal. Enfin, ma jouissance éclata. Cette fois-ci, je me retirai d’elle, et dans une interminable plainte, je me répandis sur sa croupe, le bas de son dos. Mon sperme gicla, s’écoula sur sa peau. En se tournant à demi, elle plongea un doigt dans cette substance pour le porter à sa bouche. Elle le lécha sans cesser de me fixer. J’en aurais bandé sur l’instant si, vidé d’énergie, je ne m’étais écroulé sur son dos avant. Elle roula sur le côté m’entraînant dans son mouvement. Je percutai le sol et restai là, avachi, le souffle court. Au bout d’un moment, je dus m’assoupir, car je m’éveillai en percevant des secousses au niveau de mes jambes. Avec un grognement, je posai une main au sol et me redressai quelque peu. Mais ce fut suffisant pour savoir ce qui m’arrivait. Le sourire aux lèvres, la blonde retirait la dernière chaussette qu’il me restait. Visiblement, elle avait eu le temps de me défaire de mes autres vêtements. À bout de force, je retombai mollement sur les dalles. J’avais bien l’intention de me rendormir, histoire de récupérer un tant soit peu. Or, cette femme ne voyait pas les choses ainsi, ayant un tout autre programme pour moi. Sans ménagement, elle m’allongea sur le dos avant de tranquillement s’installer sur moi. Elle embrassa chaque partie de mon corps, exposé à son bon vouloir, étant donné que j’étais bien incapable de la rejeter. C’était plutôt agréable, cette bouche, cette langue qui courait sur ma peau. Lorsqu’elle dériva plus bas et tenta de provoquer une quelconque réaction, je grommelai :— Tu peux toujours essayer, mais ça ne marchera pas, ma belle.— Ah oui ?Elle remonta le long de mon corps jusqu’à ce que son visage ne soit qu’à quelques centimètres du mien. L’instant suivant, je me pris une bouffée magique en pleine gueule et c’était reparti pour un tour. Mon sexe se raidit rapidement. La main de cette femme insatiable qui s’enroula autour de mon membre en accéléra le processus.« Nom de Dieu ! Elle va me faire mourir d’épuisement... »À bien y réfléchir, c’était peut-être effectivement là où elle voulait en venir. Bon. Après, vous avouerez qu’il y a pire comme façon de quitter ce monde. Pour autant, je n’étais pas prêt à perdre la vie. Mais là encore, c’est un autre instinct qui prit le dessus sur tout le reste. Soit cette femme n’aimait pas les préliminaires, soit elle était trop impatiente que je la culbute. S’il y en avait un qui était content, c’était bien mon sexe qui frétillait. Sans attendre, elle s’installa à califourchon sur moi. Son bourgeon se mit à frotter contre mon gland tendu vers elle. J’encadrais sa taille de mes mains alors qu’elle me glissait en elle. Elle se releva à nouveau. Mon sexe frôla l’entrée du sien, avant que, d’un geste brusque, je la ramène vers moi. Sans me lâcher des yeux, elle me sourit avant de se mettre à onduler du bassin. Son va-et-vient était lent. Il me mettait au supplice et elle semblait adorer ça. Si j’avais eu mes pouvoirs, je l’aurais soumise à ma volonté, j’aurais fait d’elle mon esclave sexuelle, et non l’inverse.