Séverine Vidal's Blog, page 33
April 9, 2014
J'aime mes cauchemars, c'est aujourd'hui !
J'aime mes cauchemarsIllustré par Amélie Graux(Gallimard Giboulées)
Il sort aujourd'hui !
Déjà deux jolies chroniques :celle de La Soupe de l'espace (qui fait rougir) :Là !
et celle sur Pages des libraires :ici !

Ce soir à 18h, je vous rappelle la dédicace / expo à la librairie Libellule et coccinelle (Paris 9ème). On vous y attend avec Amélie !

Published on April 09, 2014 22:36
On n'a rien vu venir à Arras !
Un prix qui vaut le coup d'être vécu, en marge du salon d'expression populaire et de critique sociale (qui aura lieu le 1er mai !), c'est le Prix Ados en colère.
On n'a rien vu venir était en sélection, avec Mauvaise connexion de Jo Witek (la gagnante !), Le coeur n'est pas un genou qu'on peut plier (Sabine Panet), Ma mère à l'Ouest (Eva Kavian), Swing à Berlin (C. Lambert).
Des rencontres, une remise du prix bourrée de surprises préparée par les élèves des collèges voisins.
Voici en images le compte-rendu de notre journée : (car, wééé ! j'y suis allée avec ma sardine préférée).
Après une journée à papoter au soleil, nous voilà parties pour Arras !
Sardine avait pris sa valise et son sourire.
Nous avons rencontré 4 classes.
On tient à remercier vivement, de tout coeur, la classe de 3ème du Collège Diderot de Dainville.
Ils étaient ... drôles, bavards, sympas comme tout, plein d'idées : une belle rencontre où on a finalement bien ri.
Et puis merci à la classe de 3ème du Collège Riaumont de Liévin, leurs tenues de gala (magnifiques et classes !), leur énergie contagieuse, leurs sourires et leurs écrits si fins, si beaux.
Une pensée particulière pour Abigail, qui nous a tous tellement touchés, avec son texte si joliment lu : une autre voix pour notre roman.
Je commence à bien connaître cette équipe (la documentaliste et le professeur de français !), j'y suis allée en février pour les Incos et pour le Prix Gayant !!
Merci pour l'émotion.
Des jeunes en colère comme ça ? J'en demande tous les jours !
Présentation des livres par l'association Lire et Faire lire d'Arras.
Une classe qui avait préparé un petit spectacle "militant" autour d'On n'a rien vu venir !Merci à vous !
Abigail, au centre.
La classe du Collège Riaumont !
d'autres très belles suprises !
(réveillée à 6h33, lu par Léa)
(merci et bravo Morgan !)
Un immense merci aux enseignants et aux documentalistes si impliqués (l'une d'entre eux a présenté On n'a rien vu venir à ses élèves par une sorte de jeu de rôle inventif et malin, histoire de secouer un peu leurs préjugés, bravo à elle !).
Foncez si vous pouvez le 1er mai au salon d'Arras !!Merci à François Annycke et Florence Waultre, et aux autres membres de l'association pour tout ce travail.
On n'a rien vu venir était en sélection, avec Mauvaise connexion de Jo Witek (la gagnante !), Le coeur n'est pas un genou qu'on peut plier (Sabine Panet), Ma mère à l'Ouest (Eva Kavian), Swing à Berlin (C. Lambert).
Des rencontres, une remise du prix bourrée de surprises préparée par les élèves des collèges voisins.
Voici en images le compte-rendu de notre journée : (car, wééé ! j'y suis allée avec ma sardine préférée).

Après une journée à papoter au soleil, nous voilà parties pour Arras !

Sardine avait pris sa valise et son sourire.
Nous avons rencontré 4 classes.
On tient à remercier vivement, de tout coeur, la classe de 3ème du Collège Diderot de Dainville.
Ils étaient ... drôles, bavards, sympas comme tout, plein d'idées : une belle rencontre où on a finalement bien ri.
Et puis merci à la classe de 3ème du Collège Riaumont de Liévin, leurs tenues de gala (magnifiques et classes !), leur énergie contagieuse, leurs sourires et leurs écrits si fins, si beaux.
Une pensée particulière pour Abigail, qui nous a tous tellement touchés, avec son texte si joliment lu : une autre voix pour notre roman.
Je commence à bien connaître cette équipe (la documentaliste et le professeur de français !), j'y suis allée en février pour les Incos et pour le Prix Gayant !!
Merci pour l'émotion.
Des jeunes en colère comme ça ? J'en demande tous les jours !

