Eros and the Mysteries of Love Quotes

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Eros and the Mysteries of Love: The Metaphysics of Sex Eros and the Mysteries of Love: The Metaphysics of Sex by Julius Evola
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“We cannot ask ourselves whether ‘woman’ is superior or inferior to ‘man’ any more than we can ask ourselves whether water is superior or inferior to fire. There can be no doubt that a woman who is perfectly woman is superior to a man who is imperfectly man, just as a farmer who is faithful to his land and performs his work perfectly is superior to a king who cannot do his own work.”
Julius Evola, Eros and the Mysteries of Love: The Metaphysics of Sex
tags: women
“Weininger observed that nothing is more baffling for a man than a woman’s response when caught in a lie. When asked why she is lying, she is unable to understand the question, acts astonished, bursts out crying, or seeks to pacify him by smiling . She cannot understand the ethical and transcendental side of lying or the fact that a lie represents damage to being and, as was acknowledged in ancient Iran, constitutes a crime even worse than killing. It is nonsense to deduce this trait in women from sociological factors; some people say that a lie is the “natural weapon” of the woman and therefore used in her defense for hundreds of years. The truth, pure and simple, is that woman is prone to lie and to disguise her true self even when she has no need to do so; this is not a social trait acquired in the struggle for existence, but something linked to her deepest and most genuine nature. Just as the absolute woman does not truly feel that lying is wrong, so in her, contrary to man, lying is not wrong, nor is it an inner yielding or a breaking of her own existential law. It is a possible counterpart of her plastic and fluid
nature. A type such as D’Aurevilly described is perfectly understandable: “She made a habit of lying to the point where it became truth; it was so simple and natural, without any effort or alleviation." Ii is foolish to judge woman with the values of the absolute man even in cases where, by doing violence to her own self, she makes a show of following those values and even sincerely believes that she is following them.”
Julius Evola, Eros and the Mysteries of Love: The Metaphysics of Sex
“L. T. Woodward has also rightly brought to light a form of psychological sadism in those women of today who "make a great show of their bodies but apply a symbolic placard bearing the words 'Do not touch. "* Sexual tormentresses of this kind are found everywhere: in the girl who wears a minute bikini, the married woman with a provocatively low neckline, the young woman who walks along the street wiggling her hips in very tight pants or in a miniskirt that leaves more than half of her thighs exposed and who wants to be looked at but not touched — all of these types are capable of showing anger.”
Julius Evola, Eros and the Mysteries of Love: The Metaphysics of Sex
“De fait, la relation entre l’amour et la nuit n’est pas seulement un thème bien connu de la poésie romantique. Elle a aussi un soubassement existentiel diversement attesté. Universellement, c’est surtout la nuit qu’hommes et femmes s’unissent sexuellement. Même lorsqu’il s’agit d'une simple aventure, la formule typique et la promesse seront toujours une « nuit d'amour » — dans ce contexte une « matinée d’amour » ferait l'effet d une fausse note.

[...] Et si souvent les femmes — certaines femmes — désirent encore maintenant cette condition, c’est parce qu’agit en elles, plus que la pudeur, un lointain reflet instinctif du phénomène servant de fondement aux dispositions ou usages rituels dont on a parlé et leur conférant une signification qui n’a rien de saugrenu. Hathor, déesse égyptienne de l’amour, eut aussi le nom de «Maîtresse de la Nuit», et l’on peut peut-être saisir un lointain écho de tout cela dans ce vers de Baudelaire : «Tu charmes comme le soir — Nymphe ténébreuse et chaude».”
Julius Evola, Eros and the Mysteries of Love: The Metaphysics of Sex
“L.T Woodward a raison de voir une forme de sadisme psychologique chez les femmes d'aujourd’hui qui "mettent leur corps bien en vue, mais en y ajoutant l'inscription symbolique "interdit de toucher". On trouve partout des adeptes de cette forme de tourment sexuel : la fille qui se présente en bikini réduit au minimum, la dame au décolleté provocant, la gamine qui ondule dans la rue les fesses moulées par un pantalon très collant ou avec une "minijupe" qui laisse voir plus de la moitié des cuisses, désirant être regardée mais non touchée, et toutes prêtes à s'indigner.”
Julius Evola, Eros and the Mysteries of Love: The Metaphysics of Sex
“Les Tantras, dans cette optique, estiment que le lien du secret, qui s’imposait autrefois pour les doctrines et les pratiques de la « Voie de la Main Gauche » à cause de leur caractère périlleux et de la possibilité d’abus, d’aberrations et de déformations, est périmé.
