Frederic Raymond's Blog, page 3
April 6, 2016
J'ai toujours rêvé d'écrire...
Quand on publie un livre, on se fait souvent poser les mêmes questions.
Où prends-tu tes idées? Comment est-ce que tu trouves le temps d’écrire? Est-ce que c’est bon du premier coup? J’ai une bonne idée, est-ce que tu veux l’écrire?
Et, souvent, c'est suivi par "J'ai toujours rêvé d'écrire..."
Alors je leur dit :
Assis-toi et puis écrit. C'est facile, il faut juste enligner les mots les uns après les autres.
Ils répondent :
Mais je ne sais pas comment faire...
Alors pour tous ces gens qui veulent écrire et qui ne savent pas comment, j'ai créé une série de courriels qui explique, étape par étape, comment on écrit une histoire. De l'idée à la révision.
Chaque jour, un petit peu d'écriture à faire. Et au bout de la semaine, une micronouvelle de 300 mots! Votre première histoire. Et vous avez passé par toutes les étapes de la rédaction sans même vous en rendre compte.
Vous voulez essayer?
Cliquez ici pour vous inscrire
Où prends-tu tes idées? Comment est-ce que tu trouves le temps d’écrire? Est-ce que c’est bon du premier coup? J’ai une bonne idée, est-ce que tu veux l’écrire?
Et, souvent, c'est suivi par "J'ai toujours rêvé d'écrire..."
Alors je leur dit :
Assis-toi et puis écrit. C'est facile, il faut juste enligner les mots les uns après les autres.
Ils répondent :
Mais je ne sais pas comment faire...
Alors pour tous ces gens qui veulent écrire et qui ne savent pas comment, j'ai créé une série de courriels qui explique, étape par étape, comment on écrit une histoire. De l'idée à la révision.
Chaque jour, un petit peu d'écriture à faire. Et au bout de la semaine, une micronouvelle de 300 mots! Votre première histoire. Et vous avez passé par toutes les étapes de la rédaction sans même vous en rendre compte.
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Published on April 06, 2016 16:40
February 17, 2016
La playmate du mois de mars est habillée
En octobre dernier, la revue érotique Playboy a annoncé qu'il n'y aurait plus de femmes nues dans ses pages. Cette annonce a fait lever plus d'un... sourcil. Sur le coup, je n'avais pas trop compris. Évidemment que la compétition de l'internet est forte sur l'érotisme, mais était-ce là toute la stratégie de ce magasine culte?
Aujourd'hui, je crois que j'ai pigé.
Dans un kiosque à journaux, j'ai vu le plus récent numéro de Playboy bien en évidence avec des revues prestigieuses comme Vogue ou Cosmopolitan. Curieux, j'ai feuilleté le magazine. Pas de femmes nues, mais quelques photos qui, tout en étant sexy, sont de bon gout. On met l'accent sur les articles et le contenu (à l'instar de la vieille blague). On mise sur l'image de marque de Playboy.
Sur le web, c'est différent. Juste avant d'écrire cet texte, je suis allé voir le site de Playboy. On note la transition vers une abondance de contenu style viral, comme on en voit partout sur les réseaux sociaux ces temps-ci. De prime abord, les articles semblent de bonne qualité. Et pour la nudité, il faut visiter la section "Plus" du site, qui est payante.
Bref, la branche grand public de Playboy mise maintenant sur le markéting de contenu. Dans un futur proche, on verra sans doute sur Facebook de plus en plus d'article ou de contenu viral partagé qui provient de ce site.
Le virage est intéressant. L'approche papier me plait bien. Pour ce qui est de la stratégie web, je ne suis pas un grand amateur de ces agrégateurs de contenu, mais le site de Playboy a une belle facture et des articles intéressants, comme celui-ci sur les jeux vidéos d'horreur indépendants.
Qu'est-ce que vous en dites?
Aujourd'hui, je crois que j'ai pigé.
Dans un kiosque à journaux, j'ai vu le plus récent numéro de Playboy bien en évidence avec des revues prestigieuses comme Vogue ou Cosmopolitan. Curieux, j'ai feuilleté le magazine. Pas de femmes nues, mais quelques photos qui, tout en étant sexy, sont de bon gout. On met l'accent sur les articles et le contenu (à l'instar de la vieille blague). On mise sur l'image de marque de Playboy.
Sur le web, c'est différent. Juste avant d'écrire cet texte, je suis allé voir le site de Playboy. On note la transition vers une abondance de contenu style viral, comme on en voit partout sur les réseaux sociaux ces temps-ci. De prime abord, les articles semblent de bonne qualité. Et pour la nudité, il faut visiter la section "Plus" du site, qui est payante.
Bref, la branche grand public de Playboy mise maintenant sur le markéting de contenu. Dans un futur proche, on verra sans doute sur Facebook de plus en plus d'article ou de contenu viral partagé qui provient de ce site.