Présentation des livres par l'association Lire et Faire lire d'Arras.


Une classe qui avait préparé un petit spectacle "militant" autour d'On n'a rien vu venir !Merci à vous !


Abigail, au centre.


La classe du Collège Riaumont !

d'autres très belles suprises !

(réveillée à 6h33, lu par Léa)

(merci et bravo Morgan !)
Un immense merci aux enseignants et aux documentalistes si impliqués (l'une d'entre eux a présenté On n'a rien vu venir à ses élèves par une sorte de jeu de rôle inventif et malin, histoire de secouer un peu leurs préjugés, bravo à elle !).

Foncez si vous pouvez le 1er mai au salon d'Arras !!Merci à François Annycke et Florence Waultre, et aux autres membres de l'association pour tout ce travail.
Published on April 09, 2014 04:48
April 4, 2014
Arpenter le territoire...
Arpenter le territoire de Saint-Quentin-en-Yvelines, je le fais depuis le début du mois de janvier...
J'ai mené (et je mène encore) des ateliers d'écriture un peu partout ... au centre social Pasteur de Guyancourt pour collecter les récits d'adultes non francophones en vue d'une expo à la mairie à l'occasion des 40 ans du quartier, au collège Courbet de Trappes pour le projet, imaginé avec Béatrice Saou avec ses 3ème D : Trappes en 3D et pour la Fête du Conte de St Quentin, en trimballant ma marmite à écrire sur les 7 communes du territoire, pour l'écriture de contes commencés dans une ville, poursuivis dans une autre et finis dans une troisième !
Pour tout ça, j'avais des partenaires de choix : le réseau des médiathèques de St Quentin-en-Yvelines, le Musée de la Ville, la mairie de Trappes, celle de Guyancourt.
Et c'était merveilleux, riche, (crevant), drôle, souvent étonnant/détonnant, presque toujours très émouvant.
Quelques photos prises à l'école André Gide de Magny-les-Hameaux, dans la classe de M. Samson qui a mis le point final au dernier conte : "Les deux mondes" (avec une langue inventée, l'Outloupien !).
Avec Julien, super bibliothécaire !
ça cogite : à partir du texte écrit dans les autres classes, et de nouveaux mots tirés au sort, on imagine la fin de ce conte (très !!) revisité !Deux autres contes écrits dans les classes de St Quentin : "Le royaume enchanté" (avec un "gnoume" créature mi-gnome, mi-gnou !), et "Contes jaloux"(où le sablier n'est pas rempli de sable mais de mini-loups !) seront bientôt illustrés dans d'autres écoles par les élèves de CE1.
Bref, arpenter le territoire, passer de classe en classe, écouter, partager, rire et écrire, c'est le plus beau métier du monde.
Au centre Pasteur, j'ai écouté des gens me parler de leur arrivée en France, voilà le témoignage de W. :
"J’ai fui la guerre en Syrie, au début de l’année 2011, puis je suis repartie là-bas pour finalement revenir en France définitivement en janvier 2012.
Là-bas, j ‘étais médecin, ici, je ne suis rien. J’ai peur de perdre ce que je sais, toutes mes connaissances. J’ai peur qu’elles s’envolent petit à petit et que je ne sache plus rien faire. Ma vie est devenue si compliquée. Si triste. Brusquement.
Quand on nous sommes partis, quand nous avons fui, nous n’avons rien pu emporter. Juste les vêtements que nous avions sur nous. Pas le temps de faire nos valises…
J’aurais voulu prendre avec moi la vaisselle en argent de ma famille, les photos de notre vie en Syrie. J’ai dû laisser mon chat. Mon chat tout blanc aux yeux bleus. Il paraît qu’il attend encore sur le muret du jardin. Il attend sûrement qu’on revienne le chercher. Je pleure à chaque fois que j’y pense. Il n’a personne contre qui se blottir.
Ici, en France, à Guyancourt, dans le quartier où je vis, j’ai trouvé un peu de paix. Je sens cette paix autour de moi.
