Aude Vidal-Lessard's Blog, page 17
July 19, 2016
In the end, par Demitria Lunetta

In the After, tome 2
ATTENTION :Ceci est le tome 2 d’une série. Il pourrait donc y avoir des spoilers du premier volet dans ma critique. Pour connaître mon avis sur le tome 1, c’est par ici!
Quatrième de couverture :« Voilà trois mois qu'Amy a fui New Hope pour échapper au diabolique docteur Reynolds. Grâce à l'équipement de Gardienne que lui a fourni Kay et à l'émetteur sonique qui éloigne les créatures, elle survit tant bien que mal dans les étendues désertiques du Texas. Jusqu'au jour où une voix lui parvient à travers l'oreillette qui la relie encore à ses anciens camarades : Baby, restée à New Hope, est en danger.
Amy n'a pas le choix. Si elle veut sauver sa sœur d'adoption, il va lui falloir se rendre à Fort Black, là où d'autres survivants se sont rassemblés et vivent selon la loi du plus fort. Dans cette véritable jungle, la jeune fille va tout faire pour retrouver Ken, le frère de Kay, seul capable de l'aider à secourir Baby. Assistée de Jacks, le neveu du dirigeant de Fort Black, la jeune fille finit par en apprendre un peu plus sur l'invasion des Floraes... Une vérité qui s'avère plus cauchemardesque encore qu'elle ne le croyait! »
Mon avis :Le tome 1 de cette duologie s'était révélée un petit coup de cœur pour moi; histoire bien ficelée, personnages attachant et crédible, péripéties nombreuses et palpitantes... Eh bien, cette conclusion à la série poursuit sur la lancée!
En effet, j'ai ici retrouvé Amy, cette héroïne forte qui n'avait pas tardé à me convaincre par son caractère et sa crédibilité, ainsi qu'à gagner ma sympathie. Dans ce deuxième et dernier tome, Amy cherche à fuir New Hope, un refuge aux faux airs de paradis dans le chaos où elle a découvert la vérité au sujet du ''virus'' qui a frappé les Floraes, ces créatures avides de sang et de chair humaine. Dans sa fuite, elle a toutefois été obligée de laisser Baby derrière elle et elle n'aura maintenant de cesse d'essayer de sauver celle qu'elle considère comme une sœur des dangers de New Hope - et des griffes du docteur Reynolds, qui s'est mis en tête d'utiliser Baby comme cobaye pour ses recherches d'un remède.
Dans sa quête, Amy se rend à Fort Black, une ancienne prison transformée en château-fort suite à l'épidémie des Floraes. Là-bas, la loi du plus fort supplante tout le reste et Amy en fera plusieurs les frais. Parmi les brutes et les victimes, notre héroïne aura au moins la chance de faire la rencontre de Jacks.
Oh. Jacks.
Je m'étais plainte du manque de romance dans In the After. In the End rattrape largement ce faux pas. Certes, on ne parle pas ici d'histoire à l'eau de rose - c'est encore et toujours un roman post-apocalyptique et meurtrier, nom de nom! Mais quelle fille ne succomberait pas aux yeux doux et aux bras tatoués de Jacks?
Pas moi.
Le beau ténébreux mis de côté, je ne peux, encore une fois, que salué la technique de l'auteure : son univers, son histoires, ses personnages et ses péripéties sont toujours aussi bien construits. Le tout suit un cour logique et fluide, sans toutefois s'avérer trop prévisible - ce que je reprochais au tome 1. Des détails qui permettent au roman de se tenir sur des bases solides et qui en rendent la lecture des plus agréables.
Finalement, In the End m'aura garder en haleine jusqu'à la toute dernière ligne. On aura répondu à toutes les questions qui auraient pu surgir sur mon chemin au fil de ma lecture, tout en laissant une petite ouverture, de sorte que la conclusion n'ait rien de trop kitsh.
Une duologie post-apocalyptique originale et haletante de la première à la dernière page, que je conseille à tous.
Ma note : 5/5
Merci aux Éditions Lumen pour ce livre!