Le virage est intéressant. L'approche papier me plait bien. Pour ce qui est de la stratégie web, je ne suis pas un grand amateur de ces agrégateurs de contenu, mais le site de Playboy a une belle facture et des articles intéressants, comme celui-ci sur les jeux vidéos d'horreur indépendants.
Qu'est-ce que vous en dites?
Published on February 17, 2016 18:03
January 16, 2016
Mes choix musicaux pour 2015
Ma liste de musique de l’année compte 69 albums. En la relisant, je me rends compte que plusieurs disques (pour la plupart dématérialisés) m’ont procuré de bons moments d’écoute, mais choisir les plus importants dans la liste s’est avéré plutôt facile. Ça en donne neuf. J’aurais bien pu en choisir un dixième, pour faire un « TOP 10! », mais voici l’essentiel de mes écoutes de 2015, en ordre alphabétique.
A swarm of the sun – The Rifts. Découverte de l’année. J’ai écouté The Rifts plus qu’aucun autre disque cet automne. Des rythmes répétitifs et obsédants à la My Dying Bride. Une instrumentation discrète, loin de l’extrême, un peu dans le style du Katatonia actuel.
Arcturus – Arcturian. Je ne m’attendais pas à entendre du nouveau matériel d’Arcturus. Si Sideshow symphonies avait été une déception (certains passages agressaient un peu l’oreille, pas d’une manière agréable), Arcturian capture l’essence de Arcturus : du métal cosmique et progressif, avec une dose de théâtralité et une touche d’électronique.
Code –Mut. Tout ce que j’aime du métal avant-gardiste dans un seul album. De l’innovation, de l’émotion, un peu de métal crounchant (mais pas une grosse dose), des excellents musiciens, des passages qui font frissonner. Le groupe Code a atteint sa maturité et c’est un plaisir intense d’écouter Mut.
DHG – A Umbra Omega. Supervillain Outcast est un de mes albums cultes. Brutal et innovant, avec une thématique de superhéros (ou plutôt de supervillains). Cette fois, à l’opposé du métal extrême over-the-top, DHG offre un métal avant-gardiste et extrême à la saveur introspective et contemplative.
Katatonia – Sanctitude. Encore un album de réinterprétations! Cette fois, c’est un live acoustique. Un peu dans la veine de Dethroned and uncrowned, mais live. Vivement du nouveau matériel!
My Dying Bride – Feel the misery. Comme l’indique le titre de l’album, la misère est palpable dans ce doom comme sait si bien le faire My Dying Bride. Les derniers disques étaient bons, mais celui-ci est un brin plus accrocheur (autant que du doom métal puisse être accrocheur).
Myrkur – M.Du black métal scandinave fait aux États-Unis. Ça sent bon la forêt et le métal noir. Ce disque ne fait pas l’unanimité, certains détestent, d’autres adorent. Ça me rappelle des sonorités de la fin des années ’90. J’aime ça.
Polichinel – Apocalypse en Ré Mineur. Le dernier album de Polichinel. Un peu plus rap, un peu moins indus. Toujours aussi authentique et trash. Polichinel est un des rares musiciens avec une démarche artistique intégrée. C’est un artiste qui m’a marqué au cours des dix dernières années. Il explique sa fin dans une entrevue sur http://www.verdammnis.com/interviews.php?id=119 et dans sa chanson Ryuk.
Wilderun – Sleep at the Edge of the Earth. Un des meilleurs albums de métal folklorique que j’ai entendu. C’était rafraichissant de découvrir cet album cet été, assis sur la terrasse, par mes hauts parleurs extérieurs tous neufs. Chaudement recommandé si vous êtes fans du genre, ou non.
Bienvenue en 2016!
A swarm of the sun – The Rifts. Découverte de l’année. J’ai écouté The Rifts plus qu’aucun autre disque cet automne. Des rythmes répétitifs et obsédants à la My Dying Bride. Une instrumentation discrète, loin de l’extrême, un peu dans le style du Katatonia actuel.
Arcturus – Arcturian. Je ne m’attendais pas à entendre du nouveau matériel d’Arcturus. Si Sideshow symphonies avait été une déception (certains passages agressaient un peu l’oreille, pas d’une manière agréable), Arcturian capture l’essence de Arcturus : du métal cosmique et progressif, avec une dose de théâtralité et une touche d’électronique.
Code –Mut. Tout ce que j’aime du métal avant-gardiste dans un seul album. De l’innovation, de l’émotion, un peu de métal crounchant (mais pas une grosse dose), des excellents musiciens, des passages qui font frissonner. Le groupe Code a atteint sa maturité et c’est un plaisir intense d’écouter Mut.
DHG – A Umbra Omega. Supervillain Outcast est un de mes albums cultes. Brutal et innovant, avec une thématique de superhéros (ou plutôt de supervillains). Cette fois, à l’opposé du métal extrême over-the-top, DHG offre un métal avant-gardiste et extrême à la saveur introspective et contemplative.
