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Tiens, puisqu'on en parle, j'ai bien aimé « le diable amoureux » de Duchazeau et Velhmann.Les ambiance « Vieux Paris », quand c'est réussi, ça a toujours de la gueule.

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Mais aussi « Ta mère la Pute » de Gilles Rochier, qui parle de cité sans faire la morale ou le misérable, ce qui, convenons-en, est assez rare.

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Evidemment, l'on pourra, si on le souhaite et que l'on est un homme (Ou une femme. Ou un épagneul breton) de goût, se munir du dernier Bad Religion, « the Dissent of man ».

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Et puis, pour finir, l'on retrouvera le souffle du mythique « I against I » dans le « Quickness » de Bad Brains.

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