Published on July 19, 2016 10:11
July 8, 2016
Mini

À gauche, Brave-Bête, première génération. Fidèle ordinateur de votre auteure préférée pendant 5 longues années. Il aura connu des dizaines de personnages et d'aventures toutes plus périlleuses les unes que les autres; certaines mettant en vedette vos héros favoris, tels que Polux et Tara, d'autres des protagonistes que vous ne connaissez pas encore (rendez-vous au mois de novembre pour la parution de Panthera 1 et 2!); et d'autres encore, lui-même! En effet, Brave-Bête aura, au cours de sa longue (?) vie, affronté des batteries déchargées, un virus, plus d'une surchauffe, un roadtrip dans le sud des États-Unis et plusieurs visites chez le réparateur. Il prend maintenant une retraite bien méritée, à l'abri de la poussière et des poils de chat.
À droite, Brave-Bête, seconde génération : Mini. Nouvelle machine portable de votre auteure préférée. Comme pour son prédécesseur avant lui, une foule de péripéties attendent Mini et, avec un peu de chance, des plus excitantes. Pour introduire Mini à sa nouvelle vie, quoi de mieux qu'une séance d'écriture dans le monde post-apocalyptique de H&E1 ? Oui, je me le demande aussi!
Plus de rebondissements avec Mini et votre auteure préférée à venir!
Published on July 08, 2016 13:59
July 3, 2016
Auteur, un métier difficile?
''Tu es auteure, tu dois être riche!''''Ouin, mais t'aimes ça, donc c'est pas comme un vrai travail!''''Moi aussi j'écrirais un livre si j'avais le temps!''
Des phrases que j'entends très souvent. Trop souvent.
Mais qu'est-ce vraiment qu'un auteur? À quoi ressemble le revers de la médaille de celui ou celle qui crée le rêve pour le lecteur, pour le téléspectateur?
En ce dimanche après-midi, voici un article intéressant et ô combien véridique sur ce que c'est vraiment qu'être auteur, en France dans ce cas précis mais également partout ailleurs.
À lire. À partager.
À méditer.
Texte de Stéphanie Aten, lien vers la page et le texte original au bas de l'article.
Écrire à longueur de journée, tranquillement installé chez soi, libre de ses horaires, de son rendement, de ses mouvements. Pas de patron démoralisant ni de collègue envahissant.On travaille pour soi, à son rythme, selon ses envies, et dans la passion...Auteur : le métier idéal !...Détrompez-vous...Être auteur, c'est aussi passer son temps à travailler gratuitement, sans garantie de retour sur investissement. C'est galérer financièrement, et ne bénéficier d'aucune considération, ni d'un point de vue juridique, ni d'un point de vue social.Un auteur, même lorsqu'il est scénariste, n'a aucun statut. Il n'a pas droit aux allocations chômage, en revanche, il cotise. Auprès des "Agessa", qui le ponctionnent sur toutes les sommes touchées, même minimes. Il n'a pas de "congés payés", ni d'assurance maladie avantageuse, ni de "13ème mois". L'auteur n'est protégé par aucune convention collective, et doit se soumettre à ce qu'on tolèrera de lui donner en cas de contrat. Et c'est, le plus souvent, maigre... très, maigre.L'auteur est un être isolé, auquel on demande d'être "professionnel", tout en considérant, dès qu'il s'agit de le payer, qu'il pratique en fait un hobby. Un romancier se doit de "savoir écrire", de maîtriser parfaitement sa langue, de connaître la construction dramatique sur le bout des doigts, et de travailler son talent pour produire des ouvrages dignes de ce nom. Un scénariste se doit d'être à l'aise avec le cahier des charges de l'écriture