Katatonia – Sanctitude. Encore un album de réinterprétations! Cette fois, c’est un live acoustique. Un peu dans la veine de Dethroned and uncrowned, mais live. Vivement du nouveau matériel!
My Dying Bride – Feel the misery. Comme l’indique le titre de l’album, la misère est palpable dans ce doom comme sait si bien le faire My Dying Bride. Les derniers disques étaient bons, mais celui-ci est un brin plus accrocheur (autant que du doom métal puisse être accrocheur).
Myrkur – M.Du black métal scandinave fait aux États-Unis. Ça sent bon la forêt et le métal noir. Ce disque ne fait pas l’unanimité, certains détestent, d’autres adorent. Ça me rappelle des sonorités de la fin des années ’90. J’aime ça.
Polichinel – Apocalypse en Ré Mineur. Le dernier album de Polichinel. Un peu plus rap, un peu moins indus. Toujours aussi authentique et trash. Polichinel est un des rares musiciens avec une démarche artistique intégrée. C’est un artiste qui m’a marqué au cours des dix dernières années. Il explique sa fin dans une entrevue sur http://www.verdammnis.com/interviews.php?id=119 et dans sa chanson Ryuk.
Wilderun – Sleep at the Edge of the Earth. Un des meilleurs albums de métal folklorique que j’ai entendu. C’était rafraichissant de découvrir cet album cet été, assis sur la terrasse, par mes hauts parleurs extérieurs tous neufs. Chaudement recommandé si vous êtes fans du genre, ou non.
Bienvenue en 2016!
Published on January 16, 2016 11:02
December 14, 2015
Éviscérer des écorchés - le pouvoir d'une infolettre
Si vous suivez un peu ce qu'on fait à La Maison des viscères, vous avez sans doute entendu parler de notre nouvelle anthologie : Écorché. Je ne répète pas toutes les info ici, vous n'avez qu'à visiter la page du livre pour plus de détails.
Le livre a été publié officiellement la semaine dernière, quand j'ai envoyé les exemplaires numériques aux lecteurs qui avaient précommandé. Le plus grand succès de cette prévente est que la moitié des gens qui ont participé étaient de nouveaux lecteurs. Oui, oui! Pas des amis, des auteurs ou des gens qu'on rencontre au congrès Boréal. De nouvelles personnes qui connaissent La Maison des viscères depuis peu de temps.
Tout ça grâce à Éviscération.
En faisant grandir notre infolettre, on a pu présenter notre message à plus de gens. Au fil des mois, l'audience de Éviscération a grossi. De 24 personnes en juillet, l'infolettre avait 228 membres lors du lancement de la prévente de Écorché, début octobre. Et à la fin du mois, j'ai envoyé le 5e courriel de la prévente à 275 fans d'horreur.
Cependant, je n'étais pas certain du nombre de courriels à envoyer pour la prévente. J'avais beaucoup de choses à dire, mais je ne voulais pas spammer Éviscération! Juste répéter la même info dans chaque message comme le suggèrent certains markéteurs, en changeant de ton chaque fois, me semblait un peu plate pour les lecteurs. Alors j'ai fait la liste de l'information importante (et intéressante) à transmettre. J'ai pensé que le mieux serait de laisser la parole aux auteurs. Voici la liste des courriels envoyés (cliquez pour voir le courriel).
Annonce de la prévente, avec le lien vers la page de la prévente.Pierre-Luc Lafrance parle de Ce n'est pas un conte de fées.Jonathan Reynolds parle de Rydia avec un « L ».Ariane Gélinas parle de La frontière dorée.Lien vers un PDF d'extraits du livre.Tout au long de la campagne, le taux d'ouverture des messages était autour de 30-35%. Ce n'est pas la mer à boire, mais ce n'est pas si pire non plus. Il ne faut pas oublier qu'une partie des ouvertures de courriels ne peut pas être mesurée, car certaines configurations ont des paramètres de sécurité plus stricts (qui empèchent de suivre l'ouverture des messages, entre autres). Nonobstant cela, je crois que si plus de temps s'était écoulé entre le lancement d'Éviscération et celui de Écorché, le taux aurait été meilleur. Plusieurs personnes n'ont reçu qu'une (ou peut-être aucune!) livraison de l'infolettre régulière. Ils n'ont pas encore appris à connaitre La Maison des viscères, ses collaborateurs et sa passion pour l'horreur. Et pour les nouveaux membres, ils ont quand même reçu plusieurs courriels dans un court laps de temps, si on ajoute les quatre courriels de bienvenue qui s'échelonnent sur une semaine.
