Frederic Raymond's Blog, page 4

April 7, 2015

Découvrir la ville de Québec par les yeux d'une cannibale

Cette semaine, venez me rencontrer au Salon international du livre de Québec (stand 96), où je vous parlerai avec plaisir de mon roman d'horreur Jardin de chair.
Vous n'avez pas entendu parler de ce roman d'horreur psychologique? Voici ce que les critiques disent de Jardin de chair...
"Les infortunes de la pauvre Christabel sont destinées aux personnes qui aiment les histoires dérangeantes." -- Geneviève Blouin dans la revue Solaris.
"Portée par la plume alerte de Frédéric Raymond, l’intrigue happe rapidement le lecteur pour ne plus le laisser s’échapper. La construction du roman s’avère être un véritable piège qui titille notre côté voyeur pour mieux nous entraîner dans la spirale autodestructrice de Christabel." -- Pierre-Alexandre Bonin, Brins d'éternité.
"C’est intéressant, les personnages sont bien développés [...] ça m’a plus, il y a une ambiance, une atmosphère qui est imposée." -- Anne-Josée Cameron, ICI Radio-Canada.
"Ça se dévore rapidement, ce qui est en osmose avec son sujet, et le roman aurait eu une place de choix dans la collection française mythique du Fleuve Noir - Gore." -- Mario Giguère, Le Club des monstres.
"L’auteur parvient à créer une ambiance malsaine à souhait par moment. C’est un excellent premier roman, très bien écrit." -- Pierre-Luc Lafrance, L'aurore Boréale

Même si le personnage de mon roman a des appétits singuliers, l'auteur lui, ne mord pas. Au plaisir de vous rencontrer!
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Published on April 07, 2015 19:00

February 23, 2015

Austérité

C'est l'impression que j'ai. Besoin d'en dire plus?

Mon conseil à ceux qui manient la tronçonneuse : Ouvrir les yeux. Respirer. Réfléchir.
Comme dirait ma grande après un exposé oral : « Merci de m'avoir écouté. »
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Published on February 23, 2015 10:38

February 18, 2015

Un party sanglant!

Guillaume Voisine, éditeur de la revue Brins d'éternité et auteur dans la prochaine anthologie de La Maison des viscères, le très attendu Bizarro, vient de publier une critique du spécial GORE de Clair/Obscur. Si j'écrivais la mienne, ça donnerait pas mal la même affaire! J'ai beaucoup aimé les articles de ce numéro. Il a aussi de très bons mots pour ma nouvelle « Machette party ».

Puis vient la section des fictions, qui s’ouvre avec ma nouvelle préférée du numéro, Machette Party, de Frédéric Raymond. Le texte raconte l’histoire de quatre gars qui s’organisent une petite soirée de film d’horreur. Un des personnages développe une fascination malsaine d’une machette nouvellement acquise par le narrateur. La suite, bien que prévisible, est tout à fait festive, comme le promettait le titre. J’ai apprécié les références aux films d’horreur et le concept fantastique simple, mais efficace, qui sous-tend la nouvelle.
Achetez votre exemplaire sur le site web de Clair/Obscur.
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Published on February 18, 2015 06:14

February 15, 2015

Jardin de chair à ICI Radio-Canada

Le vendredi 2 janvier dernier, j’ai eu le plaisir de faire une entrevue avec Anne-Josée Cameron de ICI Radio-Canada. Vous pouvez l’entendre ici. Pour votre grand plaisir, voici une transcription du reportage.

Catherine Lachaussée : Alors Anne-Josée, on va parler de Frédéric Raymond qui a plusieurs cordes à son arc puisqu’il est scientifique, nouvelliste, romancier et éditeur. Et vous l’avez rencontré en fait cet écrivain qui se passionne pour l’horreur.

Anne-Josée Cameron : Oui, on a parlé de plusieurs choses dont entre autres son premier roman qui est paru en 2014 aux Six Brumes. Et c’est assez particulier parce que pour un premier roman il a choisi de raconter la vie de Chistabel. Elle est cannibale, elle doit manger de la chair fraîche et elle combat de toutes ses forces ce besoin de chair fraîche. Elle ne veut pas vivre cette différence évidemment qui la pousse au meurtre. Et c’est toute la réflexion et la vie de cette jeune femme-là qui doit combattre ses pulsions, entre le rationnel et l’irrationnel. Et c’est un livre particulier qui avait un but très précis pour Frédéric Raymond.

