Les rigueurs du printemps se font particulièrement ardues...

Les rigueurs du printemps se font particulièrement ardues au Québec cette année, courage aux sinistrés des inondations. Je vous souhaite une bonne semaine. 
Comme promis, pendant le mois de mai, je vais vous faire découvrir le prologue de ma nouvelle aventure. Évidemment ce n’est pas une version officielle, mais ça donne une bonne idée de l’univers dans laquelle je vous transporte. 
Bonne lecture! Prologue 1 de 3…

La fin du monde.
Cela débuta doucement, la terre surpeuplée avait atteint ses limites. Les premiers signes furent banals et peu inquiétants pour les hauts dirigeants de la planète, ce groupe de politiciens, hommes et femmes, soi-disant hautement qualifiés, élus du peuple, trop axés sur l’argent et la technologie. La bêtise humaine avait bel et bien atteint son paroxysme et la fin du monde débuta…
En 500 ans…
Le climat polaire disparu, les glaciers des pôles avaient complètement fondu, laissant derrière eux un désert de roches, de terres infertiles et d’eau, causant l’extinction de plusieurs espèces animales. La fonte provoqua la disparition de toute ile et ville côtière à l’échelle planétaire. Cela toucha la géographie de la terre entière. L’Australie, l’Angleterre, le Mexique, Cuba et les Antilles, pour n’en nommer que quelques-uns, disparurent complètement de la surface de la Terre. La fonte entraina également la contamination des eaux. Les récifs coralliens de la planète moururent, puis la vie marine diminua de moitié. Les espèces comestibles mourraient à leur tour, trop fragiles pour survivre aux changements et à la pollution. Lacs, rivières et océans furent contaminés par le plastique produit au cours des millénaires passés, par une société de suremballage.