scénaristique, de travailler vite, de savoir s'adapter, "il s'agit d'un métier", répètent avec sévérité les producteurs.Par contre, quand il s'agit de le payer... de considérer le travail accompli, de lui donner toute sa valeur, non seulement en termes quantitatifs, mais aussi qualitatifs, là, tout à coup... être auteur devient un "hobby"."Après tout, il fait ça parce que ça lui plaît, ce n'est pas une profession à proprement parler"...On me demande souvent pourquoi la création (particulièrement audiovisuelle) est si peu dynamique ou de mauvaise qualité en France.Je pense que la réponse se trouve dans les phrases précédentes.Il est psychologiquement et nerveusement extrême, de travailler dans des conditions financières catastrophiques, une reconnaissance quasi-inexistante, une précarité perpétuelle, et un taux d'échecs épuisant.Car être auteur, c'est aussi accepter de beaucoup travailler sur des écrits, tout en sachant pertinemment que les éditeurs ou les producteurs, 95 fois sur 100, vous diront non, même si votre travail est de qualité. Ce n'est "pas le moment", "pas ce qu'on cherche", "pas la tendance", sont des arguments qu'on vous renvoie en plein visage sans ciller, sans ambages, sans aucune considération pour les semaines de travail fourni en amont, visant à répondre aux demandes d'idées nouvelles et de créativité sans cesse renouvelées. Quand vous allez voir un architecte pour qu'il vous construise une maison, même si, au final, vous ne tombez pas d'accord sur ses propositions, vous le payez pour le travail fourni.Lorsqu'un technicien du cinéma travaille sur un tournage, même si le film ne se fait pas pour X raisons, le technicien sera payé.L'auteur, lui, travaille sans filets, sans garantie, et la plupart du temps, sans être rémunéré.Être auteur, en France, c'est donc vivre dans le paradoxe.Notre culture adore la création, l'imagination, les arts. Elle les encense, les vénère, leur reconnaît tous les mérites, et se targue de briller dans le monde entier. Et pourtant, l'auteur n'a pas d'existence tangible. Il n'a pas de factures à payer, pas d'estomac à remplir, et pas de vie à gérer. Il "ne travaille pas", il s'amuse, des heures durant, pour parvenir au résultat final qui vous enthousiasme tant.Les lecteurs réclament sans cesse de nouveaux livres,les spectateurs de nouveaux films et programmes télévisés,toujours et encore, toujours et encore...Comment pensez-vous que ces œuvres se font pour répondre à vos attentes ?...Les auteurs travaillent. Beaucoup.Mais ne sont pas autorisés à vivre de leurs compétences.Alors oui...être auteur est un métier difficile.Mieux vaut être conscient de cet état de fait avant de se lancer à corps perdu dans un métier qu'on fantasme souvent, sans réellement en connaître les tenants et aboutissants.Être auteur est un sacerdoce, un Everest qu'on gravit en tongs et sans oxygène. Il faut aimer les défis, et à vrai dire... il ne faut même aimer que cela.
Texte original ici.
Des phrases que j'entends très souvent. Trop souvent.
Mais qu'est-ce vraiment qu'un auteur? À quoi ressemble le revers de la médaille de celui ou celle qui crée le rêve pour le lecteur, pour le téléspectateur?
En ce dimanche après-midi, voici un article intéressant et ô combien véridique sur ce que c'est vraiment qu'être auteur, en France dans ce cas précis mais également partout ailleurs.
À lire. À partager.
À méditer.
Texte de Stéphanie Aten, lien vers la page et le texte original au bas de l'article.