« Putain, c’est vrai. Elle me veut quoi ? Juste que je la baise ? Que je lui fasse un môme… Tout, mais pas ça ! »Avec une force dont elle n’avait jusqu’ici pas usé sur moi, elle emprisonna mes poignets et les plaqua au sol de chaque côté de ma tête. Je tentai bien de me relever quand elle me souffla au visage. J’eus le réflexe de retenir ma respiration tout en essayant de me défaire de sa prise. Je roulai sur le côté afin de me retrouver sur elle, mais elle me surprit une nouvelle fois en appliquant le même mouvement. Au-dessus de moi, elle attendit simplement que je sois obligé de prendre une inspiration. Ce moment arriva et, avec lui, une nouvelle bouffée qui déclencha une brusque envie de la posséder. Je m’assis avant de l’empoigner par la nuque afin de l’embrasser à y perdre le souffle. Puis je me mis à lui dévorer les seins, en mordiller les pointes, avant de les lécher encore et encore. Ce ressentiment que j’avais envers elle (oui, malgré les apparences j’étais une victime dans cette histoire) teintait mes gestes d’une certaine brusquerie... qu’elle sembla apprécier.D’un vif coup de reins, je remontai vers elle, et mon sexe dur plongea dans le sien. Une main frappa ma poitrine, me projeta au sol. L’instant suivant, c’est elle qui mena la danse. Elle s’empala sur moi, une fois, puis deux avant d’accélérer la cadence. Avec fougue, elle se mit à me chevaucher à m’en faire perdre la tête. J’aimais sa rudesse, les cris qui s’échappaient d’entre ses lèvres entrouvertes. À défaut de me relever, je posai mes mains sur ses hanches pour en suivre le mouvement hypnotisant. J’oubliais tout, noyé dans cette possession du corps de l’autre. Elle lança un râle. Puis bascula vers moi, ses longs cheveux blonds glissant sur mon visage, mon torse. Je bloquai son bassin et commençai à la pilonner avec force. Elle appréciait : ses gémissements contre mon oreille ne me mentaient pas. Brusquement, elle se redressa en criant. Sa jouissance fut suivie de la mienne avant que cette énergie sexuelle qui m’habitait ne s’évapore à nouveau.La douleur chassa rapidement l’état euphorique dans lequel je me trouvais plus tôt. J’étais complètement tétanisé. Il n’y avait pas un seul muscle qui ne me faisait pas souffrir. Un coup d’œil à ma partenaire et j’eus du mal à croire qu’elle s’était enfin endormie. Elle était allongée près de moi, les yeux clos, la respiration profonde.« Je n’aurais jamais cru dire ça, mais c’est trop pour moi. Faut que je me barre ! »En grognant, je réussis à faire basculer mon corps malmené, que dis-je ! torturé, sur le ventre. L’instant d’après, incapable de me lever, je rampais sur le sol en direction de la porte, pas si loin que ça. Chaque centimètre grappillé était une victoire. Il me rapprochait de la liberté.« Allez. Encore un peu… »J’étais frigorifié, je tremblais sous l’effort et Bon Dieu ! ce que j’avais mal. Je n’aurais jamais imaginé qu’une partie de jambes en l’air puisse être aussi éreintante.« Et pourtant, j’en ai culbuté des nanas. Argh… Non. Pas ça. »Les mains qui venaient de m’attraper par les chevilles me tirèrent en arrière. Je luttai. Le son de mes mains moites glissant sur le marbre lustré se répercuta dans la pièce. À bout de force, je cessai de me débattre et relâchai la tension de mes bras au-dessus de ma tête. L’instant suivant, elle me retourna comme une crêpe prête à être dévorée. M’apparut dans son regard la lueur d’envie qu’elle avait de moi. J’étais incapable d’émettre un son et encore moins de bouger. Une nouvelle fois, elle me souffla son truc sur le visage, et une nouvelle fois, Popole se mit au garde-à-vous. C’était un brave soldat, toujours prêt à l’action, sauf que là, il ne répondait pas à mon ordre, mais à celui de cette furie.