C'est étrange, mais il y a un message que tous ces markéteurs qui veulent nous apprendre à faire du markéting par courriel ne nous expliquent pas (sauf peut-être des gens comme Seth Godin ou Mitch Joel, mais je critique surtout ceux qui veulent nous vendre des formations sur le web). Développer une audience réceptive est un travail de longue haleine. Au fil des mois, à force de proposer du contenu intéressant à nos lecteurs, ils deviennent de plus en plus intéressés à ce qu'on a à dire (si ce qu'on dit est intéressant, cela va sans dire!). Et c'est encore mieux si on réussit à amorcer le dialogue. C'est l'approche que j'ai choisie pour La Maison des viscères. J'y vais toujours un peu par essai et erreur, mais j'espère que les gens qui choisissent de s'intéresser à notre vision de l'horreur vont apprécier!
Pour Éviscération, nous utilisons Mailchimp. Si vous créez votre compte en utilisant ce lien, vous obtiendrez un bonus de 30$ de crédit si vous migrez vers un compte payant (et Éviscération aussi recevra 30$!). Mailchimp est gratuit pour les listes de moins de 2000 membres, mais certaines fonctionnalités comme l'automatisation nécessitent un compte payant. Je vais vous parler de cela plus en détail dans un prochain article.
Le livre a été publié officiellement la semaine dernière, quand j'ai envoyé les exemplaires numériques aux lecteurs qui avaient précommandé. Le plus grand succès de cette prévente est que la moitié des gens qui ont participé étaient de nouveaux lecteurs. Oui, oui! Pas des amis, des auteurs ou des gens qu'on rencontre au congrès Boréal. De nouvelles personnes qui connaissent La Maison des viscères depuis peu de temps.
Tout ça grâce à Éviscération.
En faisant grandir notre infolettre, on a pu présenter notre message à plus de gens. Au fil des mois, l'audience de Éviscération a grossi. De 24 personnes en juillet, l'infolettre avait 228 membres lors du lancement de la prévente de Écorché, début octobre. Et à la fin du mois, j'ai envoyé le 5e courriel de la prévente à 275 fans d'horreur.

Cependant, je n'étais pas certain du nombre de courriels à envoyer pour la prévente. J'avais beaucoup de choses à dire, mais je ne voulais pas spammer Éviscération! Juste répéter la même info dans chaque message comme le suggèrent certains markéteurs, en changeant de ton chaque fois, me semblait un peu plate pour les lecteurs. Alors j'ai fait la liste de l'information importante (et intéressante) à transmettre. J'ai pensé que le mieux serait de laisser la parole aux auteurs. Voici la liste des courriels envoyés (cliquez pour voir le courriel).
Annonce de la prévente, avec le lien vers la page de la prévente.Pierre-Luc Lafrance parle de Ce n'est pas un conte de fées.Jonathan Reynolds parle de Rydia avec un « L ».Ariane Gélinas parle de La frontière dorée.Lien vers un PDF d'extraits du livre.Tout au long de la campagne, le taux d'ouverture des messages était autour de 30-35%. Ce n'est pas la mer à boire, mais ce n'est pas si pire non plus. Il ne faut pas oublier qu'une partie des ouvertures de courriels ne peut pas être mesurée, car certaines configurations ont des paramètres de sécurité plus stricts (qui empèchent de suivre l'ouverture des messages, entre autres). Nonobstant cela, je crois que si plus de temps s'était écoulé entre le lancement d'Éviscération et celui de Écorché, le taux aurait été meilleur. Plusieurs personnes n'ont reçu qu'une (ou peut-être aucune!) livraison de l'infolettre régulière. Ils n'ont pas encore appris à connaitre La Maison des viscères, ses collaborateurs et sa passion pour l'horreur. Et pour les nouveaux membres, ils ont quand même reçu plusieurs courriels dans un court laps de temps, si on ajoute les quatre courriels de bienvenue qui s'échelonnent sur une semaine.
C'est étrange, mais il y a un message que tous ces markéteurs qui veulent nous apprendre à faire du markéting par courriel ne nous expliquent pas (sauf peut-être des gens comme Seth Godin ou Mitch Joel, mais je critique surtout ceux qui veulent nous vendre des formations sur le web). Développer une audience réceptive est un travail de longue haleine. Au fil des mois, à force de proposer du contenu intéressant à nos lecteurs, ils deviennent de plus en plus intéressés à ce qu'on a à dire (si ce qu'on dit est intéressant, cela va sans dire!). Et c'est encore mieux si on réussit à amorcer le dialogue. C'est l'approche que j'ai choisie pour La Maison des viscères. J'y vais toujours un peu par essai et erreur, mais j'espère que les gens qui choisissent de s'intéresser à notre vision de l'horreur vont apprécier!
Pour Éviscération, nous utilisons Mailchimp. Si vous créez votre compte en utilisant ce lien, vous obtiendrez un bonus de 30$ de crédit si vous migrez vers un compte payant (et Éviscération aussi recevra 30$!). Mailchimp est gratuit pour les listes de moins de 2000 membres, mais certaines fonctionnalités comme l'automatisation nécessitent un compte payant. Je vais vous parler de cela plus en détail dans un prochain article.
Published on December 14, 2015 07:23
December 10, 2015
Stephen King comme cure de désintox
Ça fait quelques mois que je lis des livres de markéting.