Frédéric Raymond : Ce qui me passionne dans l’horreur et c’est pour ça que des auteurs comme Clive Barker et Anne Rice comptent parmi les auteurs qui m’ont le plus fasciné, c’est de voir le monde par les yeux d’un monstre. Dans ce livre-là, c’est ce que j’ai essayé de faire, de voir le monde par les yeux d’une cannibale qui est très humaine, comparativement à d’autres personnages qui sont des humains plutôt monstrueux. Mais le but c’était de montrer le monde par les yeux d’un monstre.

AJC : En effet, elle est très humaine. Elle ressent la culpabilité. Elle va vivre une grande histoire d’amitié, mais évidemment être ami avec une cannibale c’est pas toujours évident. Ça coupe court à toutes les histoires possibles, amour et amitié. Elle éprouve des remords et ce qui est intéressant pour un premier roman c’est que les hommes ne sont pas très importants ou sont plutôt alimentaires si je peux me permettre.

CL : Alimentaires dans le sens…

AJC : Dans les sens qu’elle peut les croquer. C’est intéressant, les personnages sont bien développés, et j’ai trouvé ça pas mal du tout. J’aurais aimé qu’on aille un peu plus loin encore, mais ça m’a plus, il y a une ambiance, une atmosphère qui est imposée. Vraiment c’est à suivre. C’est un jeune écrivain d’horreur à suivre, mais il est aussi, outre son talent d’écrivain [, un scientifique] et d’ailleurs on va parler un peu de la génétique et de l’ADN dans le roman, il rejoint ses passions.

CL : Il est éditeur.

AJC : Il est aussi éditeur, voilà. Il a fondé La Maison des viscères en 2010, premier roman paru en 2011, premier livre plutôt.

CL : Maison des viscères, c’est pour rester dans le thème.

AJC : Bien voilà, le but était clair, faire de la littérature d’horreur.

FR : Notre but s’était de montrer une horreur crue avec les couvertures, des crânes avec des tripes et tout et tout. Sur l’autre c’est un draveur qui drave sur des corps dans notre livre Exodes. Le but aussi c’est d’aller chercher différents auteurs, donc chacun des livres contient des textes de trois auteurs différents avec un thème. Parfois le thème peut être très large. Dans Agonies le thème c’était l’horreur extrême, donc on a trois auteurs à qui on a commandé des textes. On leur a dit : « Écrivez-nous des textes gores, écrivez-nous quelque chose qui frappe. » À ce moment-là on a travaillé avec les auteurs pour donner les meilleurs textes possible et puis on a fait un recueil de trois textes. Trois textes assez longs. Il y a des maisons d’édition qui publieraient ces textes-là séparément.

AJC : C’est ce que j’allais vous dire. Est-ce qu’on est encore dans le roman ou on est dans la nouvelle?

FR : En fait, on est entre les deux. C’est un format qui s’appelle la novella. C’est un format qui se porte sur bien à l’histoire d’horreur étant donné que c’est pas si court, on a le temps de mettre une ambiance, mais on a pas nécessairement besoin de faire un roman à la Stephen King, de 600 pages.

AJC : Donc trois courts romans pour le prix d’un. Il y a deux publications qui sont prévues cette année, dont l’une dont la thématique est Bizarro, consacrée à l’absurde et à l’horreur. C’est prévu pour la fin de l’hiver. On y retrouvera les écrivains Éric Gauthier, Dave Côté et Guillaume Voisine. Je dois vous avouer que la littérature d’horreur québécoise je la connais un peu moins, je vais m’y plonger au cours des mois qui viennent. Un autre roman est prévu pour la maison d’édition et si vous aimez le genre vous pouvez vous procurer les romans papier ou numériques sur Amazon, Kobo ou en allant sur le site de la maison d’édition, www.visceres.com.

CL : Mais pour Jardin de chair, vous compareriez ça à quoi? Pas nécessairement dans le livre québécois.