« Tiens d’ailleurs, ça en est peut-être une ? Sont-elles capables de prendre une autre apparence ? »Avec un sentiment de trahison de la part de mon sexe, je levai la tête pour lui jeter un regard mauvais avant que, à nouveau, le désir enfle en moi, opprimant mon envie de fuir cette femme. Cette dernière n’attendit pas pour se placer au-dessus de moi. Ses doigts s’enroulèrent autour de ma queue, son pouce en titilla le gland. La chaleur qui enveloppait mon membre à présent lui donnait plus de vigueur, tout comme la caresse que cette femme me procurait. Elle me masturbait plus lentement que je ne l’aurais fait, mais c’était bon. Quand elle se baissa, je la suivis du regard lorsqu’elle fit disparaître mon sexe dans sa bouche chaude et humide. Dans un râle, je me jetai en arrière. Ses succions se firent plus fortes et différentes, plus douces. Elle se retira brusquement. Je grognai de mécontentement. Je voulais qu’elle me suce encore… jusqu’à me faire jouir en elle. Oui. Rien que de m’imaginer me décharger en elle me fit bander plus fort. Le juron qu’elle lança me fit relever la tête.— Oh… putain… de merde !Pouf… je débandai aussi sec. Envolée, la déesse. Disparu, le visage d’ange. Entre mes jambes se trouvait la face fripée de Méruna. Saisi d’horreur, je fus incapable du moindre mouvement. Mes neurones avaient grillé sous le choc. La vieille peau porta un doigt décharné à sa lèvre inférieure pour s’en essuyer le contour.— Surprise !La voix rocailleuse me fit grincer des dents. Ou peut-être que ce fut de comprendre que la bête de sexe et cette vieille carne ne faisaient qu’un. Un frisson de dégoût me parcourut l’échine avant que je me redresse en la repoussant. Le cœur au bord des lèvres, je n’attendis pas un instant pour me mettre debout. Heureusement pour moi, l’énergie qu’elle m’avait transmise contre mon gré était toujours présente. Sans cela, je n’aurais rien pu faire. Je filai vers la porte sous le rire gras de cette sadique qui m’avait trompée avec son apparence. Je ne savais pas comment elle s’était transformée en beauté fatale. Une chose était certaine, je lui vouerais une haine sans nom à partir de ce moment. J’étais sur le point de quitter les bains quand elle me lança :— Je vous avais prévenu que vous seriez à moi, Blake. On ne peut pas dire que vous n’étiez pas au courant.Je me figeai et fis demi-tour en pointant un doigt sur elle.— Je vous INTERDIS de révéler à qui que ce soit ce qui vient de se passer ! SUIS-JE BIEN CLAIR ?Totalement nue, la vieille s’alanguit dos au sol et bascula sa tête en arrière pour me regarder, un sourire extatique aux lèvres.— Avec tout le plaisir que vous venez de m’offrir, je fais le choix d’accéder à votre requête.« Je vais la tuer, cette salope... »
De mes mains, je fis le geste de l’étrangler avant de filer, parce que j’étais sur le point de me jeter sur elle pour passer à l’acte.