En septembre, j'ai commencé à écouter des podcasts sur le sujet. C'est intéressant, mais c'est aussi un peu comme une drogue. Les nouveaux podcasts du jour, il faut les écouter! Un webinaire en direct par un bonze du markéting numérique, il ne faut pas le manquer! Au cas où il proposerait du contenu intéressant au lieu d'essayer de vendre sa formation à deux mille piasses.
Sur le lot, il y a du matériel intéressant. J'apprends beaucoup de choses, et je perds mon temps tout en ayant l'impression d'apprendre. En tout et partout, peut-être que 20% de ces podcasts, livres et webinaires m'apportent quelque chose. Avec le temps, j'ai besoin de matériel de plus en plus poussé (comme de la droye!). Tsé, je suis pas un dindon et je comprends ce genre de chose assez vite. Mais de là à l'appliquer comme un pro, il y a quand même besoin d'une expérience substantielle. Juste le temps et la pratique peuvent régler ça.
Alors, sans laisser tomber le sujet (il y a quand même quelques podcasts que je ne veux pas manquer, et puis je veux lire CTRL ALT DELETE de Mitch Joel bientôt, car ça a l'air vraiment cool), j'ai décidé de me payer une cure désintox.
J'avais dans ma bibliothèque au bureau (parce que j'ai une tablette bibliothèque au labo, avec des livres de génomique, de bio-informatique, de statistiques et, bien sûr, quelques romans d'horreur) un beau gros roman de Stephen King que j'avais trouvé en vente il y a quelques mois (Lisey's story).
Ça va faire du bien un roman qui met en scène des vies sous un angle un peu sombre, comme King sait si bien le faire. Je ne m'attends pas à trop d'horreur, mais me faire porter par la vision de King va me faire décrocher. Et laisser tomber quelques podcasts va me permettre de réécouter mes achats métal de 2015 pour vous proposer mon top dans quelques semaines...
Comment trouver les meilleurs auteurs d'horreur du Québec?
J'ai compilé une liste de 85 récits d'horreur québécois à ne pas manquer. Combien en avez-vous lu?
Cliquez ici pour obtenir la liste.
En septembre, j'ai commencé à écouter des podcasts sur le sujet. C'est intéressant, mais c'est aussi un peu comme une drogue. Les nouveaux podcasts du jour, il faut les écouter! Un webinaire en direct par un bonze du markéting numérique, il ne faut pas le manquer! Au cas où il proposerait du contenu intéressant au lieu d'essayer de vendre sa formation à deux mille piasses.
Sur le lot, il y a du matériel intéressant. J'apprends beaucoup de choses, et je perds mon temps tout en ayant l'impression d'apprendre. En tout et partout, peut-être que 20% de ces podcasts, livres et webinaires m'apportent quelque chose. Avec le temps, j'ai besoin de matériel de plus en plus poussé (comme de la droye!). Tsé, je suis pas un dindon et je comprends ce genre de chose assez vite. Mais de là à l'appliquer comme un pro, il y a quand même besoin d'une expérience substantielle. Juste le temps et la pratique peuvent régler ça.
Alors, sans laisser tomber le sujet (il y a quand même quelques podcasts que je ne veux pas manquer, et puis je veux lire CTRL ALT DELETE de Mitch Joel bientôt, car ça a l'air vraiment cool), j'ai décidé de me payer une cure désintox.
J'avais dans ma bibliothèque au bureau (parce que j'ai une tablette bibliothèque au labo, avec des livres de génomique, de bio-informatique, de statistiques et, bien sûr, quelques romans d'horreur) un beau gros roman de Stephen King que j'avais trouvé en vente il y a quelques mois (Lisey's story).
Ça va faire du bien un roman qui met en scène des vies sous un angle un peu sombre, comme King sait si bien le faire. Je ne m'attends pas à trop d'horreur, mais me faire porter par la vision de King va me faire décrocher. Et laisser tomber quelques podcasts va me permettre de réécouter mes achats métal de 2015 pour vous proposer mon top dans quelques semaines...
Comment trouver les meilleurs auteurs d'horreur du Québec?
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Published on December 10, 2015 18:27
November 30, 2015
Laisser des miettes de pain...
Des fois j'ai l'impression que je saute d'un projet à l'autre et que rien n'avance. Ou bien je clique sur le mauvais onglet de Chrome et puis je me perds dans les méandres de ma routine de procrastination. Après quelques minutes, je me rends compte que je suis en train de gaspiller mon temps. Et là, je me demande où j'étais rendu. Ça arrive en particulier quand je lance une analyse bio-informatique qui prend une ou deux minutes et que je vais faire autre chose en attendant que ça finisse (et ce genre de chose arrive très souvent dans une journée).
Alors j'ai trouvé un truc tout simple pour retrouver le fil rapidement. C'est vraiment pas compliqué. Ça ne coute rien. Pas besoin de technologie. Juste un crayon et du papier.
