Séverine Vidal's Blog, page 32
May 14, 2014
les Incos à Riom et Clermont-Ferrand !
Ma tournée se poursuit en beauté ...
Après Troyes, Pessac, St Germain-en-Laye, Copenhague, Val-de-Reuil, j'étais à Riom et Clermont-Ferrand dans le cadre du Prix des Incos.
Et cétait waouh.
ça c'est le seul mot qui me vient toujours quand, justement, les vrais mots me manquent. Pas mal pour une auteure, hein ? ^^
Une après-midi au Collège Jean Vilar (et un pique-nique !), avec les 6ème de Meryl Maillot et les CM2 de l'école Brossolette de Riom (il me manque le nom de famille de l'enseignant, je l'ajoute dès que je l'ai), dans le chouette CDI de Laurence Berthet. Un beau partenariat, de l'enthousiasme et de l'ambiance !
J'ai découvert de nouvelles propositions de quatrièmes de couv pour La Meilleure nuit de tous les temps, qui continue à susciter quelque chose de très beau, partout où je me rends. Raphaël et Colombe ont des fans et c'est très émouvant de le constater à chaque fois...
Et regardez le talent de Martin : dingue, non ?
(magnifique, non ?)
Mardi, j'étais le matin au CDI du collège Pierre Mendès-France de Riom, accueillie par une documentaliste extra, Catherine Krzanowski. Mais on n'a pas fait de photos, hélas.
Et enfin, une après-midi complètement dingue au Collège Quilliot de Clermont-Ferrand !
Quand le projet est mené conjointement par une documentaliste formidable, Karine Talabard, une institutrice de CM2, Sylvie Rosa, un professeur d'éducation musicale, Isabelle Serot, un professeur d'arts plastiques, Sylvie Priolet et un professeur de lettres, Carole Fontaine, toutes motivées et bourrées de talent et d'idées, ça donne ... ça :
un spectacle, où les mots de mon roman deviennent musique ...
Un menu d'amoureux, et un CD avec les chansons du roman !
Une expo en lien avec le thème de l'année en arts plasiques : l'objet. Maquettes gourmandes, natures mortes (très vivantes !), compositions...
Des haîkus musicaux...
Puis, les CM2 de Mme Rosa nous ont rejoints avec leurs questions fines et pertinentes...
Ceux qui me connaissent savent que j'ai dû retenir mes larmes...
Un immense MERCI, du fond du coeur, pour cette expérience si touchante.
Merci à tous pour cette énergie.
"Moi, j'aimais pas lire, mais ton livre a changé mes idées sur la lecture !"
"J'ai tellement aimé ton roman que j'ai envie de le relire encore et encore..."
Après Troyes, Pessac, St Germain-en-Laye, Copenhague, Val-de-Reuil, j'étais à Riom et Clermont-Ferrand dans le cadre du Prix des Incos.
Et cétait waouh.
ça c'est le seul mot qui me vient toujours quand, justement, les vrais mots me manquent. Pas mal pour une auteure, hein ? ^^
Une après-midi au Collège Jean Vilar (et un pique-nique !), avec les 6ème de Meryl Maillot et les CM2 de l'école Brossolette de Riom (il me manque le nom de famille de l'enseignant, je l'ajoute dès que je l'ai), dans le chouette CDI de Laurence Berthet. Un beau partenariat, de l'enthousiasme et de l'ambiance !
J'ai découvert de nouvelles propositions de quatrièmes de couv pour La Meilleure nuit de tous les temps, qui continue à susciter quelque chose de très beau, partout où je me rends. Raphaël et Colombe ont des fans et c'est très émouvant de le constater à chaque fois...
Et regardez le talent de Martin : dingue, non ?









(magnifique, non ?)











Mardi, j'étais le matin au CDI du collège Pierre Mendès-France de Riom, accueillie par une documentaliste extra, Catherine Krzanowski. Mais on n'a pas fait de photos, hélas.
Et enfin, une après-midi complètement dingue au Collège Quilliot de Clermont-Ferrand !
Quand le projet est mené conjointement par une documentaliste formidable, Karine Talabard, une institutrice de CM2, Sylvie Rosa, un professeur d'éducation musicale, Isabelle Serot, un professeur d'arts plastiques, Sylvie Priolet et un professeur de lettres, Carole Fontaine, toutes motivées et bourrées de talent et d'idées, ça donne ... ça :
un spectacle, où les mots de mon roman deviennent musique ...