AJC : Écoutez, c’est facile de dire un peu de Patrick Senécal. C’est pas du tout dans le genre Stephen King. On est dans le quotidien. L’héroïne dans Jardin de chair, elle vit à Québec. Elle est d’un père qui avait le même défaut génétique qu’elle, de vouloir manger des êtres humains. Lui aussi ça lui posait un gros problème éthique et sa mère, elle, n’est pas cannibale, mais ça ne lui dérange pas; pour sa fille elle est prête à tout faire pour la nourrir. Alors ça donne lieu à une espèce de roman psychologique d’horreur. J’aurais de la misère à comparer avec… j’aime la littérature d’horreur, mais ce n’est pas une littérature que je connais parfaitement. Mais franchement c’est assez intéressant.

CL : Je n’ai pas entendu toute votre chronique Anne-Josée, mais est qu’il y a des références, vous dites que l’histoire a lieu à Québec. Est-ce qu’il y a des références de lieu. Est-ce qu’on se retrouve?

AJC : Oui, tout à fait. Dans les cimetières entre autres.

CL : Moi ça me fait peur.

AJC : Il y a des amitiés qui vont naître dans des cimetières, Cimetière St-Matthews, Belmont, le cimetière à Sillery dont j’oublie le nom, mais qui est très connu. Oui, parce que ça se passe aussi dans des cimetières. Il y a toute une atmosphère. Il y a aussi l’opposition entre la banlieue et la ville, les jardins, un univers de…

CL : Ah j’aime ça, vous me l’avez vendu.

AJC : Sincèrement, c’est fort intéressant. Ça s’appelle Jardin de chair, de Frédéric Raymond, c’est publié aux Six Brumes.
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Published on February 15, 2015 12:23

January 7, 2015

Marvel Heroes 2015 - Trop de MMO (1/4)

Il y a trop, beaucoup trop de jeux multijoueurs en ligne! Même en considérant seulement mes quatre jeux favoris, dont je vous parlerai au cours des prochaines semaines, j'ai à peine le temps d'effleurer la surface. Au moins, les vacances sont là pour aider.

Pendant ce dernier temps des fêtes, j'ai dû me laisser aller à un bon 20 heures de jeu sur Marvel Heroes 2015. Comme j'aime l'aura de Chaos de Scarlet Witch! Marcher à travers les hordes de sbires insignifiants et les voir crever tous autant qu'ils sont sans avoir à lever le petit doigt. Quel plaisir! J'avais essayé le jeu l'année dernière, sans vraiment y accrocher. Je l'avais perçu comme un clone un peu vide de Diablo (avec des superhéros). Cependant, avec leur nouvelle version, je suis devenu addict.

L'intérêt, ce n'est pas la mission principale et l'histoire, qui m'ont bien vite lassé. Ce sont plutôt les zones comme le Midtown, une zone d'action constante où on combat attaque après attaque de supervilains. Un tantinet abrutissant, mais c'est une joie d'y jouer. De même, défendre le Manoir des X-men est très divertissant. Autre point positif, pour le jeu, les différents héros que j'ai utilisés (Scarlet Witch, X-23 et Black Widow) ont un gameplay très différent. Le principal bémol est le prix des héros est des costumes, qui sont assez chers. D'un autre côté, le jeu est gratuit et on peut se procurer des héros gratuitement en accumulant des Brins d'éternité (pas la revue, mais plutôt des Eternity splinters).

Si vous aimez les héros Marvel et que vous assez du temps à tuer, ça vaut la peine d'essayer Marvel Heroes 2015.
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Published on January 07, 2015 05:43

January 4, 2015

Retour sur 2014 - 25 albums de métal en rafale

Tel que promis, voici 25 critiques rapides d'albums métal sortis en 2014. Ce n'est pas un top, rien n'est dans l'ordre. Il y a de l'excellent, du bon et du moins bon. Avec un peu de chance, vous découvrirez deux ou trois trucs.

Aenaon - Extance. Un de mes albums de métal avant-garde préférés cette année. Très bons passages de piano. Il a failli se retrouver dans le top 3.

Narrow House - Thanathonaut. Doom au son plutôt unique. L’un des albums les plus surprenants que j’ai entendus cette année.

Lord Mantis - Death Mask. Un death/black crasseux et malsain, avec un beat d’enfer. À l’image du shemale putréfié de la couverture. Coeurs sensibles s’abstenir.

Anathema - Distant Satellites. Dégoulinant d’émotions. Nom d’un chien. Autant c’est de la bonne musique, autant je m’écoeure vite tellement c’est emo.