Quand je commence une tâche, je l'écrit dans un carnet. Quand je termine la tâche, je la raye. Ce n'est pas une liste de choses à faire (une todo list), c'est plus tôt une liste de choses commencées.
Sur cette liste j'écris des tâches simples. Pas le nom du projet "Article sur la comparaison de génomes avec notre nouvel outil super cool", plutôt la description d'une tâche finie qui a un début et une fin claire. Par exemple "Écrire un paragraphe sur les méthodes de distance utilisées pour faire les comparaisons de génomes."
Cette liste de tâches en cours, je l'écris sur un bloc-note jaune juste à côté de mon clavier. Il est très laid et il est toujours dans mon champ de vision. Alors il me ramène à l'order en un rien de temps!
Si une tâche reste là trop longtemps, je me pose la question : Est-ce que cette tâche est vraiment essentielle? Est-elle vraiment en cours? Si la réponse à ces deux questions est non, alors je raye la tâche de la liste.
Comme vous le voyez, je ne me complique pas la vie avec des systèmes compliqués de gestion du temps, mais j'arrive à faire des gains importants dans la gestion de mon temps. Je me suis un peu inspiré de Getting Things Done: The Art of Stress-Free Productivity de David Allen, mais j'ai simplifié les concepts à l'extrême pour les adapter à mes propres problèmes.
Est-ce que vous avez des trucs à partager pour améliorer votre gestion du temps et réduire la procrastination?
Alors j'ai trouvé un truc tout simple pour retrouver le fil rapidement. C'est vraiment pas compliqué. Ça ne coute rien. Pas besoin de technologie. Juste un crayon et du papier.
Quand je commence une tâche, je l'écrit dans un carnet. Quand je termine la tâche, je la raye. Ce n'est pas une liste de choses à faire (une todo list), c'est plus tôt une liste de choses commencées.
Sur cette liste j'écris des tâches simples. Pas le nom du projet "Article sur la comparaison de génomes avec notre nouvel outil super cool", plutôt la description d'une tâche finie qui a un début et une fin claire. Par exemple "Écrire un paragraphe sur les méthodes de distance utilisées pour faire les comparaisons de génomes."
Cette liste de tâches en cours, je l'écris sur un bloc-note jaune juste à côté de mon clavier. Il est très laid et il est toujours dans mon champ de vision. Alors il me ramène à l'order en un rien de temps!
Si une tâche reste là trop longtemps, je me pose la question : Est-ce que cette tâche est vraiment essentielle? Est-elle vraiment en cours? Si la réponse à ces deux questions est non, alors je raye la tâche de la liste.
Comme vous le voyez, je ne me complique pas la vie avec des systèmes compliqués de gestion du temps, mais j'arrive à faire des gains importants dans la gestion de mon temps. Je me suis un peu inspiré de Getting Things Done: The Art of Stress-Free Productivity de David Allen, mais j'ai simplifié les concepts à l'extrême pour les adapter à mes propres problèmes.
Est-ce que vous avez des trucs à partager pour améliorer votre gestion du temps et réduire la procrastination?
Published on November 30, 2015 07:42
November 23, 2015
La goutte qui fait déborder le vase
J'étais tanné de n'arriver à rien (ou à peu) avec mes ventes de livres pour La Maison des viscères. Alors j'ai commencé à emprunter des livres sur différents sujets à la bibliothèque, histoire de m'instruire! Rien de transcendant pour commencer. J'essayais de comprendre le milieu de l'édition. J'ai lu Histoire de l'édition littéraire au Québec au XXe siècle volume 3, les années 1970 à 2000. Et puis L'amour du livre de Denis Vaugeois. Ça m'a permis de mieux comprendre l'état actuel du milieu de l'édition et de saisir pourquoi certaines lois existent (par exemple l'obligation des bibliothèques d'acheter chez des libraires agréés). J'ai aussi appris l'existence (et l'importance) de la littérature mettant en scène des infirmières dans les années '70... Non, ce n'est pas la littérature que vous pensez...
Mais d'un autre côté, avec toutes les métamorphoses que vit l'industrie du livre depuis de début des années 2000, ces informations restaient plus historiques que pratiques. Mieux instruit, mais sans vraiment avoir de meilleurs outils, j'étais de plus en plus convaincu que le mode actuel de distribution du livre avait des problèmes (j'avoue, pas besoin de jouer au rat de bibliothèque pour découvrir ça!). Un chose était certaine cependant, j'étais (et je suis encore) convaincu que pour un produit comme le livre d'horreur pour adulte, la distribution classique des livres n'est pas la meilleure approche.
Dans un moment de folie, j'ai pris un essai gratuit sur scrbd, un site de lecture en ligne (paiement mensuel pour l'accès à une librairie complète). J'avais l'intention de lire plein de bandes dessinées Marvel. À la place, j'ai été intrigué par un crâne chauve.
C'était mon premier livre de Seth Godin... Épiphanie!
