Le Sixième sommeil Quotes

“Ton inconscient reconnait au premier coup d’oeil les gens qui t’apportent de l’énergie et ceux qui t’en prennent.”
― Bernard Werber, Le Sixième sommeil

“Celui qui n’a pas voulu quand il le pouvait.. ne pourra pas quand il le voudra.”
― Bernard Werber, Le Sixième sommeil

“Tu vois, dit-elle, la constance n’est pas une déchéance, cela signifie juste qu’on a trouvé l’endroit où l’on est bien, la personne avec laquelle on est bien, et une activité où l’on se réalise. Dès lors, pourquoi bouger ?”
― Bernard Werber, Le Sixième sommeil

“Tu te rappelles l’adage, « Ah ! si jeunesse savait. Ah ! si vieillesse pouvait » ? – C’est un proverbe ancien. Maintenant, grâce à Internet, la jeunesse « sait », et grâce à l’argent la vieillesse « peut ». – Je ne te parle pas de matérialité, je te parle de sentiments, de prise de conscience, d’émotions. Cela, ni l’argent ni la santé ne peuvent le garantir.”
― Bernard Werber, Le Sixième sommeil

“La différence entre le rêve et le réel ne tient parfois qu’à un rayon de soleil.”
― Bernard Werber, Le Sixième sommeil

“Ce que l’imaginaire fabrique devient réel”
― Bernard Werber, Le Sixième sommeil

“C’est peut-être cela la grande aventure moderne : l’acceptation de cette idée. « Croire, c’est faire exister. » C’est pourquoi je t’ai toujours enseigné qu’il ne faut pas utiliser sa capacité de croyance pour n’importe quoi.”
― Bernard Werber, Le Sixième sommeil

“Et tes ennemis sont souvent de très bons professeurs.”
― Bernard Werber, Le Sixième sommeil

“Selon Stewart, cette société des Senoïs est totalement exempte de toute forme d’angoisse, de dépression, d’agressivité ou de pulsions suicidaires. Toutes ces tendances sont parfaitement régulées par un sommeil volontairement dompté.”
― Bernard Werber, Le Sixième sommeil

“L’avenir serait écrit dans les lignes de la main ? Nous porterions notre « roman personnel » sur ces traits qui s’entremêlent ? Cela pourrait être aussi simple ? Mais alors, où sont nos choix ? Elle prit le couteau le plus aiguisé. – Regarde, il suffit que je fasse ça. Elle se coupa et la ligne qu’elle avait désignée comme étant la ligne de vie se mit à saigner. – Qu’est-ce que tu fais, maman ! – J’utilise mon libre arbitre pour modifier moi-même ma vie. Voilà, s’il y a un roman de ma propre vie inscrit quelque part et relié à mes lignes de la main, je viens d’en modifier un passage. Elle laissa couler le sang de la plaie, consciente que cette blessure était le prix à payer pour qu’il comprenne une leçon importante : le libre arbitre surpasse tout.”
― Bernard Werber, Le Sixième sommeil