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message 2103:
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Iviana (The Sign Painter), The Goddess of indecisiveness
(new)
Vanster wrote: "Me: I posted it on her profile. :/
Holly: >,< Wheeerre'ssss Casparrrrrrrrrr?
Me: ;-; I can feel her anxiety...weird."
Me: Where ya wanna meet up with?
Also I want Myra to say bye to at least somebody.
Holly: >,< Wheeerre'ssss Casparrrrrrrrrr?
Me: ;-; I can feel her anxiety...weird."
Me: Where ya wanna meet up with?
Also I want Myra to say bye to at least somebody.
Me: BAIKAT~
Myra and her brother...? >,< But darn, Kat just left.
Campfire? :3
Myra and her brother...? >,< But darn, Kat just left.
Campfire? :3
message 2108:
by
Iviana (The Sign Painter), The Goddess of indecisiveness
(new)
Whimsicality wrote: "Vanster wrote: "Me: I posted it on her profile. :/
Holly: >,< Wheeerre'ssss Casparrrrrrrrrr?
Me: ;-; I can feel her anxiety...weird."
Me: Where ya wanna meet up with?
Also I want Myra to sa..."
Me: IVAN no.
Do you want someone older to talk to her? Mature wise, that is.
Holly: >,< Wheeerre'ssss Casparrrrrrrrrr?
Me: ;-; I can feel her anxiety...weird."
Me: Where ya wanna meet up with?
Also I want Myra to sa..."
Me: IVAN no.
Do you want someone older to talk to her? Mature wise, that is.
Me: DAMMIT, HOLLY. WHY DO YOU HAVE TO BE SO WANTED?
Holly: o.O Whaaaaaaaa--?
Me: YES, CONFUSION. xD
Holly: o.O Whaaaaaaaa--?
Me: YES, CONFUSION. xD
message 2114:
by
Iviana (The Sign Painter), The Goddess of indecisiveness
(new)
Me: Cullen tried to help save her love life, be he's busy...
ME TOO, IVI.
ME TOO, IVI.
message 2116:
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Iviana (The Sign Painter), The Goddess of indecisiveness
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message 2118:
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Iviana (The Sign Painter), The Goddess of indecisiveness
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Me: Heheheheheheheheheheheh. *spazz* Brb, I have to switch to the Nook~
message 2121:
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Iviana (The Sign Painter), The Goddess of indecisiveness
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message 2124:
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Iviana (The Sign Painter), The Goddess of indecisiveness
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message 2127:
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Iviana (The Sign Painter), The Goddess of indecisiveness
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message 2129:
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Iviana (The Sign Painter), The Goddess of indecisiveness
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message 2131:
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Iviana (The Sign Painter), The Goddess of indecisiveness
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message 2133:
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Iviana (The Sign Painter), The Goddess of indecisiveness
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message 2137:
by
Iviana (The Sign Painter), The Goddess of indecisiveness
(new)
Me: VAN RPAY.
D: I'm sorrie! >_<
Today during math class:
Peter: "Hey Cassidy, can I borrow your calculator."
Me: "Heh? Sure. *gives calculator*"
Peter: "Thanks, luv u."
later
Peter: "What was in that box you gave Mr. Grant (teacher)?"
Me: "Some baking stuffs that I made."
Peter: "Can I have some?"
Me: "noooo.~"
Peter: "Aw, but I love you."
Me: "I know you do, but I'm a b*tch."
Us: XD
D: I'm sorrie! >_<
Today during math class:
Peter: "Hey Cassidy, can I borrow your calculator."
Me: "Heh? Sure. *gives calculator*"
Peter: "Thanks, luv u."
later
Peter: "What was in that box you gave Mr. Grant (teacher)?"
Me: "Some baking stuffs that I made."
Peter: "Can I have some?"
Me: "noooo.~"
Peter: "Aw, but I love you."
Me: "I know you do, but I'm a b*tch."
Us: XD
Me: Oh No! I'm sorry that happened. D:
message 2140:
by
Iviana (The Sign Painter), The Goddess of indecisiveness
(new)
Me: MOOPKAY~
Holly: I can't do it. >.<
Holly: I can't do it. >.<
message 2143:
by
Iviana (The Sign Painter), The Goddess of indecisiveness
(new)
Holly: I hate you!
Me: I hate you, too. :D
Me: I hate you, too. :D
message 2145:
by
Iviana (The Sign Painter), The Goddess of indecisiveness
(new)
Me: LMFAO, Dad: "Time to go to sleep, it's 9." It's 10:33, lol.
message 2148:
by
Iviana (The Sign Painter), The Goddess of indecisiveness
(new)
Whimsicality wrote: "Caspar: o.o What?!
Me: SHE'S A WUSSY WHORE!"
Me: Not you Caspar, she hates me. xD
Me: SHE'S A WUSSY WHORE!"
Me: Not you Caspar, she hates me. xD
Mr: xD
BIETCHES, I BE FINISHED MY FRENCH ESSAY. I'M GOING TO POST IT JUST SO YOU CAN CONGRATULATE ME.
