Persepolis 1 Quotes

“L'Occident a vendu des armes aux deux camps et nous, nous avons été assez bêtes pour rentrer dans ce jeu cynique...huit ans de guerre pour rien! Alors maintenant l'état donne des noms de martyrs aux rues pour flatter les familles des victimes. Ills trouvent peut-être ainsi un sens à toute cette absurdité.”
― Marjane Satrapi, Persepolis 1

“La libertà ha sempre un prezzo.”
― Marjane Satrapi, Persepolis 1

“Et puis j'étais contrariée par tous ces actes sexuels publics. Que voulez-vous, je venais d'un pays traditionnaliste.”
― Marjane Satrapi, Persepolis 1

“Si certains lieux publics avaient survécu aux répressions du régime, soit c'était pour nous laisser un espace de liberté, soit c'était de l'ignorance.”
― Marjane Satrapi, Persepolis 1

“On ne peut s'apitoyer sur soi que quand nos malheurs sont encore soutenables...une fois cette limite franchie, le seul moyen de supporter l'insupportable, c'est d'en rire.”
― Marjane Satrapi, Persepolis 1

“On se calme comme on peut.”
― Marjane Satrapi, Persepolis 1

“J'ai enfin compris pourquoi j'avais honte de m'asseoir dans la Cadillac de mon père! La raison de ma honte et de la révolution est la même: la différence de classe sociale. Mais j'y pense...on a une bonne à la maison!!”
― Marjane Satrapi, Persepolis 1

“Le régime avait compris qu'une personne qui sortait de chez elle en se demandant: est-ce que mon pantalon est assez long? est-ce que mon foulard est à sa place? est-ce que mon maquillage se voir? est-ce qu'ils vont me fouetter? ne se demandait plus: où est ma liberté de pensée? où est ma liberté de parole? ma vie, est-elle vivable? que se passe-t-il dans les prisons politiques?”
― Marjane Satrapi, Persepolis 1

“Si je n'étais pas intégré à moi-même, je ne pourrais jamais m'intégrer.”
― Marjane Satrapi, Persepolis 1

“The key to paradise was for poor people. Thousands of young kids, promised a better life, exploded on the minefields with their keys around their necks”
― Marjane Satrapi, Persepolis 1

“One can forgive but one should never forget”
― Marjane Satrapi, Persepolis 1