Un menu d'amoureux, et un CD avec les chansons du roman !

Une expo en lien avec le thème de l'année en arts plasiques : l'objet. Maquettes gourmandes, natures mortes (très vivantes !), compositions...















Des haîkus musicaux...

Puis, les CM2 de Mme Rosa nous ont rejoints avec leurs questions fines et pertinentes...


Ceux qui me connaissent savent que j'ai dû retenir mes larmes...
Un immense MERCI, du fond du coeur, pour cette expérience si touchante.
Merci à tous pour cette énergie.
"Moi, j'aimais pas lire, mais ton livre a changé mes idées sur la lecture !"
"J'ai tellement aimé ton roman que j'ai envie de le relire encore et encore..."
Published on May 14, 2014 01:14
May 11, 2014
Il est où Blonk ?
Vous vous souvenez de Tess, qui se posait déjà une question cruciale dans le tome 1 :
ça sert à quoi ce truc ?
Et bien elle revient !
Toujours chez Frimousse, toujours illustrée par Loïc Méhée, toujours avec des questionnements fascinants.
Il est où, Blonk ?
sortira cet automne !Je vous laisse découvrir deux images de ce tome 2, où un pauvre doudou tout beau tout blanc au départ va subir les mauvais traitements de Tess et devenir, comment dire, relativement ignoble.
Les parents de Tess vont tout faire pour essayer de le laver, mais à ce jeu-là, Tess est la plus forte.
Du vécu.
Blonk est un doux mélange de Dao-Rouge et Daorange, Popop et Pain d'épices, les doudous de mes trois enfants. Un hommage, quoi.
ça sert à quoi ce truc ?

Et bien elle revient !
Toujours chez Frimousse, toujours illustrée par Loïc Méhée, toujours avec des questionnements fascinants.
Il est où, Blonk ?
sortira cet automne !Je vous laisse découvrir deux images de ce tome 2, où un pauvre doudou tout beau tout blanc au départ va subir les mauvais traitements de Tess et devenir, comment dire, relativement ignoble.