Nous sommes arrivés sous la neige, en janvier. Une neige épaisse comme je n’en avais jamais vu avant. J’ai mis un second manteau, pour avoir moins froid. Maintenant, je me suis habituée et j’aime l’hiver en France. Il y a des espaces verts partout, des parcs, des jardins, des fleurs. Partout.
Ici, en France, à Guyancourt, dans le quartier où je vis, j’ai retrouvé le sommeil. Même si je n’ai pas de nouvelles régulières de mes parents, même si l’argent est un gros souci, même si j’ai tous ces souvenirs violents en tête : je dors enfin. Parce que je me sens en sécurité ici.
Je rêve d’avoir un endroit pour moi, un endroit pour écrire des poèmes, un endroit pour peindre.Je rêve de rentrer un jour chez moi, en Syrie. Mon fils me dit d’oublier. Mais comment oublier ?
Comment oublier ce pays si beau, où tous vivaient ensemble, musulmans, chrétiens, juifs, comme des voisins, comme des amis. Comment oublier les souffrances de mon peuple ?
J’aurais voulu, dans mes valises, apporter l’air de la Syrie, pour le respirer ici.J’aurais voulu apporter le sable chaud de Syrie, pour y marcher encore.J’aurais voulu apporter les arbres, la terre, les rivières et les oiseaux de Syrie.
Je rêve souvent de ce pays si vivant, qui me manque."
Quartier du Pont du Routoir (Guyancourt) dans les années 70.
Au collège Courbet, les élèves de 3ème ont eux-mêmes collecté des récits de vie, autour d'eux, dans leur famille, ou dans une maison de retraite, comme ce fut le cas ce jour-là, avec Monsieur M. :
"Lorsque je suis né mon père a été mobilisé pour la seconde guerre mondiale. Il n’y avait pas d’hôpital à Trappes et c’est une voisine qui a accouché ma mère. Cette dernière travaillait de nuit, à la gare de triage et dépôt de Trappes, et m’emmenait avec elle sur son lieu de travail car elle n’avait personne pour me garder. Ma mère était résistante, et la nuit elle changeait les pancartes de destination sur les trains allemands. Elle a été dénoncée, et pour échapper à la Gestapo, elle est partie rejoindre sa famille à Niort, en vélo. Moi, j’étais dans une petite remorque attachée derrière. Ma mère m’avait emmitouflé dans des couvertures mais la nuit il faisait très froid. Nous dormions sous les arbres qui nous protégeaient du mauvais temps..."
Je vous montrerai des photos des deux expos et des livrets qui seront imprimés et offerts aux participants.
Des petits qui laissent leur imagination "prendre le pouvoir", des jeunes qui s'intéressent à d'autres habitants de leur ville, des gens arrivés en France qui se racontent : c'est joli, non ?
♡♡♡
Ces projets peuvent voir le jour grâce à une réelle volonté des partenaires cités au début de mon article. Des projets ancrés dans le territoire, qui donnent du sens aux mots "culture" et "lecture publique".
J'ai mené (et je mène encore) des ateliers d'écriture un peu partout ... au centre social Pasteur de Guyancourt pour collecter les récits d'adultes non francophones en vue d'une expo à la mairie à l'occasion des 40 ans du quartier, au collège Courbet de Trappes pour le projet, imaginé avec Béatrice Saou avec ses 3ème D : Trappes en 3D et pour la Fête du Conte de St Quentin, en trimballant ma marmite à écrire sur les 7 communes du territoire, pour l'écriture de contes commencés dans une ville, poursuivis dans une autre et finis dans une troisième !
Pour tout ça, j'avais des partenaires de choix : le réseau des médiathèques de St Quentin-en-Yvelines, le Musée de la Ville, la mairie de Trappes, celle de Guyancourt.
Et c'était merveilleux, riche, (crevant), drôle, souvent étonnant/détonnant, presque toujours très émouvant.
Quelques photos prises à l'école André Gide de Magny-les-Hameaux, dans la classe de M. Samson qui a mis le point final au dernier conte : "Les deux mondes" (avec une langue inventée, l'Outloupien !).

