Symbols of Sacred Science Quotes
Symbols of Sacred Science
by
René Guénon369 ratings, 4.28 average rating, 18 reviews
Symbols of Sacred Science Quotes
Showing 1-7 of 7
“Let us add that nature is given its full significance only if it is looked at as offering us a means of rising up to the knowledge of divine truths, which is precisely the essential function which we have recognized in symbolism.”
― Symbols of Sacred Science
― Symbols of Sacred Science
“Creation is the work of the Word; it is also, and by this very fact, His manifestation, his outward affirmation; and this is why the world is like a divine language, for those who know how to understand it: Caeli enarrant gloriam Dei (The heavens declare the glory of God, Ps. XIX:2)”
― Symbols of Sacred Science
― Symbols of Sacred Science
“Is not the heart of man indeed the vase in which his life is continuously maintained by means of his blood?”
― Symbols of Sacred Science
― Symbols of Sacred Science
“All that exists, in whatever mode this may be, necessarily participates in universal principles, and nothing exists except by participation in these principles, which are the eternal and immutable essences contained in the permanent actuality of the Divine Intellect. Consequently, it can be said that all things, however contingent they may be in themselves, express or represent these principles in their own way and according to their order of existence, for otherwise they would be purely and simply nothingness.
Thus, from one order to another, all things are linked together and correspond, to come together in total and universal harmony, for harmony is nothing other than the reflection of principal unity in the manifested world; and it is this correspondence which is the veritable basis of symbolism.”
― Symbols of Sacred Science
Thus, from one order to another, all things are linked together and correspond, to come together in total and universal harmony, for harmony is nothing other than the reflection of principal unity in the manifested world; and it is this correspondence which is the veritable basis of symbolism.”
― Symbols of Sacred Science
“Le triangle droit se rapporte proprement au Principe ; mais, quand il est inversé par reflet dans la manifestation, le regard de l’œil qu’il contient apparaît en quelque sorte comme dirigé « vers le bas », c’est-à-dire du Principe vers la manifestation elle-même, et, outre son sens général d’« omniprésence », il prend alors plus nettement la signification spéciale de « Providence ». D’autre part, si ce reflet est envisagé plus particulièrement dans l’être humain, on doit noter que la forme du triangle inversé n’est autre que le schéma géométrique du cœur* [*En arabe, le cœur est qalb, et « inversé » se dit maqlûb, mot qui est un dérivé de la même racine. ] ; l’œil qui est en son centre est alors proprement l’« œil du cœur » (aynul-qalb de l’ésotérisme islamique), avec toutes les significations qui y sont impliquées. De plus, il convient d’ajouter que c’est par là que, suivant une autre expression connue, le cœur est « ouvert » (el-qalbul-maftûh) ; cette ouverture, œil ou iod, peut être figurée symboliquement comme une « blessure ».
LXXII : L’Œil qui voit tout”
― Symbols of Sacred Science
LXXII : L’Œil qui voit tout”
― Symbols of Sacred Science
“On a coutume, dans le monde occidental, de considérer l’islamisme comme une tradition essentiellement guerrière et, par suite, lorsqu’il y est question notamment du sabre ou de l’épée (es-sayf), de prendre ce mot uniquement dans son sens le plus littéral, sans même penser jamais à se demander s’il n’y a pas là en réalité quelque chose d’autre. Il n’est d’ailleurs pas contestable qu’un certain côté guerrier existe dans l’islamisme, et aussi que, loin de constituer un caractère particulier à celui-ci, il se retrouve tout aussi bien dans la plupart des autres traditions, y compris le christianisme. Sans même rappeler que le Christ lui-même a dit : « Je ne suis pas venu apporter la paix, mais l’épée », ce qui peut en somme s’entendre figurativement, l’histoire de la Chrétienté au moyen âge, c’est-à-dire à l’époque où elle eut sa réalisation effective dans les institutions sociales, en fournit des preuves largement suffisantes ; et, d’autre part, la tradition hindoue elle-même, qui certes ne saurait passer pour spécialement guerrière, puisqu’on tend plutôt en général à lui reprocher de n’accorder que peu de place à l’action, contient pourtant aussi cet aspect, comme on peut s’en rendre compte en lisant la Bhagavadgîtâ.