Les parents de Tess vont tout faire pour essayer de le laver, mais à ce jeu-là, Tess est la plus forte.
Du vécu.
Blonk est un doux mélange de Dao-Rouge et Daorange, Popop et Pain d'épices, les doudous de mes trois enfants. Un hommage, quoi.
Published on May 11, 2014 03:06
May 9, 2014
Huit saisons et des poussières
Normalement, il sort aujourd'hui !
Huit saisons et des poussières
aux éditions des P'tits bérets
illustré par Anne Montel
C'est un album pour les grands, à partir de 8 ans.
Le père d'Amos rentre de deux ans passés dans un camp de concentration.
Le lien se retisse, doucement, entre le père et son fils.
Un extrait de texte ...
"Depuis qu’il est rentré, le père d’Amos reste la plupart du temps assis dans le grand fauteuil du salon. Il pose ses mains sur ses cuisses et regarde droit devant lui. Il ne fait rien d’autre. Et surtout, il ne parle presque pas.Il est là, c’est tout.Quand il est revenu, c’était une journée de grosse pluie. Toute la famille était près du poêle. La mère préparait la soupe, Sarah lisait, avalée par le fauteuil dans lequel le père s’est installé depuis. Amos faisait ses devoirs sur la table de la cuisine.La porte de l’entrée s’est ouverte d’un coup, aidée par le vent. Ils se sont tournés brusquement et l’ont vu. Une ombre immense, là, sous leurs yeux, après deux ans, un mois et seize jours d’absence. Il n’a pas dit un mot. La mère a d’abord étouffé un petit cri, puis s’est précipitée vers lui. Elle lui a retiré son manteau trempé, elle l’a aidé à enlever ses bottes, l’a assis sur le fauteuil près du feu.« Pousse-toi Sarah, laisse ton père s’asseoir là. »Elle s’est agitée, a préparé un café, a coupé du pain. Amos et sa sœur n’ont pas osé bouger. Ils ont regardé les allées et venues de leur mère, hypnotisés. Ils n’osaient pas regarder leur père, leur minuscule père perdu dans le grand fauteuil.Et puis la mère s’est assise, là, derrière le père. Elle a posé les mains sur lui. Elle a commencé à caresser ses épaules, doucement, doucement. Elle s’est mise à chanter une berceuse, un air pour les bébés, tout en lui caressant les épaules. Amos et Sarah sont restés longtemps comme ça, immobiles, à écouter leur mère chanter près du feu, à suivre les ombres danser sur le visage de leur père. La mère fermait les yeux, et chantait, et caressait, comme si elle voulait lui rendre en une fois les deux ans d’amour perdus.Depuis ce soir-là, il n’a presque rien dit. Des jours que ça dure."
Déjà des articles ...
On en parle déjà chez Enfantipages !"Ce n'est pas un ouvrage sur les camps et leurs horreurs, même si tout est là, au creux de chaque non-dit, c'est un album sur le revenir et le souvenir qui se heurtent terriblement, avant de se tendre la main. Les illustrations d'Anne Montel viennent soutenir le propos, merveilleuses de légèreté et de patience, par leurs si gracieuses touches. Un très beau livre à découvrir dès 8 ans."
Et sur le site Critiques libres. "Huit saisons et des poussières" est un livre qui aborde avec tact et justesse les relations familiales telles qu’elles auraient pu être au retour d’un déporté."
Merci à Caroline Perot pour sa confiance
Huit saisons et des poussières
aux éditions des P'tits bérets
illustré par Anne Montel
C'est un album pour les grands, à partir de 8 ans.
Le père d'Amos rentre de deux ans passés dans un camp de concentration.
Le lien se retisse, doucement, entre le père et son fils.