Avec Julien, super bibliothécaire !








ça cogite : à partir du texte écrit dans les autres classes, et de nouveaux mots tirés au sort, on imagine la fin de ce conte (très !!) revisité !Deux autres contes écrits dans les classes de St Quentin : "Le royaume enchanté" (avec un "gnoume" créature mi-gnome, mi-gnou !), et "Contes jaloux"(où le sablier n'est pas rempli de sable mais de mini-loups !) seront bientôt illustrés dans d'autres écoles par les élèves de CE1.
Bref, arpenter le territoire, passer de classe en classe, écouter, partager, rire et écrire, c'est le plus beau métier du monde.
Au centre Pasteur, j'ai écouté des gens me parler de leur arrivée en France, voilà le témoignage de W. :
"J’ai fui la guerre en Syrie, au début de l’année 2011, puis je suis repartie là-bas pour finalement revenir en France définitivement en janvier 2012.
Là-bas, j ‘étais médecin, ici, je ne suis rien. J’ai peur de perdre ce que je sais, toutes mes connaissances. J’ai peur qu’elles s’envolent petit à petit et que je ne sache plus rien faire. Ma vie est devenue si compliquée. Si triste. Brusquement.
Quand on nous sommes partis, quand nous avons fui, nous n’avons rien pu emporter. Juste les vêtements que nous avions sur nous. Pas le temps de faire nos valises…
J’aurais voulu prendre avec moi la vaisselle en argent de ma famille, les photos de notre vie en Syrie. J’ai dû laisser mon chat. Mon chat tout blanc aux yeux bleus. Il paraît qu’il attend encore sur le muret du jardin. Il attend sûrement qu’on revienne le chercher. Je pleure à chaque fois que j’y pense. Il n’a personne contre qui se blottir.
Ici, en France, à Guyancourt, dans le quartier où je vis, j’ai trouvé un peu de paix. Je sens cette paix autour de moi.
Nous sommes arrivés sous la neige, en janvier. Une neige épaisse comme je n’en avais jamais vu avant. J’ai mis un second manteau, pour avoir moins froid. Maintenant, je me suis habituée et j’aime l’hiver en France. Il y a des espaces verts partout, des parcs, des jardins, des fleurs. Partout.
Ici, en France, à Guyancourt, dans le quartier où je vis, j’ai retrouvé le sommeil. Même si je n’ai pas de nouvelles régulières de mes parents, même si l’argent est un gros souci, même si j’ai tous ces souvenirs violents en tête : je dors enfin. Parce que je me sens en sécurité ici.
Je rêve d’avoir un endroit pour moi, un endroit pour écrire des poèmes, un endroit pour peindre.Je rêve de rentrer un jour chez moi, en Syrie. Mon fils me dit d’oublier. Mais comment oublier ?
Comment oublier ce pays si beau, où tous vivaient ensemble, musulmans, chrétiens, juifs, comme des voisins, comme des amis. Comment oublier les souffrances de mon peuple ?
J’aurais voulu, dans mes valises, apporter l’air de la Syrie, pour le respirer ici.J’aurais voulu apporter le sable chaud de Syrie, pour y marcher encore.J’aurais voulu apporter les arbres, la terre, les rivières et les oiseaux de Syrie.
Je rêve souvent de ce pays si vivant, qui me manque."