Le titre complet : Permission Marketing: Turning Strangers Into Friends And Friends Into Customers. Le livre explique comment il est de moins en moins utile de déranger les gens pour leur vendre nos produits (en blastant une publicité dans leur face, comme une pub de déodo Secret avant un vidéo de métal extrême sur YouTube, alors que je suis un monsieur). Il faudrait surtout prendre le temps de gagner leur confiance. Apprendre à les connaitre autant qu'ils apprennent à nous connaitre. Leur présenter petit à petit notre entreprise et nos produits, sans trop les brusquer. C'est comme un premier rendez-vous, où il ne faut pas être trop vite en affaires!
Est-ce que ça a du sens dans le contexte de La Maison des viscères? Évidemment!
Et si j'étais (La Maison des viscères était) capable d'amorcer le dialogue avec d'autres fans de livres d'horreur. Échanger avec eux sur différents sujets qui me passionnent autant qu'eux. Leur présenter petit à petit notre vision, nos auteurs, nos livres.
C'est après cette lecture qu'est née l'infolettre Éviscération.
Comment trouver les meilleurs auteurs d'horreur du Québec?
J'ai compilé une liste de 85 récits d'horreur québécois à ne pas manquer. Combien en avez-vous lu?
Cliquez ici pour obtenir la liste.
Mais d'un autre côté, avec toutes les métamorphoses que vit l'industrie du livre depuis de début des années 2000, ces informations restaient plus historiques que pratiques. Mieux instruit, mais sans vraiment avoir de meilleurs outils, j'étais de plus en plus convaincu que le mode actuel de distribution du livre avait des problèmes (j'avoue, pas besoin de jouer au rat de bibliothèque pour découvrir ça!). Un chose était certaine cependant, j'étais (et je suis encore) convaincu que pour un produit comme le livre d'horreur pour adulte, la distribution classique des livres n'est pas la meilleure approche.
Dans un moment de folie, j'ai pris un essai gratuit sur scrbd, un site de lecture en ligne (paiement mensuel pour l'accès à une librairie complète). J'avais l'intention de lire plein de bandes dessinées Marvel. À la place, j'ai été intrigué par un crâne chauve.

C'était mon premier livre de Seth Godin... Épiphanie!
Le titre complet : Permission Marketing: Turning Strangers Into Friends And Friends Into Customers. Le livre explique comment il est de moins en moins utile de déranger les gens pour leur vendre nos produits (en blastant une publicité dans leur face, comme une pub de déodo Secret avant un vidéo de métal extrême sur YouTube, alors que je suis un monsieur). Il faudrait surtout prendre le temps de gagner leur confiance. Apprendre à les connaitre autant qu'ils apprennent à nous connaitre. Leur présenter petit à petit notre entreprise et nos produits, sans trop les brusquer. C'est comme un premier rendez-vous, où il ne faut pas être trop vite en affaires!
Est-ce que ça a du sens dans le contexte de La Maison des viscères? Évidemment!
Et si j'étais (La Maison des viscères était) capable d'amorcer le dialogue avec d'autres fans de livres d'horreur. Échanger avec eux sur différents sujets qui me passionnent autant qu'eux. Leur présenter petit à petit notre vision, nos auteurs, nos livres.
C'est après cette lecture qu'est née l'infolettre Éviscération.
Comment trouver les meilleurs auteurs d'horreur du Québec?
J'ai compilé une liste de 85 récits d'horreur québécois à ne pas manquer. Combien en avez-vous lu?
Cliquez ici pour obtenir la liste.

Published on November 23, 2015 05:00
November 21, 2015
Mon nouveau hobby
Comme si ce n'était pas assez...
Passer mes journées à repousser les limites de la science...
Passez mes soirées à éditer des livres pour La Maison des viscères ou à écrire des romans d'horreur...
Il a fallu que je découvre le markéting web. C'est ma nouvelle obsession depuis le printemps 2015, découvrir différentes approches de markéting digital et les appliquer à La Maison des viscères.
J'ai vraiment envie de parler de mes expérimentations, de mes lectures, de mes épiphanies et de mes déceptions. J'ai donc décidé d'ajouter un nouveau sujet à mon blogue : le markéting.
Alors voilà, la balle est en l'air, il ne me reste qu'à la frapper! Je déclare au grand jour ma passion pour la promotion numérique. En bonus, vous allez pouvoir découvrir ce qui se trame dans les coulisses de La Maison des viscères.
Au plaisir de parler de markéting digital (ou physique) avec vous!
Comment trouver les meilleurs auteurs d'horreur du Québec?
J'ai compilé une liste de 85 récits d'horreur québécois à ne pas manquer. Combien en avez-vous lu?
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Passez mes soirées à éditer des livres pour La Maison des viscères ou à écrire des romans d'horreur...
Il a fallu que je découvre le markéting web. C'est ma nouvelle obsession depuis le printemps 2015, découvrir différentes approches de markéting digital et les appliquer à La Maison des viscères.