Votre avis sur la Magie d'Avalon

Parce que j'aime avoir votre avis sur tout lol, je vous ai concocté un mini-questionnaire sur la série "la magie d'Avalon". Vos réponses pourront m'aider à écrire une suite à la hauteur de vos attentes. Faut dire que vous m'avez mis un peu la pression avec vos commentaires.Ne vous arrêtez pas surtout lolNon. Votre soutien et vos compliments me touchent énormément et ne font que me pousser à continuer d'écrire et des histoires de plus en plus riches, je l'espère. Un grand merci. 

Le deuxième épisode de BLAKE "Au service du surnaturel" disponible

Retrouvez Blake et sa nouvelle équipe au Manor Hotel de Budapest pour la suite de l'aventure...

LIEN VERS LA PAGE DU LIVRE
EXTRAIT : 
Je remarquais sur le bureau face à moi une carafe d’eau et des verres. 
Toujours allongé dans mon lit, je demandai à Alan : 
— Dis-moi, peux-tu me donner un ver... 
L’instant suivant, le set en cristal filait dans ma direction. J’eus juste le temps de plonger sur le côté qu’il explosa sur le mur derrière moi, m’aspergeant d’eau et de bris de verres. 
— Bon Dieu ! C’était quoi, ça ? m’étonnai-je en me redressant. 
— Le retour de votre pouvoir, maître. 
« Ah ! c’est certain que ça change ! » 
Généralement, mon pouvoir fonctionnait sous le coup des émotions. Et donc rares avaient été les occasions où cela répondait à une demande de ma part. Alan se précipita vers moi, m’aida à sortir du lit. À peine eus-je un pied posé au sol qu’un vertige me prit. Je m’appuyai davantage sur les frêles épaules d’Alan, me souvenant qu’il était plus fort que son apparence le laisser présager. 
— Ça va aller. J’ai juste besoin d’une minute, murmurai-je en fermant les yeux pour mieux me recentrer. 
Un frisson me saisit. J’étais en partie mouillé, sans force et, pour couronner le tout, à moitié nu, avec un simple boxer. 
— Laissez-moi vous porter, maître, me proposa Alan, se baissant pour glisser un bras sous mes genoux. 
— Putain, je suis pas une nana ! 
Je parcourus du regard la pièce et vis l’un des deux fauteuils en cuir brun devant la cheminée. L’instant suivant, celui-ci glissa sur le parquet en arrivant à grande vitesse. Telle une boule de bowling, il nous percuta. Dans un entremêlement de membres et de cris, nous tombâmes sur le canapé pour finir par rouler au sol. Allongé à terre, bras et jambes écartés comme une étoile de mer sur son rocher, je tentai simplement de retrouver mon souffle. 
Alan, plus en forme que moi, se releva souplement avant de s’agenouiller à mes côtés. L’air inquiet, il s’apprêtait à ouvrir la bouche, mais je l’interrompis : 
— Ne me demande surtout pas comment je vais ! ordonnai-je, lassé d’être traité comme un empoté. 
— Très bien, maître. 
En fermant les yeux, je poussai un profond soupir. Je sentis les mains d’Alan se poser sur moi et commencer à me palper les jambes. 
— Tu fais quoi, là ? 
— Je vérifie juste que vous n’avez rien de cassé, maître. 
Un grognement d’exaspération autant que de menace sortit du plus profond de mon être et suspendit les mains d’Alan au-dessus de mon corps. 
— Eh bien eh bien... Je constate que certains s’amusent pendant que d’autres suent sang et eau pour faire quelque chose de cet endroit. 
J’ouvris un œil en direction de Jaro qui se tenait dans l’encadrement de la porte, jambes écartées et mains dans les poches de son pantalon noir à pinces. Il reprit sans me laisser le temps de dire quoi que ce soit. 
— Il fallait m’informer qu’à partir de… (Il leva son poignet droit pour consulter sa montre.) 16 heures, c’était partouze party ! 
Un nouveau grognement fut ma seule réponse.

RÉSULTAT DU TIRAGE AU SORT : INCARNER UN PERSONNAGE DE LA MAGIE D'AVALON

Et voilà.... Comme promis, j'ai fait tiré au sort hier soir par ma choupinette de filleule, une personne parmi les quarante participants au grand concours pour incarner un personnage dans le second tome de "la magie d'Avalon" Voici donc la personne gagnante :

farinette2411@****.***

UN COMMENTAIRE = l’ÉPISODE 2 de Blake "Au service du surnaturel" OFFERT

Pour toute personne qui mettra un commentaire sur le premier épisode de Blake se verra offrir l'épisode 2. (cela fonctionne pour ceux qui en ont mit un). Alors, n'attendez plus... envoyez-moi un mail à asghorizons@gmail.com

 LIEN VERS LE LIVRE


Enfin, elle est là, la seconde saison de la série qui a fait un malheur en restant dans le top 10 du classement Fantasy ET érotisme, et ce, durant plus de cinq mois.RESUME
Cet épisode est une invitation à pénétrer dans le Manor Hotel de Budapest et de vous laisser surprendre par le programme que nous vous avons réservé. Entre situations cocasses, rencontres de créatures légendaires en tout genre, des combats épiques ou simples pétages de plombs, sans oublier des scènes très hot, vous aurez de quoi vous amuser, ce qui ne sera peut-être pas le cas de notre héros. Car oui, après Jenna et toute sa bande, c’est autour de Blake, un mage aux pouvoirs légèrement incontrôlables, mais tellement sexy, et d’une toute nouvelle équipe délirante qu’il devra diriger pour son plus grand « bonheur ».
Nous n’avons qu’une chose à vous dire : bienvenue au Manor Hotel...