Novembers Doom - Bled White. Un album doom de qualité comme le groupe nous y a habitué. J’ai particulièrement aimé l’approche directe du death de certaines chansons.

Wolves in the throne room - Celestite. D’un ennui mortel.

Pallbearer - Foundations of burden. Ce disque est sur tous les tops de fin d’année. Personnellement, ça ne me vient pas me chercher. Aucune idée pourquoi. Ça a tout pour me plaire pourtant.

Ghost Brigade - IV: One with the storm. Doom/death mélodique qui pèse sur les bons boutons. C’est la première fois qu’un disque de ce groupe m’accroche.

Katatonia - Last fair day gone night. Version live de l’intégrale de Last fair deal gone done. L’excellence de l’album avec la lourdeur du live. Je l’ai écouté sans arrêt pendant presque deux mois.

Gridlink - Longhena. Grindcore inspiré par la science-fiction plutôt que par le gore. Certains passages m’ont fait penser à Supervillain Outcast de DHG. Élément unique, l’illustration du disque a affecté ma perception de la musique.

Triptykon - Melana Chasmata. Encore une fois, ce disque apparaît sur tous les tops de l’année et moi je n’ai pas accroché pantoute.

Vampillia - My beautiful twister nightmare. Un album étrange qui vaut la peine d’être découvert par les amateurs de post-métal à l'esprit ouvert.

Myrkur - Myrkur. J’ai beaucoup aimé ce black métal planant.

Hail Spirit Noir - Oi Magoi. Digne successeur de Pneuma. Métal occulte psychédélique savoureux!

Soltafir - Otta. Réussi magistralement là où Anathema a échoué. Une musique riche en émotions.

Wold - Postsocial. Vraiment, mais vraiment impossible à écouter.  Je suis attiré par ce disque, mais je ne le supporte pas plus que dix minutes.

Lethian Dreams - Red Silence Lodge. Métal gothique avec vocal féminin. Très bien fait, avec une superbe ambiance. Peut-être le meilleur disque de ce genre de 2014, dans une récolte plutôt maigre.

Restless oblivion - Sands of time. Excellent funeral doom.

The great old ones - Tekeli-Li. Album concept inspiré par Les Montagnes Hallucinées de Lovecraft. Excellent doom français.

Devilment - The great and secret show. Projet de Dani Filth de Cradle of filth. Rien de transcendant, mais c’est du black métal gothique plutôt sympathique. Ça m'énerve que Filth utilise encore les mythologies de Clive Barker sans mentionner l'auteur nulle part.

Lachrimatory - Transient. Gothic/doom à la hauteur des grands du genre comme My Dying Bride.

The 69 Cats - Transylvanian tapes. Version rock and roll des classiques de la musique goth, ou comment faire écouter du goth à votre belle-mère.

Kuolemanlaakso - Tulijoutsen. Doom/death dans le style de Swallow the sun et Barren Earth. Ah c’est vrai, c’est le même chanteur! Tout l’album est en finnois.

Take over and destroy - Vacant face. Trash-death-black. Sympa et dynamique. Une voix qui rappelle les grognements de Fernando de Moonspell, sans l’aspect gothique.

Septic Flesh - Titan. Rares sont les groupes qui maîtrisent aussi bien l'intégration du death métal avec un orchestre symphonique. Un excellent album.

Si vous l'avez manqué, vous trouverez mon top 3 de 2014 ici.

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Published on January 04, 2015 17:54

December 31, 2014

Top 3 musical de 2014

Avant de vous enfiler, dans quelques jours, une série de brefs commentaires sur des dizaines d’albums sortis en 2014, voici mon top 3 de l’année!

En troisième position!

Jardin Mécanique - La sinistre histoire du Théatre Tintamarre épisode 2. Digne successeur du premier épisode, ce deuxième opus pousse le concept encore plus loin, avec des textes excellents et une orchestration over-the-top. J’ai remarqué un son beaucoup plus progressif que sur le premier disque. Un humour décapant avec de savoureuses jokes de grille-pain. La finale avec son passage “J’ai une idée, lalala, ta yeule!” est devenue un classique dans la maison. Même le bébé se met de la partie!


En deuxième place!

