La naissance d’une mère Quotes
La naissance d’une mère
by
Mélanie Boulay881 ratings, 4.43 average rating, 136 reviews
Open Preview
La naissance d’une mère Quotes
Showing 1-8 of 8
“Être parent, c’est remettre le destin — ou le sort, la destinée… — de ce qu’on a de plus précieux au monde entre les mains de cette conne de vie qui n’a aucun plan, aucune raison d’agir comme elle le fait, aucun sens de la justice, puis fermer les yeux, croiser les doigts, et espérer fort que la terre continuera de tourner.”
― La naissance d’une mère
― La naissance d’une mère
“Je ressens une grande injustice, comme l’impression de faire partie d’une génération oubliée, sacrifiée, à qui on a donné si peu, mais que l’on somme de régler le sort de l’humanité au complet.”
― La naissance d’une mère
― La naissance d’une mère
“En naviguant d’un extrême à l’autre, je réalise que l’un ne pourrait exister sans l’autre. Qu’il faut aimer d’un amour fou pour avoir aussi peur pour quelqu’un. Que je suis en quelque sorte condamnée à cette danse infinie entre l’angoisse et l’enivrement, mais que pour vivre d’aussi gros hauts, il faut accepter les bas qui viennent avec, et que je ne dirais non à rien de tout ça.”
― La naissance d’une mère
― La naissance d’une mère
“Parce que, dans mon cas, c’est aussi ça, la maternité. Des émotions négatives qui côtoient chaque jour, presque main dans la main, l’amour pur, l’émerveillement et le bonheur.”
― La naissance d’une mère
― La naissance d’une mère
“Et si la réponse n’était simplement pas la même pour tout le monde ? Pourquoi sommes-nous incapables de rester solides dans nos choix sans profiter de chaque occasion pour attaquer ou diminuer ceux des autres ?”
― La naissance d’une mère
― La naissance d’une mère
“Je pense à ce que mon bébé doit ressentir, à ce que mon corps lui communique malgré moi, et à ce que peut bien goûter la tristesse et l’angoisse dans le lait d’une maman.”
― La naissance d’une mère
― La naissance d’une mère
“Je finis par oublier la personne que j’étais avant que les hormones me transforment en monstre. Voici la nouvelle moi, une personne détestable, imbuvable, invivable. Je ne serai jamais une bonne mère.”
― La naissance d’une mère
― La naissance d’une mère
“Les nausées. Je les avais tellement intégrées comme un symptôme courant et banal de la grossesse que j’y pensais à peine. Dans ma tête, elles étaient inoffensives, limite coquines, à la rigueur tannantes. Jusqu’à ce que je les vive. On entend souvent : « La grossesse a super bien été, à part les nausées du premier trimestre. » La réalité, c’est que je suis un lendemain de veille perpétuel. Un bateau qui tangue jour et nuit. J’ai la tête dans le cul, et le mal-être fait maintenant partie de moi. Je déteste tout : les odeurs, les sons, mes plats préférés, les couleurs, les gens. Je ne pourrai plus jamais boire un café sans avoir l’impression de manger un cendrier.”
― La naissance d’une mère
― La naissance d’une mère