Un extrait de texte ...
"Depuis qu’il est rentré, le père d’Amos reste la plupart du temps assis dans le grand fauteuil du salon. Il pose ses mains sur ses cuisses et regarde droit devant lui. Il ne fait rien d’autre. Et surtout, il ne parle presque pas.Il est là, c’est tout.Quand il est revenu, c’était une journée de grosse pluie. Toute la famille était près du poêle. La mère préparait la soupe, Sarah lisait, avalée par le fauteuil dans lequel le père s’est installé depuis. Amos faisait ses devoirs sur la table de la cuisine.La porte de l’entrée s’est ouverte d’un coup, aidée par le vent. Ils se sont tournés brusquement et l’ont vu. Une ombre immense, là, sous leurs yeux, après deux ans, un mois et seize jours d’absence. Il n’a pas dit un mot. La mère a d’abord étouffé un petit cri, puis s’est précipitée vers lui. Elle lui a retiré son manteau trempé, elle l’a aidé à enlever ses bottes, l’a assis sur le fauteuil près du feu.« Pousse-toi Sarah, laisse ton père s’asseoir là. »Elle s’est agitée, a préparé un café, a coupé du pain. Amos et sa sœur n’ont pas osé bouger. Ils ont regardé les allées et venues de leur mère, hypnotisés. Ils n’osaient pas regarder leur père, leur minuscule père perdu dans le grand fauteuil.Et puis la mère s’est assise, là, derrière le père. Elle a posé les mains sur lui. Elle a commencé à caresser ses épaules, doucement, doucement. Elle s’est mise à chanter une berceuse, un air pour les bébés, tout en lui caressant les épaules. Amos et Sarah sont restés longtemps comme ça, immobiles, à écouter leur mère chanter près du feu, à suivre les ombres danser sur le visage de leur père. La mère fermait les yeux, et chantait, et caressait, comme si elle voulait lui rendre en une fois les deux ans d’amour perdus.Depuis ce soir-là, il n’a presque rien dit. Des jours que ça dure."
Déjà des articles ...
On en parle déjà chez Enfantipages !"Ce n'est pas un ouvrage sur les camps et leurs horreurs, même si tout est là, au creux de chaque non-dit, c'est un album sur le revenir et le souvenir qui se heurtent terriblement, avant de se tendre la main. Les illustrations d'Anne Montel viennent soutenir le propos, merveilleuses de légèreté et de patience, par leurs si gracieuses touches. Un très beau livre à découvrir dès 8 ans."
Et sur le site Critiques libres. "Huit saisons et des poussières" est un livre qui aborde avec tact et justesse les relations familiales telles qu’elles auraient pu être au retour d’un déporté."
Merci à Caroline Perot pour sa confiance
Published on May 09, 2014 04:16
May 8, 2014
Copenhague !
Mercredi, je me suis envolée pour le Danemark (avec l'amoureux et les filles dans mes bagages).
J'ai en effet eu la chance d'être invitée par le lycée français de Copenhague, pour deux jours de rencontres, dans le cadre du Prix des Incos.
Et c'était ... génial !
Bruno Descubes est un documentaliste enthousiaste, chaleureux et adorable : c'était donc un vrai plaisir de passer ces deux journées dans son CDI lumineux.
J'ai rencontré les trois CM2 de Silvia Mendès, d'Emmanuel Martineau et d'Anne-Claire Guer, et les 6ème 1, 2 et 3, accompagnés par leurs enseignants : Charlotte Rogez et Benoît Dodivers.
Une belle table de banquet, du jus de pomme, des sourires, des questions comme je n'en avais jamais eu, je crois, et ces petits moments, à la fois drôles et émouvants, où on sent que la rencontre existe et qu'elle a du sens.
Une jolie ambiance dans cet établissement, une parole qui circule, un sacré intérêt pour la lecture, beaucoup de finesse d'analyse, des adultes qui savent écouter les jeunes, des jeunes curieux, respectueux, de vraies personnalités... j'ai senti tout ça flotter dans l'air.
Je retiens quelques questions ...
"Est-ce que vous avez encore des rêves ?"
"Alors, tu l'aimes, en fait, ta vie ?"
"Serais-tu devenue écrivain si tu n'avais pas vécu dans ce bain d'enfants ?"
"Si jamais tu déménages un jour, tu devras te trouver un autre endroit pour écrire, où tu te sentiras bien."
Un débat sur la gifle, où, au Danemark, j'ai compris que c'était absolument interdit, la scène dans mon roman, les a donc pas mal secoués.
Je retiens tout. Un beau cadeau que ce voyage.
MERCI à tous. Un bonheur.
Et puis Copenhague, c'est aussi ça, des vélos pour remplacer les embouteillages, un ciel très bleu, des maisons de toutes les couleurs, une ville qu'on peut visiter à pied facilement, et le dernier vrai quartier hippie, Christiania, où on aurait bien passé encore du temps.
Dimanche soir, il a fallu rentrer. Et c'était le coeur lourd, je peux vous le dire.
Encore un immense merci à Bruno pour l'accueil, le resto, les explications sur le Danemark, aux enseignants et à tous ces élèves avec lesquels c'était si chouette de parler.
♥♥♥
J'ai en effet eu la chance d'être invitée par le lycée français de Copenhague, pour deux jours de rencontres, dans le cadre du Prix des Incos.
Et c'était ... génial !
Bruno Descubes est un documentaliste enthousiaste, chaleureux et adorable : c'était donc un vrai plaisir de passer ces deux journées dans son CDI lumineux.
J'ai rencontré les trois CM2 de Silvia Mendès, d'Emmanuel Martineau et d'Anne-Claire Guer, et les 6ème 1, 2 et 3, accompagnés par leurs enseignants : Charlotte Rogez et Benoît Dodivers.
Une belle table de banquet, du jus de pomme, des sourires, des questions comme je n'en avais jamais eu, je crois, et ces petits moments, à la fois drôles et émouvants, où on sent que la rencontre existe et qu'elle a du sens.
Une jolie ambiance dans cet établissement, une parole qui circule, un sacré intérêt pour la lecture, beaucoup de finesse d'analyse, des adultes qui savent écouter les jeunes, des jeunes curieux, respectueux, de vraies personnalités... j'ai senti tout ça flotter dans l'air.
Je retiens quelques questions ...
"Est-ce que vous avez encore des rêves ?"
"Alors, tu l'aimes, en fait, ta vie ?"
"Serais-tu devenue écrivain si tu n'avais pas vécu dans ce bain d'enfants ?"
"Si jamais tu déménages un jour, tu devras te trouver un autre endroit pour écrire, où tu te sentiras bien."
Un débat sur la gifle, où, au Danemark, j'ai compris que c'était absolument interdit, la scène dans mon roman, les a donc pas mal secoués.
Je retiens tout. Un beau cadeau que ce voyage.
MERCI à tous. Un bonheur.
