Le principe fondamental de l’enseignement secret, commun tant aux Tantras hindouistes qu’aux Tantras bouddhiques (ceux-ci définissant essentiellement le Vajrayâna), c’est la nature transformable du poison en remède ou « nectar » ; c’est l’emploi, à des fins de libération, des forces mêmes qui ont conduit ou qui peuvent conduire à la chute et à la perdition. Il est précisément affirmé qu’il faut adopter « le poison comme antidote du poison ». Un autre principe tantrique, c’est que « fruition » et « libération » (ou détachement, renoncement) ne s’excluent pas nécessairement, contrairement à ce que pensent les écoles unilatéralement ascétiques. On se propose comme but de réaliser les deux choses à la fois, donc de pouvoir alimenter la passion et le désir tout en restant libre. Un texte avait précisé qu’il s’agit d’une voie « aussi difficile que le fait de marcher sur le fil de l’épée ou de tenir en bride un tigre ».
(…)
De toute façon, à ceux qui penseraient que le tantrisme offre un commode alibi spirituel pour s’abandonner à ses instincts et à ses sens, il faudrait rappeler que tous ces courants supposent une consécration et une initiation préliminaires, le rattachement à une communauté ou chaîne (kula) d’où tirer une force protectrice, dans tous les cas une ascèse sui generis, une disciple énergique de maîtrise de soi chez celui qui entend se livre aux pratiques dont nous allons parler."
"Métaphysique du sexe", pp. 303-304”
Julius Evola, Eros and the Mysteries of Love: The Metaphysics of Sex
“Not those who busy themselves with speculations, with social or ‘spiritual’ activities, but only those who raise themselves as high as heroic or ascetic experiences, go further into the beyond.”
Julius Evola, Eros and the Mysteries of Love: The Metaphysics of Sex
“Chez les Juifs, on allait même jusqu’à envisager dans certains cas la peine de mort pour celui qui s’unirait charnellement avec une femme ayant ses règles ; pour le zoroastrisme, cela constituait un péché sans rémission. On lit dans le code islamique de Sidi Khebil : « Celui qui pour satisfaire son plaisir touche une femme durant les règles, perd la force et la tranquillité de l’esprit. »”
Julius Evola, Eros and the Mysteries of Love: The Metaphysics of Sex
“Du reste, lorsqu’interviennent dans ce domaine des prétentions scientifiques, «sexologiques», les résultats, en général, font montre d’une incompétence plutôt grotesque : le présupposé pour comprendre une expérience étant, ici comme ailleurs, de s’y être déjà correctement livré soi-même. Havelock Ellis a souligné avec raison que « les femmes qui, très sérieusement et très sincèrement, écrivent des livres sur ces problèmes (sexuels) sont souvent les dernières auxquelles on devrait s’adresser comme individus représentatifs de leur sexe : celles qui en savent le plus long sont celles qui ont écrit le moins ». Nous irons plus loin : celles qui en savent le plus long sont celles qui n’ont rien écrit du tout, et cela, naturellement, vaut aussi, dans une large mesure, pour les hommes.”
Julius Evola, Eros and the Mysteries of Love: The Metaphysics of Sex
“On cite souvent les cas de Henri III et de Henri IV de France, qui auraient été pris d’une passion subite et irrésistible pour des femmes dont üs avaient senti les vêtements intimes ; dans le cas de Henri III, on dit que sa passion, née ainsi, pour Marie de Qèves, à survécu à la mort tragique de celle-d. Cf. R. von Krafft-Ebing, PsychopaOtia Sexualis, Stuttgart '®, p. 25. Lorsque cet auteur doute (p. 18) que des effets de ce genre liés aux centres olfactifs puissent se vérifier « chez des individus normaux », il identifie évidemment les individus normaux à ceux qui ont une sensibilité « subtile » assez réduite. Ploss-Baitels (Op. cil., vol. I, p. 467 sq) font allusion à des croyances populaires selon lesquelles l’odeur du corps (nous dirions : de l’être) d’une personne peut avoir un effet intoxicant sur une autre personne, si celle-ci est de sexe opposé.”
Julius Evola, Eros and the Mysteries of Love: The Metaphysics of Sex
“La fonctionnalité sexuelle de la pudeur féminine, l’absence, en elle, d’un caractère éthique et autonome, sont enfin clairement attestées par le fait, également bien connu, qu’une femme affiche d’autant plus de pudeur que l’attention masculine se porte sur tel ou tel aspect de sa nudité, nudité qui, toutefois, peut être bien plus limitée que celle que la même femme exhibera publiquement, en d’autres circonstances, sans la moindre retenue. De nos jours, par exemple, la femme aura honte de montrer ses jambes revêtues de bas de soie en relevant sa robe, mais se promènera dans une impudique innocence animale, revêtue d’un costume de bain « deux pièces » qui ne couvre que quelques centimètres carrés de son corps. C’est pourquoi l’on a justement souligné qu’on ne doit pas inférer le manque de pudeur de l’absence de vêtements, des formes particulières de pudeur étant attestées dans des populations qui vivent nues ou presque ; inversement, on ne doit pas inférer la présence de la pudeur du port de vêtements, le fait de se vêtir n’étant pas du tout une garantie de la présence d’une vraie pudeur On sait presque trop bien que, souvent, la femme ne se sert des vêtements que pour produire un effet plus excitant, par allusion aux promesses de sa nudité. Montaigne a dit qu’« il y a des choses qu’on cache pour mieux les montrer ».”