La dissertation critique: L’esprit rebelle chez Aimé Césaire
A travers les personnages de sa pièce Une Tempête, Aimé Césaire démontre que la rébellion contre l’oppression peut se faire et même réussir sans recours a la violence.
Là où il y a de l’esclavage, il y aura la rébellion. Dans la pièce d’Aimé Césaire, « Une Tempête », l'élément de rébellion est clairement montré. Une adaptation de la pièce bien connue du Shakespeare, « Une Tempête » est une version où Prospero est le maitre d'une île colonisée, et Ariel et Caliban sont ses esclaves. La pièce touche sur les thèmes des injustices de la colonisation, ce qui mène à la rébellion et des vues différentes sur la liberté. Comme montré dans la pièce, Aime Césaire démontre que la rébellion contre l’oppression peut se faire et réussir sans la violence. En premier lieu, Ariel authentifie ce fait par collaborer avec Prospero, en espérant que sa soumission gagnera éventuellement sa liberté de son maitre. De plus, la violence utilisé par Caliban, qui essaie de se libérer forcement de Prospero, ne marche pas. En somme, Prospero offre de la liberté à Caliban que Caliban refuse. En conclusion, la rébellion peut marcher sans violence, et la pièce « Une Tempête » par Aimé Césaire est un exemple primordial de cela.
Est-ce que la violence est nécessaire pour la rébellion? Ariel était un esclave de Prospero pendant une longue période de temps. Plutôt que de se battre contre lui, comme Caliban, Ariel se laisse d’être commandé par Prospero, en espérant que sa manière servile va lui donner sa liberté. Il parait que Prospero fait tenter la promesse de la liberté devant Ariel, et attiré par l’appât, Ariel l’obéit. Comme il est prouvé plus tard dans la pièce, il faut beaucoup de patience pour obtenir la liberté de cette façon. Par conséquent, quand Prospero semble d’avoir l’intention de partir de l’ile pour l’Europe avec les nobles, il donne Ariel sa liberté longuement attendue. Malgré la frustration contenue d’Ariel, son but est finalement parvenu : il est libre, afin d’éviter la violence.
«Oncle Tom» est un terme utilisé pour un nègre esclave qui se comporte d'une manière servir à ses maîtres. Caliban compare Ariel à ce personnage, quand Ariel vient de l'avertir des intentions de Prospero.
« A quoi crois-tu donc ? A la lachete ? A la demission ? A la genuflexion ? … » (Caliban, Acte II, Scene I, page 37).
Naturellement, les actions de Caliban sont plus furieuses que celles d'Ariel. Il veut faire la guerre contre Prospero, comme un acte de vengeance. A son avis, Prospero l’a traité injustement (à juste titre), et pour cela il doit être puni: il ne croit pas que la personnalité de Prospero peut être changé. Caliban demande de l’aide même des ivrognes Stephano et Trinculo à se débarrasser de Prospero. Bien qu'ils perdent leur courage après un certain temps, Caliban est encore abouté de détruire Prospero. Cela ne fonctionne pas. Après défier Caliban de l'assassiner, que Caliban ne fait pas, comme il veut une lutte équitable, Prospero lui fait son prisonnier. Par conséquent, la violence n’aide pas du tout la rébellion.
Comme le maître d'Ariel et Caliban, Prospero se révèle d’être un tyran. Il se peut que lui et Caliban se relaient à être soumis les uns aux autres. Prospero semble d’essayer de se débarrasser de la prise mentale que Caliban a sur lui, exactement comme Caliban se bat pour sa liberté. Prospero offre de paix à Caliban, qui le refuse. Prospero initialement veut d’aller à Naples avec les nobles naufragés, mais après le refus de Caliban, il décide de rester sur l’ile et se battre. Césaire se termine la pièce en montrant au lecteur que Prospero a perdu sa magie, et reste terrifié dans sa caverne, entouré de bêtes horrifiantes et sauvages. Effrayé, Il appelle à Caliban. On n’entend rien, sauf que la chanson de la liberté de Caliban. Bien que Caliban lui-même n’a recouru pas à la violence injuste— la méthode de Prospero— il devient le gagnant.
La discrimination est un sujet qui est injuste et qui dévoile les partis plus sombres de la nature humaine. Cependant, ca révèle aussi les partis le plus nobles qui essaie de l’éliminer. Nous devrons lutter devant le chaque jour. Dans "Une Tempête", la colonisation est suivie de la discrimination. Pourtant, l'esprit de la rébellion vit toujours. Comme des esclaves, Caliban et Ariel rebelle chacun dans leurs propres façons, ce qui les amène à des conséquences différentes: la violence semble de ne pas fonctionner, mais la soumission silencieuse d’Ariel aux demandes de Prospero marche après des longues années patients. Il n'y a pas de solution parfaite à l’oppression, mais la violence n'est certainement pas une possibilité.
"Chacun de nous entend son tambour. Tu marches au son du tien. Je marche au son du mien. Je te souhaite du courage, mon frère."
(Ariel, Acte II, Scene I, page 38.)
BIETCHES, I BE FINISHED MY FRENCH ESSAY. I'M GOING TO POST IT JUST SO YOU CAN CONGRATULATE ME.