Quartier du Pont du Routoir (Guyancourt) dans les années 70.
Au collège Courbet, les élèves de 3ème ont eux-mêmes collecté des récits de vie, autour d'eux, dans leur famille, ou dans une maison de retraite, comme ce fut le cas ce jour-là, avec Monsieur M. :
"Lorsque je suis né mon père a été mobilisé pour la seconde guerre mondiale. Il n’y avait pas d’hôpital à Trappes et c’est une voisine qui a accouché ma mère. Cette dernière travaillait de nuit, à la gare de triage et dépôt de Trappes, et m’emmenait avec elle sur son lieu de travail car elle n’avait personne pour me garder. Ma mère était résistante, et la nuit elle changeait les pancartes de destination sur les trains allemands. Elle a été dénoncée, et pour échapper à la Gestapo, elle est partie rejoindre sa famille à Niort, en vélo. Moi, j’étais dans une petite remorque attachée derrière. Ma mère m’avait emmitouflé dans des couvertures mais la nuit il faisait très froid. Nous dormions sous les arbres qui nous protégeaient du mauvais temps..."
Je vous montrerai des photos des deux expos et des livrets qui seront imprimés et offerts aux participants.
Des petits qui laissent leur imagination "prendre le pouvoir", des jeunes qui s'intéressent à d'autres habitants de leur ville, des gens arrivés en France qui se racontent : c'est joli, non ?
♡♡♡
Ces projets peuvent voir le jour grâce à une réelle volonté des partenaires cités au début de mon article. Des projets ancrés dans le territoire, qui donnent du sens aux mots "culture" et "lecture publique".
Published on April 04, 2014 02:57
April 3, 2014
Soirée de lancement de "J'aime mes cauchemars !"
Published on April 03, 2014 09:32
March 31, 2014
Bientôt... très bientôt !
J'aime mes cauchemarsIllustré par Amélie GrauxAlbum à paraître dans quelques jours chez Gallimard Giboulées !On en parle déjà ici (dossier Pages des Libraires).

Published on March 31, 2014 23:30
Luçon : alors comment c'était ?
C'était ... bien !
Il y avait :
- des rencontres 100 % touchantes et drôles !
Jeudi
Chez les CM1 de Mme Chadrin à l'école Ste Famille, où les élèves avaient écrit un album à partir du Petit dodophobe : Le petit schoolphobe !
Chez les CE2 de Mme Servant, les questions fusaient, pertinentes !Les grimaces aussi ;)
Vendredi Chez les CM1-CM2 de Mme Commarieu de l'école du Centre, les élèves étaient des critiques littéraires, et des super poseurs de questions. Ils avaient lu un maximum de mes livres, de vrais spécialistes ^^
Chez les CM1 de Mme Sève (toujours à Ste Famille), les élèves se posaient des tas de bonnes questions sur l'inspiration, les rêves, des questions inédites et c'était chouette comme tout !
Et enfin au collège Sourdy, les 5ème de Mme Bohuon (avec la documentaliste !) m'ont fait la surprise du siècle. Ils avaient lu, aimé (adoré) Noël en juillet (premier tome de Roulette russe), redécoré leur salle de classe transformée pour l'occasion en restaurant Al Capone. Ils s'étaient déguisés, avaient réuni plein de matériel. Il y avait à manger et à boire !Un bar, de la (fausse) vodka, des truands qui jouent au poker, tous les personnages du roman, un spectacle de chansons et de danses russes, un numéro de ventriloque et ... comment dire ? beaucoup d'émotion. Beaucoup de rires. Tout ce que j'aime.
Et j'ai découvert, donc, mon personnage : le "vrai" Youri. MERCI.
Tomaso
Youriiiii !
Emma
Félix
Flora
Mme Robert
Le ventriloque
Des suspects !
Vassili et Irina
Le samedi et le dimanche, on a dédicacé des tonnes de livres, les élèves sont revenus avec leurs parents.
A Luçon, il y avait aussi :
- une petite bande d'auteurs/illustrateurs pas mal du tout (on peut dire qu'on a bien rigolé), une balade sur la plage, des bénévoles formidables (mention spéciale à Joey qui a retrouvé mon oiseau envolé), un plateau de fruits de mer mémorable et la promesse de se revoir.
Ingrid Thobois et Fred Sochard
Christos et Fred
Ingrid
Fred
La Souris qui raconte
Christos hyper naturel ;)
Eric Sanvoisin, qui a plein de raisons de sourire
les mains de Fred fimées en direct
la nouvelle formule de La Souris qui raconte : la carte à lire de "Conte du haut de mon crâne", ou comment un livre numérique peut maintenant s'acheter en librairie et se dédicacer.
Il y avait des gens que je n'ai pas eu le temps de prendre en photos mais avec qui j'ai parlé (parfois beaucoup !!) : Cathy Ytac, Régis Lejonc, Anne Crausaz, Emilie Vast, Cécile Roumiguière, Gérard Dhôtel, Claire Gratias, Thomas Scotto, Julia Wauters, Isabelle Simler, Angéline Chusseau et Manon Jaillet des éditions La maison est en carton ...
Un immense merci aux bénévoles et aux organisatrices qui font, à Luçon, un travail de doux-dingues !
Il y avait :
- des rencontres 100 % touchantes et drôles !
Jeudi
Chez les CM1 de Mme Chadrin à l'école Ste Famille, où les élèves avaient écrit un album à partir du Petit dodophobe : Le petit schoolphobe !






