Notte inquieta Quotes

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Notte inquieta Notte inquieta by Albrecht Goes
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“L'amour, la veille, l'angoisse, la félicité quel signe en restait-il ? Mais les
signes ne disent pas tout, et l'être intime garde son secret”
Albrecht Goes, Jusqu'à l'aube
“En bas, là d'où
je venais, là où j'allais retourner, en bas, là-bas, combien de temps encore
allait durer cette bataille confuse et indécise ? Combien de temps durera
encore le règne des Kartuschke ? Les coupables meurent dans l'innocence ; ceux
qui méditent gardent les yeux ouverts, et se tourmentent jusqu'à l'aube.”
Albrecht Goes, Jusqu'à l'aube
“Et il m'apparaissait soudain que le Mal, ce qui me blessait cruellement,
c'était ce que nous n'étions pas encore capables de comprendre, à quoi nous ne
savions pas faire face. Dans ces conditions, il était sans doute prématuré d'en
parler”
Albrecht Goes, Jusqu'à l'aube
“Notre existence, une existence de primitifs, nous avait
entraînés à comprendre rapidement le peu qu'il y avait encore à comprendre”
Albrecht Goes, Jusqu'à l'aube
“la Wehrmacht
est une institution qui fonctionne correctement ; y compris quand elle vous
fusille.”
Albrecht Goes, Jusqu'à l'aube
“C'était bien
ainsi. J'étais ici pour servir l'Évangile ; ma place était aux côtés du vaincu
de la vie. La vérité de l'Évangile est la folie du monde, son ironie, sa
fureur”
Albrecht Goes, Jusqu'à l'aube
“  D'un
seul coup ils devenaient prévenants. C'est l'aumône avec laquelle nous voulons
effacer notre faute, cette faute qu'est la vie”
Albrecht Goes, Jusqu'à l'aube
“C'est
interdit. Bien sûr que c'est interdit. Il est interdit d'être un homme. Mais
c'est la volonté de qui va mourir. C'est un testament. On en a assez de cette
guerre et de ses prescriptions.”
Albrecht Goes, Jusqu'à l'aube
“La mort est la liberté ; l'éternité est l'engagement.
Partir est la souffrance, arriver est la joie.”
Albrecht Goes, Jusqu'à l'aube
“La mort, cette mort violente, est comme une fièvre qui se glisse par
les crevasses des murs et par les failles des rêves.”
Albrecht Goes, Jusqu'à l'aube
“Le sourire d'un enfant ; une source
vive dans le désert.”
Albrecht Goes, Jusqu'à l'aube
“Il faudra faire comprendre que la guerre, c'est la puanteur des pieds, c'est le pus et l'excrément”
Albrecht Goes, Jusqu'à l'aube
“Cette guerre, cette explosion de haine contre l'esprit, contre la
douce joie de vivre, contre la sérénité, a vraiment fait d'étranges recrues et
s'est plu à de bizarres paradoxes”
Albrecht Goes, Jusqu'à l'aube