The Atlas Moth - The Old Believer. Superbe suprise. En plus de la pochette fantastique (qui devient maléfique lorsqu’exposée à l’eau), ce disque est une merveille de métal innovateur. C’est un des albums que j’ai le plus écouté cette année. Un son doom moderne à la fois sombre et lumineux.



Et finalement, mon disque de l’année…

Polichinel - Le serpent acéphale. Enfin Dna Noir propose un album à la hauteur de son potentiel. J’écoute cet artiste avec assiduité depuis plusieurs années, mais il n’avait pas encore réussi à m’accrocher autant qu’avec le sublime Face B, le secret, un savant mélange d’ambiances gothiques, de mélancolie, de romantisme et de trash. Avec Le serpent acéphale, l’artiste s’éloigne du romantisme en proposant un cri de haine sans précédent. Bien que les albums entre Face B et Le serpent acéphale faisaient état de la transition dans la démarche de Dna, c’est dans ce nouvel opus qu’elle aboutit pleinement. Une musique à la fois belle et violente, à la croisée de genres musicaux comme l’industriel et le hip-hop (soyez sans crainte métalleux, ça passe bien). Un album schizophrène, violent et beau. Quelques perles de paroles. Quand l’Apocalypse est le seul remède.




Soyez là dans quelques jours pour la suite de ma revue de l'année.
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Published on December 31, 2014 12:48

December 23, 2014

Meilleurs voeux de Noël!

D'ici quelques jours, disons avant l'année prochaine si tout va bien, je devrais vous présenter ma rétrospective musicale de l'année. En attendant, je vous propose deux lectures de Noël. En fait, j'en présente personnellement une seule: mon conte de Noël que vous pouvez télécharger gratuitement sur Kobo et sur Smashword. Vous en avez assez des lutins? Le père Noël aussi!

La deuxième suggestion vient de Pierre-Alexandre Bonin, critique à la revue Solaris. J'ajoute ma goutte de sang en vous promettant que dans Jardin de chair il y a une scène de Noël qui vaut pas mal le détour, si j'en crois certains lecteurs!

Parlant de Solaris, si vous avez écouté Le Téléjournal de Radio-Canada vendredi 19 décembre dernier (à environ 37 minutes), vous m’avez peut-être reconnu dans le reportage sur les 40 ans de la revue. Semble-t-il qu’on m’a aussi entendu à la radio. C’est l’fun de parler en bien d’une revue qu’on apprécie!
Sur ce, je vous souhaite à tous et à toutes un joyeux Noël!


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Published on December 23, 2014 11:26

December 20, 2014

Les comics de 2014 : Chaos!

Chaos! La résurrection de 2014, il va sans dire. Dans les années ‘90, Chaos! comics avait créé un univers d’horreur trash et over-the-top peuplé de démones sexy et de monstres ultra-violents. Cette année, Dynamite a fait revivre des personnages cultes comme la vampiresse Égyptienne Purgatory, son némésis Chastity et le savoureux Evil Ernie avec son macaron maléfique. Tout a commencé par une excellente minisérie de six numéros par Tim Seeley, nommée simplement Chaos! Ensuite, une avalanche de miniséries et de one shots a repris le flambeau, faisant revivre cet univers intense. En plus des séries principales sur Purgatory, Chastity et Evil Ernie, le spécial de Noël est un must pour ceux qui aiment leur père Noël musclé et bad-ass.
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Published on December 20, 2014 11:49

November 18, 2014

Histoire de zombie gratuite au Salon du livre de Montréal

Vous vous souvenez de mon texte «La loi et la horde», qui avait été publié pour un temps limité sur le blogue de l'Ermite? Cette micronouvelle raconte l'histoire d'une famille qui se bute à une horreur trop humaine en pleine apocalypse. J'ai décidé d'en offrir un exemplaire aux lecteurs et aux lectrices qui viendront me voir pour une dédicace au Salon du livre de Montréal. Les quantités seront limitées, mais je vais m'assurer d'en avoir plusieurs exemplaires. Ce sera l'une des rares occasions d'obtenir ce texte, et le moment idéal pour faire signer votre exemplaire de Jardin de chair.

Le Salon du livre de Montréal commence demain et j'aurai le plaisir d'y être vendredi. Je serai en séance de dédicaces vendredi de 13h à 14h et de 20h à 21h au stand 102.

Au plaisir de vous y rencontrer!
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Published on November 18, 2014 17:32