Chez les CE2 de Mme Servant, les questions fusaient, pertinentes !Les grimaces aussi ;)

Vendredi Chez les CM1-CM2 de Mme Commarieu de l'école du Centre, les élèves étaient des critiques littéraires, et des super poseurs de questions. Ils avaient lu un maximum de mes livres, de vrais spécialistes ^^







Chez les CM1 de Mme Sève (toujours à Ste Famille), les élèves se posaient des tas de bonnes questions sur l'inspiration, les rêves, des questions inédites et c'était chouette comme tout !


Et enfin au collège Sourdy, les 5ème de Mme Bohuon (avec la documentaliste !) m'ont fait la surprise du siècle. Ils avaient lu, aimé (adoré) Noël en juillet (premier tome de Roulette russe), redécoré leur salle de classe transformée pour l'occasion en restaurant Al Capone. Ils s'étaient déguisés, avaient réuni plein de matériel. Il y avait à manger et à boire !Un bar, de la (fausse) vodka, des truands qui jouent au poker, tous les personnages du roman, un spectacle de chansons et de danses russes, un numéro de ventriloque et ... comment dire ? beaucoup d'émotion. Beaucoup de rires. Tout ce que j'aime.
Et j'ai découvert, donc, mon personnage : le "vrai" Youri. MERCI.



Tomaso

Youriiiii !

Emma

Félix

Flora

Mme Robert

Le ventriloque

Des suspects !

Vassili et Irina







Le samedi et le dimanche, on a dédicacé des tonnes de livres, les élèves sont revenus avec leurs parents.
A Luçon, il y avait aussi :
- une petite bande d'auteurs/illustrateurs pas mal du tout (on peut dire qu'on a bien rigolé), une balade sur la plage, des bénévoles formidables (mention spéciale à Joey qui a retrouvé mon oiseau envolé), un plateau de fruits de mer mémorable et la promesse de se revoir.


Ingrid Thobois et Fred Sochard

Christos et Fred

Ingrid

Fred

La Souris qui raconte

Christos hyper naturel ;)

Eric Sanvoisin, qui a plein de raisons de sourire

les mains de Fred fimées en direct

la nouvelle formule de La Souris qui raconte : la carte à lire de "Conte du haut de mon crâne", ou comment un livre numérique peut maintenant s'acheter en librairie et se dédicacer.
Il y avait des gens que je n'ai pas eu le temps de prendre en photos mais avec qui j'ai parlé (parfois beaucoup !!) : Cathy Ytac, Régis Lejonc, Anne Crausaz, Emilie Vast, Cécile Roumiguière, Gérard Dhôtel, Claire Gratias, Thomas Scotto, Julia Wauters, Isabelle Simler, Angéline Chusseau et Manon Jaillet des éditions La maison est en carton ...
Un immense merci aux bénévoles et aux organisatrices qui font, à Luçon, un travail de doux-dingues !
Published on March 31, 2014 01:00
March 26, 2014
Semaine du livre jeunesse de Luçon, c'est parti !
Je file à Luçon pour deux jours d'interventions et deux jours de salon et de dédicaces.
Le programme par ici !http://livrejeunesselucon.wix.com/plj1

Le programme par ici !http://livrejeunesselucon.wix.com/plj1
Published on March 26, 2014 01:16
March 25, 2014
pluie d'articles sur nos oiseaux