La dissertation critique: L’esprit rebelle chez Aimé Césaire
A travers les personnages de sa pièce Une Tempête, Aimé Césaire démontre que la rébellion contre l’oppression peut se faire et même réussir sans recours a la violence.
Là où il y a de l’esclavage, il y aura la rébellion. Dans la pièce d’Aimé Césaire, « Une Tempête », l'élément de rébellion est clairement montré. Une adaptation de la pièce bien connue du Shakespeare, « Une Tempête » est une version où Prospero est le maitre d'une île colonisée, et Ariel et Caliban sont ses esclaves. La pièce touche sur les thèmes des injustices de la colonisation, ce qui mène à la rébellion et des vues différentes sur la liberté. Comme montré dans la pièce, Aime Césaire démontre que la rébellion contre l’oppression peut se faire et réussir sans la violence. En premier lieu, Ariel authentifie ce fait par collaborer avec Prospero, en espérant que sa soumission gagnera éventuellement sa liberté de son maitre. De plus, la violence utilisé par Caliban, qui essaie de se libérer forcement de Prospero, ne marche pas. En somme, Prospero offre de la liberté à Caliban que Caliban refuse. En conclusion, la rébellion peut marcher sans violence, et la pièce « Une Tempête » par Aimé Césaire est un exemple primordial de cela.
Est-ce que la violence est nécessaire pour la rébellion? Ariel était un esclave de Prospero pendant une longue période de temps. Plutôt que de se battre contre lui, comme Caliban, Ariel se laisse d’être commandé par Prospero, en espérant que sa manière servile va lui donner sa liberté. Il parait que Prospero fait tenter la promesse de la liberté devant Ariel, et attiré par l’appât, Ariel l’obéit. Comme il est prouvé plus tard dans la pièce, il faut beaucoup de patience pour obtenir la liberté de cette façon. Par conséquent, quand Prospero semble d’avoir l’intention de partir de l’ile pour l’Europe avec les nobles, il donne Ariel sa liberté longuement attendue. Malgré la frustration contenue d’Ariel, son but est finalement parvenu : il est libre, afin d’éviter la violence.
«Oncle Tom» est un terme utilisé pour un nègre esclave qui se comporte d'une manière servir à ses maîtres. Caliban compare Ariel à ce personnage, quand Ariel vient de l'avertir des intentions de Prospero.
« A quoi crois-tu donc ? A la lachete ? A la demission ? A la genuflexion ? … » (Caliban, Acte II, Scene I, page 37).
Naturellement, les actions de Caliban sont plus furieuses que celles d'Ariel. Il veut faire la guerre contre Prospero, comme un acte de vengeance. A son avis, Prospero l’a traité injustement (à juste titre), et pour cela il doit être puni: il ne croit pas que la personnalité de Prospero peut être changé. Caliban demande de l’aide même des ivrognes Stephano et Trinculo à se débarrasser de Prospero. Bien qu'ils perdent leur courage après un certain temps, Caliban est encore abouté de détruire Prospero. Cela ne fonctionne pas. Après défier Caliban de l'assassiner, que Caliban ne fait pas, comme il veut une lutte équitable, Prospero lui fait son prisonnier. Par conséquent, la violence n’aide pas du tout la rébellion.
Comme le maître d'Ariel et Caliban, Prospero se révèle d’être un tyran. Il se peut que lui et Caliban se relaient à être soumis les uns aux autres. Prospero semble d’essayer de se débarrasser de la prise mentale que Caliban a sur lui, exactement comme Caliban se bat pour sa liberté. Prospero offre de paix à Caliban, qui le refuse. Prospero initialement veut d’aller à Naples avec les nobles naufragés, mais après le refus de Caliban, il décide de rester sur l’ile et se battre. Césaire se termine la pièce en montrant au lecteur que Prospero a perdu sa magie, et reste terrifié dans sa caverne, entouré de bêtes horrifiantes et sauvages. Effrayé, Il appelle à Caliban. On n’entend rien, sauf que la chanson de la liberté de Caliban. Bien que Caliban lui-même n’a recouru pas à la violence injuste— la méthode de Prospero— il devient le gagnant.
La discrimination est un sujet qui est injuste et qui dévoile les partis plus sombres de la nature humaine. Cependant, ca révèle aussi les partis le plus nobles qui essaie de l’éliminer. Nous devrons lutter devant le chaque jour. Dans "Une Tempête", la colonisation est suivie de la discrimination. Pourtant, l'esprit de la rébellion vit toujours. Comme des esclaves, Caliban et Ariel rebelle chacun dans leurs propres façons, ce qui les amène à des conséquences différentes: la violence semble de ne pas fonctionner, mais la soumission silencieuse d’Ariel aux demandes de Prospero marche après des longues années patients. Il n'y a pas de solution parfaite à l’oppression, mais la violence n'est certainement pas une possibilité.
"Chacun de nous entend son tambour. Tu marches au son du tien. Je marche au son du mien. Je te souhaite du courage, mon frère."
(Ariel, Acte II, Scene I, page 38.)
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