Écrire à longueur de journée, tranquillement installé chez soi, libre de ses horaires, de son rendement, de ses mouvements. Pas de patron démoralisant ni de collègue envahissant.On travaille pour soi, à son rythme, selon ses envies, et dans la passion...Auteur : le métier idéal !...Détrompez-vous...Être auteur, c'est aussi passer son temps à travailler gratuitement, sans garantie de retour sur investissement. C'est galérer financièrement, et ne bénéficier d'aucune considération, ni d'un point de vue juridique, ni d'un point de vue social.Un auteur, même lorsqu'il est scénariste, n'a aucun statut. Il n'a pas droit aux allocations chômage, en revanche, il cotise. Auprès des "Agessa", qui le ponctionnent sur toutes les sommes touchées, même minimes. Il n'a pas de "congés payés", ni d'assurance maladie avantageuse, ni de "13ème mois". L'auteur n'est protégé par aucune convention collective, et doit se soumettre à ce qu'on tolèrera de lui donner en cas de contrat. Et c'est, le plus souvent, maigre... très, maigre.L'auteur est un être isolé, auquel on demande d'être "professionnel", tout en considérant, dès qu'il s'agit de le payer, qu'il pratique en fait un hobby. Un romancier se doit de "savoir écrire", de maîtriser parfaitement sa langue, de connaître la construction dramatique sur le bout des doigts, et de travailler son talent pour produire des ouvrages dignes de ce nom. Un scénariste se doit d'être à l'aise avec le cahier des charges de l'écriture scénaristique, de travailler vite, de savoir s'adapter, "il s'agit d'un métier", répètent avec sévérité les producteurs.Par contre, quand il s'agit de le payer... de considérer le travail accompli, de lui donner toute sa valeur, non seulement en termes quantitatifs, mais aussi qualitatifs, là, tout à coup... être auteur devient un "hobby"."Après tout, il fait ça parce que ça lui plaît, ce n'est pas une profession à proprement parler"...On me demande souvent pourquoi la création (particulièrement audiovisuelle) est si peu dynamique ou de mauvaise qualité en France.Je pense que la réponse se trouve dans les phrases précédentes.Il est psychologiquement et nerveusement extrême, de travailler dans des conditions financières catastrophiques, une reconnaissance quasi-inexistante, une précarité perpétuelle, et un taux d'échecs épuisant.Car être auteur, c'est aussi accepter de beaucoup travailler sur des écrits, tout en sachant pertinemment que les éditeurs ou les producteurs, 95 fois sur 100, vous diront non, même si votre travail est de qualité. Ce n'est "pas le moment", "pas ce qu'on cherche", "pas la tendance", sont des arguments qu'on vous renvoie en plein visage sans ciller, sans ambages, sans aucune considération pour les semaines de travail fourni en amont, visant à répondre aux demandes d'idées nouvelles et de créativité sans cesse renouvelées. Quand vous allez voir un architecte pour qu'il vous construise une maison, même si, au final, vous ne tombez pas d'accord sur ses propositions, vous le payez pour le travail fourni.Lorsqu'un technicien du cinéma travaille sur un tournage, même si le film ne se fait pas pour X raisons, le technicien sera payé.L'auteur, lui, travaille sans filets, sans garantie, et la plupart du temps, sans être rémunéré.Être auteur, en France, c'est donc vivre dans le paradoxe.Notre culture adore la création, l'imagination, les arts. Elle les encense, les vénère, leur reconnaît tous les mérites, et se targue de briller dans le monde entier. Et pourtant, l'auteur n'a pas d'existence tangible. Il n'a pas de factures à payer, pas d'estomac à remplir, et pas de vie à gérer. Il "ne travaille pas", il s'amuse, des heures durant, pour parvenir au résultat final qui vous enthousiasme tant.Les lecteurs réclament sans cesse de nouveaux livres,les spectateurs de nouveaux films et programmes télévisés,toujours et encore, toujours et encore...Comment pensez-vous que ces œuvres se font pour répondre à vos attentes ?...Les auteurs travaillent. Beaucoup.Mais ne sont pas autorisés à vivre de leurs compétences.Alors oui...être auteur est un métier difficile.Mieux vaut être conscient de cet état de fait avant de se lancer à corps perdu dans un métier qu'on fantasme souvent, sans réellement en connaître les tenants et aboutissants.Être auteur est un sacerdoce, un Everest qu'on gravit en tongs et sans oxygène. Il faut aimer les défis, et à vrai dire... il ne faut même aimer que cela.
Texte original ici.
Published on July 03, 2016 10:41
June 20, 2016
La dernière étoile, par Rick Yancey

La 5e vague, tome 3
ATTENTION :Ceci est le dernier tome d’une trilogie; ma chronique pourrait donc contenir des spoilers des premiers tomes. Pour connaître mon avis sur le tome 1, La 5evague, c’est ici, et pour le tome 2, La mer infinie, ici.
Quatrième de couverture :« Ils sont parmi nous. Ils sont dans leur vaisseau. Ils sont nulle part. Ils veulent la Terre. Ils veulent qu’elle nous revienne. Ils sont venus nous exterminer. Ils sont venus nous sauver…
Cassie a été trahie. Ringer aussi. Et Zombie. Et Nugget. Et les 7,5 milliards d’humains qui peuplaient notre planète. Trahis d’abord par les Autres, et maintenant par eux-mêmes.