Nos 55 oiseaux plaisent beaucoup !(Dessins : Csil, chez Winioux)
Sur le site Ricochets :"Se fondant plumes au vent dans l'arc-en-ciel, échappant au chat en grimpant sur son dos, ces drôles d'oiseaux ne s'en laissent pas conter, c'est le cas de le dire. L'intention pédagogique première s'oublie vite, pour laisser place à la poésie, la grâce d'un court texte allié à une illustration décidément pas comme les autres. Le livre à compter devient objet esthétique, mais toujours solide (papier fort) dans les petites mains."
Dans l'Avenir (quotidien Belge) :"Un mètre de fabuleux oiseaux !"
Les Riches heures de Fantasia :
"Les faux airs de Shadoks de ces gentils emplumés finissent de rendre pertinent un dessin entre épure et travail minutieux (voir les entrelacements au crayon de couleur pour colorier l'intérieur des éléments). Moi, j'ai beaucoup aimé ceux qui se fondent dans l'arc-en-ciel en se demandant qui a eu l'idée le premier..."
Sur le site des Sandales d'Empédocle"Coup de coeur pour un petit album qui a tout d'un grand !
Ce petit livre carré est un petit bijou. On est d’abord attiré par la drôle de bestiole de couverture : un petit côté shadoks (en bien plus beau rassurez vous). Ces plumes multicolores, une tête et un œil comme une marguerite ensoleillée et un bec qui n’en fini pas, le tout sur des pattes dont on se demande ce qu’elle vont bien pouvoir porter tant elles sont frêles."
et aussi sur Enfantipages, LJ83, la mare aux mots ...
On parle aussi des Méga-Bêtes par ici, sur LJ 83 !De Billie, si joliment sur Ricochets.Et, waouh, toujours sur Ricochets, une très belle chronique sur Une girafe un peu toquée !
Published on March 25, 2014 09:34
March 24, 2014
Rien qu'une fois à Spicheren
Winioux, une petite maison d'édition chez qui j'aime être éditée (Rien qu'une fois, 55 oiseaux). Et encore plus quand je vois la passion et l'enthousiasme avec lesquels ces éditrices vivent leur métier.
En décembre, Valy Giuliani (enseignante/auteure) m'invite dans sa classe et j'y mène un petit atelier d'écriture autour de Rien qu'une fois. On se régale. Puis, Valy fait illustrer les trouvailles de ses élèves et envoie le tout aux EditionsWinioux qui proposent d'imprimer un livret sur le site dédié, voir ici.En voyant la qualité du travail des élèves de Valy, Winioux a carrément édité un vrai petit album, dont tout le monde est maintenant très fier.
Une chouette aventure, non ?



Vous avez dit petite maison d'édition ?Hum.. immense, oui, plutôt !♡
Published on March 24, 2014 00:39
March 23, 2014
Sale temps pour la Tribu !
Voilà ! Il est en librairie !
Vous pouvez suivre les aventures de notre Tribu, dans le tome 2 : Sale temps pour la Tribu !
Ecrit à six mains (genre deux chacune, quoi) par Poupoule ici présente, Anne-Gaëlle Balpe et Sandrine Beau !
Illustré par Jess Pauwels.
Edité chez Frimousse.
On y trouvera du suspense, de l'humour, de l'aventure, ouais, ouais, et aussi de l'amitié et des sales types. Un polar, en gros.
Bon, c'est dimanche, et je suis fatiguée, faut pas m'en demander trop pour le pitch ;)
Mais on s'est régalées à l'écrire, vous aimerez le lire, à n'en pas douter.
Vous pouvez suivre les aventures de notre Tribu, dans le tome 2 : Sale temps pour la Tribu !
Ecrit à six mains (genre deux chacune, quoi) par Poupoule ici présente, Anne-Gaëlle Balpe et Sandrine Beau !
Illustré par Jess Pauwels.
Edité chez Frimousse.



On y trouvera du suspense, de l'humour, de l'aventure, ouais, ouais, et aussi de l'amitié et des sales types. Un polar, en gros.
Bon, c'est dimanche, et je suis fatiguée, faut pas m'en demander trop pour le pitch ;)
Mais on s'est régalées à l'écrire, vous aimerez le lire, à n'en pas douter.
Published on March 23, 2014 08:31
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