Et puis Copenhague, c'est aussi ça, des vélos pour remplacer les embouteillages, un ciel très bleu, des maisons de toutes les couleurs, une ville qu'on peut visiter à pied facilement, et le dernier vrai quartier hippie, Christiania, où on aurait bien passé encore du temps.
Dimanche soir, il a fallu rentrer. Et c'était le coeur lourd, je peux vous le dire.
















Encore un immense merci à Bruno pour l'accueil, le resto, les explications sur le Danemark, aux enseignants et à tous ces élèves avec lesquels c'était si chouette de parler.
♥♥♥
Published on May 08, 2014 05:08
April 28, 2014
Une semaine de rentrée pas comme les autres !
Aujourd'hui, s'est terminé le projet avec les 3ème du Collège Courbet de Trappes : Trappes en 3D.
Les textes seront imprimés sous forme de livrets, et sans doute exposés en mairie.
Un dernier texte sur leur ville rêvée...
"Je rêve d’une ville vivante. Je rêve d’une plage à Trappes, soleil brûlant et mer chaude à portée de main, des dauphins pour nager avec eux. Trappes Island, l’île paradisiaque : avec une mairie qui serait une maison accueillante, avec un maire en tongs. Une école à ciel ouvert, sur le sable et les pieds dans l’eau.
Je rêve d’une ville où les filles seraient toutes magnifiques et où il n’y aurait que quatre garçons, mes trois copains et … moi !
Et puis si on pouvait nous payer pour aller à l’école, ce serait l’idéal. D’ailleurs je voudrais qu’on aille à l’école à cheval, ou à dos d’oiseaux, en volant entre les nuages roses.
Trappes du futur, ce serait une ville pleine d’arbres à billets, pour que la pauvreté disparaisse.Trappes du futur, ce serait une ville où toutes les religions sont acceptées, une ville laïque. Des parcs immenses, à l’infini, pour que ma chienne soit libre de courir sans jamais s’arrêter. Une ville sans barrières, sans grillages. Où rien ne serait sérieux, où la seule chose importante serait le bien-être des gens, où personne ne juge personne. Une ville sociable.
Une ville connue dans le monde entier pour son équipe de basket imbattable, un stade géant accessible à tous gratuitement, un parc d’attraction, une piscine extraordinaire et des touristes partout.Une ville où même les extra terrestres voudraient venir habiter car il n’y aurait plus d’autoroute et donc moins de pollution !
Je rêve d’une ville avec moins de technologies, sans voitures et chemines de fer. La marche et le cheval seraient les meilleurs moyens de transport car les routes ne seraient plus bétonnées. Tout le monde se connaîtrait. Il y aurait du travail pour tous, des travaux à l’ancienne comme s’occuper des animaux et travailler dans les champs.Une ville source de rêve.
Une ville où la nuit serait jour et où le jour serait nuit."
Des rencontres dans le cadre du prix des Incos pour le reste de la semaine : d'abord à St Germain-en-Laye mardi, puis au Danemark jeudi et vendredi, où je suis invitée par le Lycée français de Copenhague !!Je prolongerai mon séjour jusqu'à dimanche, en famille (un amoureux et deux filles en supplément bagages) !
Les textes seront imprimés sous forme de livrets, et sans doute exposés en mairie.
Un dernier texte sur leur ville rêvée...
"Je rêve d’une ville vivante. Je rêve d’une plage à Trappes, soleil brûlant et mer chaude à portée de main, des dauphins pour nager avec eux. Trappes Island, l’île paradisiaque : avec une mairie qui serait une maison accueillante, avec un maire en tongs. Une école à ciel ouvert, sur le sable et les pieds dans l’eau.
Je rêve d’une ville où les filles seraient toutes magnifiques et où il n’y aurait que quatre garçons, mes trois copains et … moi !
Et puis si on pouvait nous payer pour aller à l’école, ce serait l’idéal. D’ailleurs je voudrais qu’on aille à l’école à cheval, ou à dos d’oiseaux, en volant entre les nuages roses.
Trappes du futur, ce serait une ville pleine d’arbres à billets, pour que la pauvreté disparaisse.Trappes du futur, ce serait une ville où toutes les religions sont acceptées, une ville laïque. Des parcs immenses, à l’infini, pour que ma chienne soit libre de courir sans jamais s’arrêter. Une ville sans barrières, sans grillages. Où rien ne serait sérieux, où la seule chose importante serait le bien-être des gens, où personne ne juge personne. Une ville sociable.
Une ville connue dans le monde entier pour son équipe de basket imbattable, un stade géant accessible à tous gratuitement, un parc d’attraction, une piscine extraordinaire et des touristes partout.Une ville où même les extra terrestres voudraient venir habiter car il n’y aurait plus d’autoroute et donc moins de pollution !
Je rêve d’une ville avec moins de technologies, sans voitures et chemines de fer. La marche et le cheval seraient les meilleurs moyens de transport car les routes ne seraient plus bétonnées. Tout le monde se connaîtrait. Il y aurait du travail pour tous, des travaux à l’ancienne comme s’occuper des animaux et travailler dans les champs.Une ville source de rêve.
Une ville où la nuit serait jour et où le jour serait nuit."
Des rencontres dans le cadre du prix des Incos pour le reste de la semaine : d'abord à St Germain-en-Laye mardi, puis au Danemark jeudi et vendredi, où je suis invitée par le Lycée français de Copenhague !!Je prolongerai mon séjour jusqu'à dimanche, en famille (un amoureux et deux filles en supplément bagages) !