En ces derniers jours, les rares survivants sur Terre se retrouvent confrontés au dilemme ultime : sauver leur peau… ou sauver ce qui les rend humains. »
Mon avis :Je m’étais fait quelques ennemis avec ma critique du tome 1, qui ne m’avait pas charmée à 100%. Eh bien, je continuerai sur cette lancée pour cet ultime tome de la trilogie.
En effet, je m’avoue ambivalente quant à cette lecture… J’avais bien aimé le tome 2 – en fait, je l’avais préféré au tome 1, et j’avais donc plutôt hâte à la conclusion de la série. Cette dernière toutefois, m’aura… non pas laissée sur ma faim, mais ne sera simplement pas parvenue à me convaincre.
La dernière étoileregorge néanmoins d’action, de péripéties et d’émotions; je confesse avoir eu les larmes aux yeux à plusieurs reprises, ce qui améliore grandement mon appréciation du roman, à dire vrai. Les pages se tournent d’elles-mêmes – la plupart du temps – et les heures ont défilé sans trop que je m’en aperçoive. Plusieurs retournements de situation sont également venus raviver mon intérêt au fil des pages, de sorte que je garde une impression globale du livre, et de la série toute entière, plutôt positive.
Cependant, quelque chose n’a pas su m’accrocher dans cette lecture. S’agit-il de l’ambiance très lourde, presque trop lourde, des romans? Ou des personnages, qui m’ont pour certains paru très mécaniques et donc moins sympathiques? Ou de la plume de Yancey, étrangement complexe mais avec cet arrière-goût un peu froid?
Peut-être est-ce l’histoire en elle-même. Car je dois avouer que celle-ci, bien qu’entraînante, m’a par moment un peu perdue… À un moment, je ne savais plus qui étaient ‘les méchants’ et qui étaient ‘les gentils’, et j’avais du mal à distinguer le vrai du faux. Extraterrestres? Humains? Bourreaux? Victimes? Illusions? Mensonges? Cette confusion, qui s’avère parfois un point positif car elle sauve de la prévisibilité, m’a ici trop déroutée et me laisse un désagréable sentiment d’incompréhension, d’autant plus que, la série terminée, je n’aurai aucune autre explication pour m’éclairer…
Néanmoins, cette trilogie en reste une bourrée de suspense et de rebondissements. Certains personnages – Evan – m’auront charmée, d’autres moins. Certains passages m’auront touchée, émue, d’autres m’auront laissée indifférente. Cette conclusion me satisfait-elle à 100% ? Nah. Était-elle malgré tout divertissante? Ouaip. Est-ce que je recommande cette série aux mordus d’histoire de fin du monde et d’adrénaline? Hum.
Ouais.
Ma note : 3.5/5
Merci aux Éditions Robert Laffont pour ce livre!

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Published on June 20, 2016 09:46
June 19, 2016
Habitudes de lecteurs
Je suis auteure (pour ceux qui ne l'avaient pas encore remarqué). Mais, je suis également - et avant tout - lectrice.Je me suis donc adonnée à un petit sondage créé par une des mes bonnes amies, Sophie Vaillancour, amoureuse des livres et créatrice de la boîte d'abonnement littéraire Hibouk (découvrez-en plus à ce sujet ici), qui fait la promotion des auteurs et auteures d'ici. Ce sondage a pour but de mieux connaître vos habitudes de lecteurs, et ainsi de mieux répondre à vos besoins et désirs avec Hibouk, entre autres.Alors voilà : je vous invite à répondre à ses questions (ça ne prend qu'une minute!) et en échange, je vous révèle mes réponses ici, ok?Pour répondre au sondage de Sophie, c'est ici!