Julius Evola, Eros and the Mysteries of Love: The Metaphysics of Sex
“Tout comme sa réserve, sa « modestie » ou son « innocence », la pudeur de la femme n’est qu’un simple ingrédient de sa qualité sexuellement attirante, et l’on peut la ranger parmi les caractères tertiaires de son sexe (cf. § 10). Nous reviendrons du reste sur ce point dans le prochain chapitre. La pudeur masculine, elle, ne présente pas d’aspect ou d’usage « fonctionnel ». Parmi les preuves attestant que la pudeur féminine est un phénomène sexuel, et non éthique, il y a le fait bien connu que la pudeur envers leur propre nudité cesse complètement chez les femmes dès qu’elles se retrouvent entre elles, et donne même lieu au plaisir de l’exhibitionnisme (à moins qu’intervienne quelque complexe d’infériorité, dont la crainte d’avoir un corps moins beau et moins désirable que les autres). La pudeur masculine, au contraire, ne disparaît pas parce que des hommes sont entre eux (on fait ici abstraction de ce qui caractérise des civilisations en voie de « primitivisation », ce qui est le cas de la civilisation contemporaine).”
Julius Evola, Eros and the Mysteries of Love: The Metaphysics of Sex
“Weininger remarque que rien n’est plus déconcertant pour l’homme que le fait de constater, lorsqu’il demande à une femme surprise en train de mentir : « Pourquoi mens-tu ? », que celle-ci ne comprend pas la question, reste étonnée ou cherche à le tranquilliser en souriant, ou bien encore éclate en sanglots. Cela signifie que la femme ne saisit pas l’aspect éthique, transcendantal, du mensonge, ce en quoi il représente une lésion de l’« être » et ce pour quoi il peut constituer, comme le reconnut l’Iran ancien, une faute plus grave encore que le meurtre. Déduire ce trait de la nature féminine de facteurs sociologiques est une sottise : pour certains, le mensonge aurait été l'« arme naturelle » utilisée par le plus faible, donc aussi par la femme, dans une société où elle a été soumise à l’homme pendant des siècles. La vérité, c’est que la femme purement féminine a tendance à mentir et à se présenter pour ce qu’elle n’est pas, même quand cela ne lui sert de rien ; il ne s’agit pas là d’une « deuxième nature » acquise socialement dans la lutte pour l’existence, mais de quelque chose qui est lié à sa nature la plus profonde et la plus typique. De même que la femme absolue ne perçoit pas vraiment le mensonge comme une faute — ainsi pour la femme féminine, contrairement à l’homme, le mensonge n’est pas une faute, n’est pas un fléchissement intérieur, ni un manquement à sa propre loi existentielle. C’est une contrepartie éventuelle de sa plasticité et de sa fluidité. Aussi bien peut-on comprendre parfaitement un type de femme comme celui dont Barbey d’Aurevilly a dit : « Elle pratiquait le mensonge au point d’en faire une vérité, tant elle était simple et naturelle, sans effort et sans affectation ». Il est absurde de juger la femme à l’aune des valeurs de l’homme (de l’homme absolu), même lorsque, faisant violence à elle-même, elle feint de l’imiter et croit même sincèrement l’imiter.”
Julius Evola, Eros and the Mysteries of Love: The Metaphysics of Sex
“Havelock Ellis a souligné avec raison que « les femmes qui, très sérieusement et très sincèrement, écrivent des livres sur ces problèmes (sexuels) sont souvent les dernières auxquelles on devrait s’adresser comme individus représentatifs de leur sexe : celles qui en savent le plus long sont celles qui ont écrit le moins »." Nous irons plus loin : celles qui en savent le plus long sont celles qui n’ont rien écrit du tout, et cela, naturellement, vaut aussi, dans une large mesure, pour les hommes.”
Julius Evola, Eros and the Mysteries of Love: The Metaphysics of Sex
“L.T. Woodward ha anche rilevato giustamente una forma di sadismo psicologico in quelle donne d’oggi che «mettono ben in mostra il proprio corpo ma fornendolo di un simbolico cartello con la scritta “vietato toccare”. Tormentatrici sessuali di questo tipo s’incontrano dovunque: la ragazza che si presenta in bikini ridottissimi, la signora con provocanti scollature, la ragazzina che per la strada cammina ancheggiando in pantaloni aderentissimi o con “minigonne” che lasciano vedere più della metà delle cosce e che desidera essere guardata ma non toccata, e che sono tutte capaci di indignarsi ».”
Julius Evola, Eros and the Mysteries of Love: The Metaphysics of Sex