Published on April 28, 2014 08:01
April 22, 2014
Revue de presse !
Allez, un petit tour de ce qu'on dit des Méga-Bêtes et de J'aime mes cauchemars, ici et là.
Pour J'aime mes cauchemars (Gallimard giboulées, avec Amélie Graux), c'est un peu le rêve (oui je sais c'est fastoche), des articles, il y en a plein et des bons !
Chez maman Baobab
"C'est un *** Coup de cœur *** d'ailleurs pour une idée drôlement menée et exploitée dans un univers monstrueusement coloré et attachant. Bonne nuit !"
Dans le Tiroir à histoires "Avec la sensibilité qu'on lui connait, et une bonne dose de dérision, Séverine Vidal rappelle la nécessité de laisser l'imaginaire se débrider. Point de vernis à paillettes pour masquer la noirceur : non seulement les cauchemars sont bien là, mais les enfants en ont besoin."
La soupe de l'espace Les cauchemars font partie de l’évolution normale de l’enfant et lui permettent même de mieux canaliser ses angoisses et ses pulsions (dès 3 ans). Oui, seul ! Parce que grandir n’est-ce pas (s’)apprivoiser ? Notre rôle d’adulte serait-il alors d’allumer la lumière sur un monde meilleur afin d’éloigner les peurs ?… Ah ! Non, rassurer ce n’est pas cacher
Pages des libraires aussi. L’héroïne de J’aime mes cauchemarsa beau faire des rêves pas toujours très agréables, elle apprécie leur étrangeté et refuse le monde aseptisé que sa mère lui propose pour les combattre. Il y a dans le dessin d’Amélie Graux un hommage aux maximonstres et à des albums commeIl y a un cauchemar dans mon placard (Gallimard Jeunesse, 2010).
Librairie Page d'encreVoilà un album qui montre l'importance des cauchemars dans l'épanouissement de nos bambins. Qui montre comment ils apprennent à gérer leurs peurs, leurs émotions. Comment ils apprennent à se surpasser pour dompter ce qui les effrait, et comment finalement, ces cauchemars peuvent devenir source de jeux et de défis !
Coup de coeur Fnac
Chez ClarabelVoilà un chouette album, décalé et délirant, sur l'art de dédramatiser les terreurs nocturnes et de prendre à rebrousse-poil tous ces clichés lénifiants pour voir la vie plus rose !
Sous le feuillage
Un album bien sympa et aux couleurs super chouettes pour dire que chasser les cauchemars à coups de livres à paillettes et de veilleuse n'est pas forcément la solution! Il faut écouter les enfants et comprendre leurs ressentis! Les cauchemars font partie de leur imaginaire et les aident à se construire. Un album qui traite les cauchemars et les peurs nocturnes de manière décalée et différente. Et si on les aimait les cauchemars de notre enfance ? Buveurs d'encre
Tourner1page
Pas mal aussi du côté des Méga !
Dans le JDD !
C'est là !"Une histoire Méga Bien !"
COUP de COEUR FNAC
Chez Enfantipages"Un duo explosif qui fonctionne à merveille pour faire naître le rire et la surprise au détour des pages où leurs petits héros animaux parleront aux plus jeunes lecteurs dès 4 ans. De quoi rêver à des exploits fabuleux !"
La mare aux mots
"Rarement une série humoristique n'aura été aussi classe"
Doolittle"Même les moins féroces peuvent êtres des vrais protecteurs. La preuve, Méga-Cochon a réduit Moustic Man en miettes, Méga-Loup a sauvé la petite en rouge, Méga-Lapin a sauté sur la Lune et Méga-Souris, elle, a sauvé les enfants du bus 14, ouf ! Des vrais super-héros qui protègent Méga City Ville, et qui fait le bonheur des habitants.
Les Méga-Bêtes sont déjà en librairie, et n’attendent que vous!"
Sur LJ83"Une histoire courte qui fonctionne parfaitement avec le public visé (4-5 ans), des phrases courtes pour une meilleure compréhension, une typographie variée par sa forme et sa couleur. Le tout illustré par Barroux, des formes arrondies, des aplats de couleurs et la couleur rouge du super héros."
Chez maman Baobab Un texte drôle et rebondissant signé Séverine Vidal, des illustrations pas piquées des moustiques signées Barroux dont on reconnait et apprécie fortement l'univers, cette méga-bête là est drôle, drôle... et elle a un secret bien caché, que je vous cache aussi. Pardi !
Je n'en reviens pas. Voilà pour aujourd'hui !