Q : Où achetez-vous vos livres?R : Dans une grande chaîne du livre (quoique je commande mes VOA sur Internet ^^)
Q : Lorsque vous allez en librairie, comment formulez-vous votre demande au libraire?R : J'ai lu 'tel livre', j'aimerais quelque chose dans le même genre (ou alors, je sais déjà ce que je cherche; ou encore, le libraire et moi commençons à parler de nos derniers coups de cœur littéraires)
Q : Quels sentiments aimez-vous ressentir quand vous lisez un bon roman?R : Excitation, surprise, attendrissement
Q : Comment vous sentez-vous après avoir lu un roman qui vous a marqué?R : Satisfaite, comblée. Mais je veux la suite!! (s'il n'y en a pas, comme le dernier tome d'une série par exemple, je ressens souvent un petit pincement au cœur)
Q : Qu'est-ce qui vous accroche pour que vous achetiez absolument 'CE' livre?R : La couverture, le résumé, l'auteur, c'est une nouveauté, l'avoir avant les autres, la découverte, on me l'a recommandé (je ne pouvais en cocher plusieurs, et donc, j'ai choisi 'toutes ces réponses', bien que celles étant raturées me concernent moins personnellement)
Q : Êtes-vous du genre à garder les livres que vous acheter?R : Oui, je les collectionne.
Q : Pour vous, qu'est-ce qui bonifierait l'achat d'un livre?R : Une édition spéciale, c'est toujours bien; sinon, une signature aussi c'est chouette!
Et vous, quelles sont vos habitudes de lecteurs?
Q : Où achetez-vous vos livres?R : Dans une grande chaîne du livre (quoique je commande mes VOA sur Internet ^^)
Q : Lorsque vous allez en librairie, comment formulez-vous votre demande au libraire?R : J'ai lu 'tel livre', j'aimerais quelque chose dans le même genre (ou alors, je sais déjà ce que je cherche; ou encore, le libraire et moi commençons à parler de nos derniers coups de cœur littéraires)
Q : Quels sentiments aimez-vous ressentir quand vous lisez un bon roman?R : Excitation, surprise, attendrissement
Q : Comment vous sentez-vous après avoir lu un roman qui vous a marqué?R : Satisfaite, comblée. Mais je veux la suite!! (s'il n'y en a pas, comme le dernier tome d'une série par exemple, je ressens souvent un petit pincement au cœur)
Q : Qu'est-ce qui vous accroche pour que vous achetiez absolument 'CE' livre?R : La couverture, le résumé, l'auteur, c'est une nouveauté, l'avoir avant les autres, la découverte, on me l'a recommandé (je ne pouvais en cocher plusieurs, et donc, j'ai choisi 'toutes ces réponses', bien que celles étant raturées me concernent moins personnellement)
Q : Êtes-vous du genre à garder les livres que vous acheter?R : Oui, je les collectionne.
Q : Pour vous, qu'est-ce qui bonifierait l'achat d'un livre?R : Une édition spéciale, c'est toujours bien; sinon, une signature aussi c'est chouette!
Et vous, quelles sont vos habitudes de lecteurs?
Published on June 19, 2016 10:14
June 6, 2016
Planning été 2016
L'été s'annonce chargé.J'entends, pour moi, qui suis du genre à me prévoir 20 évènements hors de la ville, 20 autres en ville, du boulot, peut-être un ou deux roadtrip, et évidemment 51 projets d'écriture. Certains d'entre vous se reconnaissent peut-être dans cette description? Voilà, vous savez de quoi je parle.
Pour les autres, qui réussissez à mettre votre cerveau en mode ''pause'' ou ''vacance'' (les chanceux), voici un petit aperçu de mon horaire pour les mois de juin à août :
1. Écrire.2. Avancer la rédaction de Polux 7;3. Terminer la rédaction de H&E1;4. Commencer la rédaction de Pan3;5. Déménager;6. Meubler et décorer mon nouvel appart';7. Être au boulot 2-3 jours semaine;8. Profiter des vacances de D. (mon amoureux), pour étoffer ma vie de couple;9. Écrire;10. Écrire;11. Profiter de mes deux semaines de vacances pour respirer et végéter rien qu'un peu;12. Écrire plus; 13. Soumettre H&E1 à différents éditeurs (stress+excitation+joie+oh-my-god);14. Terminer la rédaction de Polux 7, et de ce fait, la série en elle-même (ok, là je rêve);15. M'apercevoir que je n'ai fait que la moitié de ce qui se trouvait à l'horaire.
