Les lectures d’une trentenaire avertie


Les lectures d’une trentenaire avertie



La difficulté d’un auteur autoédité est de se faire connaître. Chaque auteur a ses astuces, ses trucs pour rendre visible son roman. J’en parlais lors de mon post "écrire et autoéditer un premier roman" : une des possibilités est de proposer aux blogueurs littéraires l’envoi du roman contre une chronique. Mais attention, j’ai pu constater sur les réseaux sociaux que certains auteurs échangent les rôles : c’est bien l’auteur qui propose et le blogueur qui dispose… et non l’inverse. Le blogueur littéraire n’a aucune obligation d'accepter de lire votre livre, ni d’en faire une chronique, ni d’en parler de manière positive. Ce n’est pas à lui d’acheter votre roman, mais à l’auteur de le lui offrir. C’est donc un art à manier avec précaution : il s’agit de proposer la lecture sans l’imposer. Si le blogueur littéraire ne répond pas, rien ne sert de le relancer, c’est qu’il n’est pas intéressé.

Parmi les blogueurs qui acceptent de lire votre prose, certains rédigeront une chronique et d’autres non. Pour un auteur, cela peut être frustrant de ne pas avoir de retour, mais c’est la dure loi de l’autoédition ! Personnellement, je préfère qu’un blogueur littéraire m’oublie et ne rédige pas de chronique, plutôt que d'écrire un article un jour où il est de mauvaise humeur et qu’il se venge sur mes romans !

Il arrive aussi qu’un blogueur mette votre livre de côté et le ressorte un jour... C’est ce qu’il s’est passé avec le blog "Les lectures d’une trentenaire avertie" qui a rédigé un article très sympathique et plein d’humour sur L’élément 119 plusieurs mois après l'avoir reçu.

Je remercie chaleureusement le blog "Les lectures d’une trentenaire" pour sa chronique de L’élément 119. :




Bon, allez, qu'est-ce que vous foutez encore là à me lire? Allez plutôt lire Cara Vitto!!

Les lectures d'une trentenaire avertie

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Published on September 30, 2014 12:18
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