Après Le Meurtre de Roger Ackroyd, j’avais enchaîné avec Les Sept Cadrans, lui-même une suite d’un autre livre, Le Secret de Chimneys. Il faisait partie de ce que j’appelais les « thrillers légers ». Ceux-ci étaient toujours plus faciles à écrire et ne demandaient pas une intrigue et une composition trop élaborées.