Et ce n'est pas tout! Car, une fois l'été terminé, ce sont les Salons du Livre qui recommencent! Oui-oui, restez à l'affût, sur le blog ou sur ma page Facebook (ici), pour connaître mes heures de présence!De plus, je vous annonce en primeur que je connais enfin la date de parution des tomes 1 et 2 de Panthera : novembre 2016!
Sur ce, ça suffit pour le blog, j'ai 1 million de choses qui m'attendent, moi! ;)
Pour les autres, qui réussissez à mettre votre cerveau en mode ''pause'' ou ''vacance'' (les chanceux), voici un petit aperçu de mon horaire pour les mois de juin à août :
1. Écrire.2. Avancer la rédaction de Polux 7;3. Terminer la rédaction de H&E1;4. Commencer la rédaction de Pan3;5. Déménager;6. Meubler et décorer mon nouvel appart';7. Être au boulot 2-3 jours semaine;8. Profiter des vacances de D. (mon amoureux), pour étoffer ma vie de couple;9. Écrire;10. Écrire;11. Profiter de mes deux semaines de vacances pour respirer et végéter rien qu'un peu;12. Écrire plus; 13. Soumettre H&E1 à différents éditeurs (stress+excitation+joie+oh-my-god);14. Terminer la rédaction de Polux 7, et de ce fait, la série en elle-même (ok, là je rêve);15. M'apercevoir que je n'ai fait que la moitié de ce qui se trouvait à l'horaire.
Et ce n'est pas tout! Car, une fois l'été terminé, ce sont les Salons du Livre qui recommencent! Oui-oui, restez à l'affût, sur le blog ou sur ma page Facebook (ici), pour connaître mes heures de présence!De plus, je vous annonce en primeur que je connais enfin la date de parution des tomes 1 et 2 de Panthera : novembre 2016!
Sur ce, ça suffit pour le blog, j'ai 1 million de choses qui m'attendent, moi! ;)
Published on June 06, 2016 09:16
June 1, 2016
La couronne, par Kiera Cass

La Sélection, tome 5
ATTENTION : Ceci est le tome 5 d’une série. Des spoilers des premiers volumes pourraient donc se retrouver dans ma chronique. Pour connaître mon avis sur le tome 1 de La Sélection, c’est ici; pour le tome 2, intitulé L’élite, c’est ici; pour le tome 3, L’Élue, ici; et pour le tome 4, L’héritière, ici!
Quatrième de couverture :« Il ne doit en rester qu’un.
Sa mère à l’article de la mort, son père dévasté, il est temps pour la princesse Eadlyn de passer à la vitesse supérieure dans le processus de la Sélection. Encore novice aux jeux de l’amour et du pouvoir, détestée par une partie de l’opinion publique, elle doit pourtant choisir au plus vite son Élite de six prétendants.
Devenir femme, épouse et reine en l’espace de quelques semaines, telle est la lourde tâche qui repose sur les épaules de la princesse. Mais le cœur peut se révéler un précieux allié, pour qui sait l’écouter… »
Mon avis :J'avais bien aimé le tome 4, qui s'était révélé mille fois plus intéressant que les trois premiers tomes de La Sélection réunis! En effet, où America s'avérait une héroïne molle et amourachée, Eadlyn, elle, se montre indépendante et forte. Certes, son tempérament semble au premier abord rude et hautain; la jeune fille avait toutefois connu une belle évolution au fil de L'héritière, et c'est ainsi qu'elle avait su me charmer.
C'est donc avec plaisir que je retrouvais Eadlyn et ses Sélectionnés, dont certains m'étaient vraiment tombés dans l’œil. Comme avec le tome 4, les chapitres sont ici plutôt courts et entraînants, et je n'ai eu aucun mal à me plonger dans ma lecture pour suivre les péripéties d'Eadlyn.
Celles-ci sont d'ailleurs encore une fois plutôt nombreuses, et le lecteur a également droit à plusieurs revirements de situation qui, entre des rendez-vous galants avec les Sélectionnés et les conseils administratifs royaux, viendront pimenter sa lecture. Je dois avouer que cet ultime tome m'a paru comporter un peu moins d'action que le précédent, et un peu plus ''d'eau de rose''; cela ne m'a pas empêché d'arriver à la dernière page sans avoir vu le temps passer!