Commentaires des lecteurs sur la saison précédente :
- Cette série est un bijou !!! Les épisodes apportent chacun leur lot d’humour, d’action ou de mystère ; pour ceux et celles qui ne les ont pas encore lus, je les recommande vivement.
- Toujours aussi bon. Les aventures de Jenna se corsent et on découvre de nouveaux protagonistes. Les auteures ont de l’imagination à revendre et on en redemande.
- J’adore cette série : drôle, attendrissante, sexy. Je la recommande vivement, on s’attache très vite aux personnages et on rigole toujours au fil des épisodes. À ne rater sous aucun prétexte.
- Je suis devenue complètement accro à cette série déjantée, un mélange surprenant de sexe et de paranormal – selon les épisodes, plus de l’un ou de l’autre. Jenna notre héroïne est aussi perdue que nous, passant son temps à se demander si elle va survivre à tout ce qui lui tombe dessus.

1 saison comprend 8 épisodes (1 tous les 15 jours).
Au total, cela revient à 14 euros pour plus de 800 pages et sans compter, l'épisode BONUS offert dont le personnage principal est élu par vous, amis lecteurs.

Un extrait du premier épisode de Blake "AU SERVICE DU SURNATUREL"

LE DÉCOMPTE A COMMENCE.
Pour vous faire patienter, voici un extrait rien que pour vous, amis lecteurs !!
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Mon rythme cardiaque s’accéléra. Je me mis à transpirer. Il était là, quelque part. Je pouvais sentir son regard, attendant le moindre faux pas de ma part pour me sauter dessus. J’avais réussi à survivre à toutes les attaques d’êtres surnaturels. Et pourtant ! Dans le couloir, je pressais le pas. Il me fallait fuir, me cacher, peut-être même trouver de l’aide, chose qui n’était pas dans mes habitudes. Brusquement, quelque part derrière moi, frappèrent des semelles de chaussures sur le dallage froid.
« Et merde ! »
L’instant suivant, je courais dans ce couloir désert. Suite à mon réveil, il m’avait fallu deux jours pour suffisamment récupérer et être capable de me mouvoir comme je le faisais. Je me doutais tout de même que je ne pourrais pas conserver ce rythme très longtemps.
« Allez, Blake. Tu peux le faire. T’es un mec ou quoi ! »
Le souffle court, je réussis à atteindre l’angle du couloir, espérant qu’il ne m’ait pas repéré avant. La main qui s’abattit sur mon épaule me prouva le contraire et arrêta ma course. Le cœur battant à tout rompre, le vertige me prenant, je dus m’appuyer contre le mur. La partie était finie. Il m’avait eue.
— Combien de fois dois-je vous le répéter ? Vous êtes encore trop faible pour sortir.
— J’en ai ma claque de ce lit, cette chambre et toutes tes infusions de plantes que tu me forces à avaler. Marre, tu m’entends ?
Bon. Cela aurait dû ressembler à une réprimande en règle, mais au lieu de cela, ce fut une pauvre plainte comme l’aurait fait un asthmatique en pleine crise.
— Allons. Calmez-vous. Cela n’est pas bon pour votre état.
L’instant suivant, il m’attrapa le bras puis posa deux doigts sur mon poignet pour prendre mon pouls ni vu ni connu. Épuisé de me battre depuis deux jours pour qu’il me fiche la paix, je ne lui résistai pas.
— C’est ce dont j’avais peur. Votre rythme cardiaque est élevé, continua-t-il sur le ton du reproche.
« Dès qu’il a le dos tourné, je me jette par la fenêtre. Plein le cul de me faire dorloter comme un môme. »
C’est à se demander comment j’en étais arrivé là. Diplômé de l’une des universités les plus renommées du monde, j’avais travaillé à un poste gradé dans une des tours de Manhattan pour l’une des firmes américaines les plus en vue du moment. Je possédais un loft dans l’Upper East side et un compte en banque bien fourni. J’avais trente-deux ans et une vie remplie de promesses. Avec mon physique avantageux, je n’avais aucune difficulté à trouver des femmes à mettre dans mon lit. Et voilà à quoi j’en étais réduit : prisonnier dans ma propre chambre au cœur de ce château hongrois, incapable de faire un pas dehors sans qu'on me réprimande. J’avais la désagréable impression de n’être que l’un de ces vieux dans les maisons de retraite, privé de toute liberté sous prétexte que j’avais besoin de soin et d’attention ! Je n’avais pas vaincu la mort plusieurs fois au cours de ces dernières semaines pour finir par être réduit à ça, si ?