Pour J'aime mes cauchemars (Gallimard giboulées, avec Amélie Graux), c'est un peu le rêve (oui je sais c'est fastoche), des articles, il y en a plein et des bons !
Chez maman Baobab
"C'est un *** Coup de cœur *** d'ailleurs pour une idée drôlement menée et exploitée dans un univers monstrueusement coloré et attachant. Bonne nuit !"
Dans le Tiroir à histoires "Avec la sensibilité qu'on lui connait, et une bonne dose de dérision, Séverine Vidal rappelle la nécessité de laisser l'imaginaire se débrider. Point de vernis à paillettes pour masquer la noirceur : non seulement les cauchemars sont bien là, mais les enfants en ont besoin."
La soupe de l'espace Les cauchemars font partie de l’évolution normale de l’enfant et lui permettent même de mieux canaliser ses angoisses et ses pulsions (dès 3 ans). Oui, seul ! Parce que grandir n’est-ce pas (s’)apprivoiser ? Notre rôle d’adulte serait-il alors d’allumer la lumière sur un monde meilleur afin d’éloigner les peurs ?… Ah ! Non, rassurer ce n’est pas cacher
Pages des libraires aussi. L’héroïne de J’aime mes cauchemarsa beau faire des rêves pas toujours très agréables, elle apprécie leur étrangeté et refuse le monde aseptisé que sa mère lui propose pour les combattre. Il y a dans le dessin d’Amélie Graux un hommage aux maximonstres et à des albums commeIl y a un cauchemar dans mon placard (Gallimard Jeunesse, 2010).
Librairie Page d'encreVoilà un album qui montre l'importance des cauchemars dans l'épanouissement de nos bambins. Qui montre comment ils apprennent à gérer leurs peurs, leurs émotions. Comment ils apprennent à se surpasser pour dompter ce qui les effrait, et comment finalement, ces cauchemars peuvent devenir source de jeux et de défis !
Coup de coeur Fnac
Chez ClarabelVoilà un chouette album, décalé et délirant, sur l'art de dédramatiser les terreurs nocturnes et de prendre à rebrousse-poil tous ces clichés lénifiants pour voir la vie plus rose !
Sous le feuillage
Un album bien sympa et aux couleurs super chouettes pour dire que chasser les cauchemars à coups de livres à paillettes et de veilleuse n'est pas forcément la solution! Il faut écouter les enfants et comprendre leurs ressentis! Les cauchemars font partie de leur imaginaire et les aident à se construire. Un album qui traite les cauchemars et les peurs nocturnes de manière décalée et différente. Et si on les aimait les cauchemars de notre enfance ? Buveurs d'encre
Tourner1page
Pas mal aussi du côté des Méga !