Finalement, une belle surprise m'attendait au moment du choix d'Eadlyn quant à celui qui allait devenir son mari. Ok, j'avoue que mon cœur penchait pour un autre et que je n'ai pu réprimer un petit pincement de déception; néanmoins, j'ai aimé que la décision d'Eadlyn ne se révèle pas trop prévisible.
En bref, une belle conclusion à la série La Sélection! Ces tomes 4 et 5 qui mettent en vedette Eadlyn sont définitivement mes préférés de la série; une héroïne plus forte, une histoire ô combien moins prévisible, ainsi que des personnages qui valent selon moi le détour!
Ma note : 4/5
Merci aux Éditions Robert Laffont pour ce livre!

Retrouvez la page Facebook de Collection R Canada ici! Et leur nouveau site web ici!
Published on June 01, 2016 10:01
May 23, 2016
Pan2
Panthera, tome 2 :
563 pages.
121 700 mots.
Rédaction débutée en... juillet 2015 si ma mémoire est bonne.
Rédaction achevée le 23 mai 2016, à 22h et des poussières.
Laissez-moi rien qu'une nuit de sommeil pour me faire l'idée.
563 pages.
121 700 mots.
Rédaction débutée en... juillet 2015 si ma mémoire est bonne.
Rédaction achevée le 23 mai 2016, à 22h et des poussières.
Laissez-moi rien qu'une nuit de sommeil pour me faire l'idée.

Published on May 23, 2016 19:37
May 20, 2016
Épilogue
Je pourrais vous dire que ç'a été compliqué. Que j'ai pris un retard fou, qu'entre mes Salons du Livre, mon boulot d'infographiste et mes 51 projets d'écriture, j'ai rushé comme une folle depuis deux mois et demi.Je pourrais vous dire que pendant un temps, j'ai douté d'y arriver. J'ai vraiment, vraiment douté.Et je pourrais vous dire que je ne trouve même pas les mots pour décrire mon excitation, ma joie, mon soulagement et ma fierté d'y être arrivée.
Mais je vais juste poster cette photo, vous laisser imaginer la tempête d'émotions qui fait rage en moi et aller grignoter un morceau avec mon amoureux, parce que je crois que je le mérite.
Bon week-end à vous tous, chers lecteurs et chères lectrices.
Mais je vais juste poster cette photo, vous laisser imaginer la tempête d'émotions qui fait rage en moi et aller grignoter un morceau avec mon amoureux, parce que je crois que je le mérite.

Bon week-end à vous tous, chers lecteurs et chères lectrices.
Published on May 20, 2016 15:21
May 15, 2016
MaxBooking - 100% Québécois
Je ne le dirai jamais assez, il est important d'encourager nos auteurs et auteures d'ici! Mais quand nous connaissons peu de noms québécois hormis ''Robillard'' ou ''Senécal'' (que je vous invite aussi à découvrir si ce n'est pas déjà fait), par où commencer? Eh bien, voici une petite vidéo d'un ami Book-Tuber, MaxBooking, qui vous présente ses achats du Salon du Livre de Québec (avec un peu de retard, certes).
Okay, vous remarquerez un petit parti pris pour AdA, mais après tout le temps qu'il a passé à notre kiosque, c'était inévitable. Je vous invite néanmoins à visionner ses autres vidéos pour découvrir ses coups de cœur littéraires, qui mélange toutes sortes de genres littéraires et tout plein d'éditeurs! ;)Notez, en plus, que Max mentionne votre auteure préférée au tout début de sa vidéo! Oui-oui! ;)
Et n'oubliez pas de vous abonner, de laisser un pouce en l'air et de partager! Nos book-Tuber aussi il faut les soutenir! ;)
Okay, vous remarquerez un petit parti pris pour AdA, mais après tout le temps qu'il a passé à notre kiosque, c'était inévitable. Je vous invite néanmoins à visionner ses autres vidéos pour découvrir ses coups de cœur littéraires, qui mélange toutes sortes de genres littéraires et tout plein d'éditeurs! ;)Notez, en plus, que Max mentionne votre auteure préférée au tout début de sa vidéo! Oui-oui! ;)
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Published on May 15, 2016 13:31