J'ai vraiment envie de parler de mes expérimentations, de mes lectures, de mes épiphanies et de mes déceptions. J'ai donc décidé d'ajouter un nouveau sujet à mon blogue : le markéting.
Alors voilà, la balle est en l'air, il ne me reste qu'à la frapper! Je déclare au grand jour ma passion pour la promotion numérique. En bonus, vous allez pouvoir découvrir ce qui se trame dans les coulisses de La Maison des viscères.
Au plaisir de parler de markéting digital (ou physique) avec vous!
Comment trouver les meilleurs auteurs d'horreur du Québec?
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Published on November 21, 2015 10:07
April 23, 2015
L'horreur à l'honneur au prix Aurora/Boréal 2015
Aujourd'hui, on a annoncé les finalistes du prix Aurora/Boréal 2015. Et vous savez quoi? Jardin de chair est en finaliste dans la catégorie "Meilleur roman". La couverture de François-Pierre Bernier l'est aussi, cette fois dans la catégorie "Création artistique audiovisuelle".
Jardin de chair est en excellente compagnie avec les autres finalistes, dont plusieurs auteurs de renom. En ordre alphabétique: Marilou Addison, Ariane Gélinas, Patrick Senécal, Daniel Sernine et Élisabeth Vonarburg. Ce qui m'enthousiasme encore plus, c'est que quatre des six romans finalistes sont des romans d'horreur. Anita, le premier tome de la série d'horreur Cobayes. Le très gore Escalana, troisième volume de la série Les villages assoupis. Le dernier tome de la série Malphas, Grande Liquidation, qui outrepasse amplement les limites du bon goût! Et finalement Jardin de chair, l'histoire intimiste d'une pauvre cannibale solitaire. Si vous cherchiez quel roman d'horreur lire, voilà quatre excellentes suggestions.
La liste complète des finalistes peut être consultée ici. Les prix seront remis au Congrès Boréal.

La liste complète des finalistes peut être consultée ici. Les prix seront remis au Congrès Boréal.
Published on April 23, 2015 18:31
April 13, 2015
Les nominations pour le prix Boréal/Aurora 2015
Le prix Boréal/Aurora récompense les oeuvres francophones canadiennes dans les genres de l'imaginaire: la science-fiction et le fantastique. Il reste une semaine pour nommer vos oeuvres préférées. Il y a une liste d'éligibilité assez détaillée disponible sur le site du Congrès Boréal. Le bulletin de nomination est ici.
Si vous avez aimé Jardin de chair, c'est le temps de l'exprimer, car vous pouvez le nommer dans la catégorie "Meilleur roman". Si sa couverture vous a plu, vous pouvez nommer l'excellent travail de François-Pierre Bernier dans la catégorie "Création artistique visuelle et audiovisuelle (Prix Boréal)."
Je ne me prononcerai pas trop dans les catégories "Meilleur roman" et "Meilleure nouvelle", mais j'ose proposer un vote pour la catégorie "Meilleur poème/chanson", soit Jardin mécanique avec l'album La sinistre histoire du Théâtre Tintamarre, épisode 2, en particulier "La fabrication du consentement". J'ai une idée! J'ai une idée! Aussi, dans la catégorie "Meilleure bande dessinée", je crois que Far Out de Olivier Carpentier et Gauthier Langevin mérite votre soutien. Finalement, dans la catégorie "Meilleurs ouvrages connexes", il ne faudrait pas passer sous silence les collectifs 6, chalet des Brumes et Dix ans d'éternité, de même que le recueil Variations endogènes de Karoline Georges.
Mais peu importe qui vous choisirez, l'important c'est de faire entendre votre voix!
Si vous avez aimé Jardin de chair, c'est le temps de l'exprimer, car vous pouvez le nommer dans la catégorie "Meilleur roman". Si sa couverture vous a plu, vous pouvez nommer l'excellent travail de François-Pierre Bernier dans la catégorie "Création artistique visuelle et audiovisuelle (Prix Boréal)."
Je ne me prononcerai pas trop dans les catégories "Meilleur roman" et "Meilleure nouvelle", mais j'ose proposer un vote pour la catégorie "Meilleur poème/chanson", soit Jardin mécanique avec l'album La sinistre histoire du Théâtre Tintamarre, épisode 2, en particulier "La fabrication du consentement". J'ai une idée! J'ai une idée! Aussi, dans la catégorie "Meilleure bande dessinée", je crois que Far Out de Olivier Carpentier et Gauthier Langevin mérite votre soutien. Finalement, dans la catégorie "Meilleurs ouvrages connexes", il ne faudrait pas passer sous silence les collectifs 6, chalet des Brumes et Dix ans d'éternité, de même que le recueil Variations endogènes de Karoline Georges.
Mais peu importe qui vous choisirez, l'important c'est de faire entendre votre voix!
Published on April 13, 2015 17:55