À moins d’être aveuglé par certains préjugés, il est facile de comprendre qu’il en soit ainsi, car dans le domaine social, la guerre, en tant qu’elle est dirigée contre ceux qui troublent l’ordre et qu’elle a pour but de les y ramener, constitue une fonction légitime, qui n’est au fond qu’un des aspects de la fonction de « justice » entendue dans son acception la plus générale. Cependant, ce n’est là que le côté le plus extérieur des choses, donc le moins essentiel : au point de vue traditionnel, ce qui donne à la guerre ainsi comprise toute sa valeur, c’est qu’elle symbolise la lutte que l’homme doit mener contre les ennemis qu’il porte en lui-même, c’est-à-dire contre tous les éléments qui, en lui, sont contraires à l’ordre et à l’unité. Dans les deux cas, du reste, et qu’il s’agisse de l’ordre extérieur et social ou de l’ordre intérieur et spirituel, la guerre doit toujours tendre également à établir l’équilibre et l’harmonie (et c’est pourquoi elle se rapporte proprement à la « justice »), et à unifier par là d’une certaine façon la multiplicité des éléments en opposition entre eux. Cela revient à dire que son aboutissement normal, et qui est en définitive son unique raison d’être, c’est la paix (es-salâm), laquelle ne peut être obtenue véritablement que par la soumission à la volonté divine (el-islâm), mettant chacun des éléments à sa place pour les faire tous concourir à la réalisation consciente d’un même plan ; et il est à peine besoin de faire remarquer combien, dans la langue arabe, ces deux termes, el-islâm et es-salâm, sont étroitement apparentés l’un à l’autre.”
― Symbols of Sacred Science
À moins d’être aveuglé par certains préjugés, il est facile de comprendre qu’il en soit ainsi, car dans le domaine social, la guerre, en tant qu’elle est dirigée contre ceux qui troublent l’ordre et qu’elle a pour but de les y ramener, constitue une fonction légitime, qui n’est au fond qu’un des aspects de la fonction de « justice » entendue dans son acception la plus générale. Cependant, ce n’est là que le côté le plus extérieur des choses, donc le moins essentiel : au point de vue traditionnel, ce qui donne à la guerre ainsi comprise toute sa valeur, c’est qu’elle symbolise la lutte que l’homme doit mener contre les ennemis qu’il porte en lui-même, c’est-à-dire contre tous les éléments qui, en lui, sont contraires à l’ordre et à l’unité. Dans les deux cas, du reste, et qu’il s’agisse de l’ordre extérieur et social ou de l’ordre intérieur et spirituel, la guerre doit toujours tendre également à établir l’équilibre et l’harmonie (et c’est pourquoi elle se rapporte proprement à la « justice »), et à unifier par là d’une certaine façon la multiplicité des éléments en opposition entre eux. Cela revient à dire que son aboutissement normal, et qui est en définitive son unique raison d’être, c’est la paix (es-salâm), laquelle ne peut être obtenue véritablement que par la soumission à la volonté divine (el-islâm), mettant chacun des éléments à sa place pour les faire tous concourir à la réalisation consciente d’un même plan ; et il est à peine besoin de faire remarquer combien, dans la langue arabe, ces deux termes, el-islâm et es-salâm, sont étroitement apparentés l’un à l’autre.”
― Symbols of Sacred Science
“[...] dans la tradition islamique, la disposition quadrilatérale de la maison (qui normalement devrait être entièrement fermée au-dehors, toutes les fenêtres s’ouvrant sur la cour intérieure) est en rapport avec la limitation du nombre des épouses à quatre au maximum, chacune d’elles ayant alors pour son domaine propre un des côtés du quadrilatère.
(XXXIX - Le symbolisme du dôme)”
― Symbols of Sacred Science
(XXXIX - Le symbolisme du dôme)”
― Symbols of Sacred Science
