The Burning Souls Quotes
The Burning Souls
by
Leon Degrelle282 ratings, 4.44 average rating, 37 reviews
The Burning Souls Quotes
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“We can gather all the Conferences of the world, gather by herds Heads of State, economic experts and champions of all techniques. They will weigh. They will decree.
But, basically, they will fail because they will miss the point.
The disease of the century is not in the body.
The body is sick because the soul is sick.
It was she who needed to be healed and revitalized.
The real, the big revolution to do is there.
Spiritual revolution
Or bankruptcy of the century.
The salvation of the world is in the will of the souls who believe.”
― Almas ardiendo: notas de paz, de guerra y de exilio
But, basically, they will fail because they will miss the point.
The disease of the century is not in the body.
The body is sick because the soul is sick.
It was she who needed to be healed and revitalized.
The real, the big revolution to do is there.
Spiritual revolution
Or bankruptcy of the century.
The salvation of the world is in the will of the souls who believe.”
― Almas ardiendo: notas de paz, de guerra y de exilio
“Il est doux de rêver à un idéal et de le bâtir dans sa pensée.
Mais c’est encore, à dire le vrai, fort peu de chose.
Qu’est-ce qu’un idéal qui n’est qu’un jeu, ou mettons même un rêve très pur ?
Il faut le bâtir, après cela, dans l’existence.”
― Almas ardiendo: notas de paz, de guerra y de exilio
Mais c’est encore, à dire le vrai, fort peu de chose.
Qu’est-ce qu’un idéal qui n’est qu’un jeu, ou mettons même un rêve très pur ?
Il faut le bâtir, après cela, dans l’existence.”
― Almas ardiendo: notas de paz, de guerra y de exilio
“L’agonie de notre temps gît là.
Le siècle ne s’effondre pas faute de soutien matériel. Jamais l’univers ne fut si riche, comblé de tant de confort, aidé par une industrialisation à ce point productrice.
Jamais il n’y eut tant de ressources ni de biens offerts.
C’est le cœur de l’homme, et lui seul, qui est en état de faillite.
C’est faute d’aimer, c’est faute de croire et de se donner, que le monde s’accable lui-même des coups qui l’assassinent.
Le siècle a voulu n’être plus que le siècle des appétits. Son orgueil l’a perdu. Il a cru aux machines, aux stocks, aux lingots, sur lesquels il régnerait en maître. Il a cru, tout autant, à la victoire des passions charnelles projetées au delà de toutes les limites, à la libération des formes les plus diverses des jouissances, sans cesse multipliées, toujours plus avilies et plus avilissantes, dotées d’une « technique » qui n’est, en somme, généralement, qu’une accumulation, sans grande imagination, d’assez pauvres vices, d’êtres vidés.”
― Almas ardiendo: notas de paz, de guerra y de exilio
Le siècle ne s’effondre pas faute de soutien matériel. Jamais l’univers ne fut si riche, comblé de tant de confort, aidé par une industrialisation à ce point productrice.
Jamais il n’y eut tant de ressources ni de biens offerts.
C’est le cœur de l’homme, et lui seul, qui est en état de faillite.
C’est faute d’aimer, c’est faute de croire et de se donner, que le monde s’accable lui-même des coups qui l’assassinent.
Le siècle a voulu n’être plus que le siècle des appétits. Son orgueil l’a perdu. Il a cru aux machines, aux stocks, aux lingots, sur lesquels il régnerait en maître. Il a cru, tout autant, à la victoire des passions charnelles projetées au delà de toutes les limites, à la libération des formes les plus diverses des jouissances, sans cesse multipliées, toujours plus avilies et plus avilissantes, dotées d’une « technique » qui n’est, en somme, généralement, qu’une accumulation, sans grande imagination, d’assez pauvres vices, d’êtres vidés.”
― Almas ardiendo: notas de paz, de guerra y de exilio