Dans le JDD !
C'est là !"Une histoire Méga Bien !"

COUP de COEUR FNAC
Chez Enfantipages"Un duo explosif qui fonctionne à merveille pour faire naître le rire et la surprise au détour des pages où leurs petits héros animaux parleront aux plus jeunes lecteurs dès 4 ans. De quoi rêver à des exploits fabuleux !"
La mare aux mots
"Rarement une série humoristique n'aura été aussi classe"
Doolittle"Même les moins féroces peuvent êtres des vrais protecteurs. La preuve, Méga-Cochon a réduit Moustic Man en miettes, Méga-Loup a sauvé la petite en rouge, Méga-Lapin a sauté sur la Lune et Méga-Souris, elle, a sauvé les enfants du bus 14, ouf ! Des vrais super-héros qui protègent Méga City Ville, et qui fait le bonheur des habitants.
Les Méga-Bêtes sont déjà en librairie, et n’attendent que vous!"
Sur LJ83"Une histoire courte qui fonctionne parfaitement avec le public visé (4-5 ans), des phrases courtes pour une meilleure compréhension, une typographie variée par sa forme et sa couleur. Le tout illustré par Barroux, des formes arrondies, des aplats de couleurs et la couleur rouge du super héros."
Chez maman Baobab Un texte drôle et rebondissant signé Séverine Vidal, des illustrations pas piquées des moustiques signées Barroux dont on reconnait et apprécie fortement l'univers, cette méga-bête là est drôle, drôle... et elle a un secret bien caché, que je vous cache aussi. Pardi !
Je n'en reviens pas. Voilà pour aujourd'hui !
Published on April 22, 2014 07:58
April 19, 2014
Wilo et Mi
Deux personnages sur une île (une île inventée mais pour laquelle j'ai pris un peu à Groix, un peu à Belle-Ile, un peu à l'île d'Yeu), une petite fille et Wilo son panda.
Un panda qui l'accompagne partout mais que les autres n'ont pas l'air de voir... c'est pénible !
Christine Roussey leur a donné des couleurs.
Le livre sera en librairie en juin chez l'élan vert.

Après cette première histoire, La légende de la Grise, ils pourraient bien revenir de temps en temps ces deux-là, pour rêver, réfléchir à des trucs hyper importants comme le rire, la mémoire ou les caprices. On verra !


Published on April 19, 2014 06:03
April 17, 2014
Annecy : fin de parcours !
Voilà, le projet Parcours Littéraire à Annecy a pris fin mardi à l'école Vaugelas du centre ville.
Un régal, avec des petits bien motivés !
Le thème choisi par la bibliothèque Bonlieu était "les métiers", et on est donc partis de mon album "Le laboureur des nuages et autres petits métiers imaginaires".
Nous avons poursuivi le travail démarré en février dans ces deux classes.
Bravo à tous ces auteurs en herbe, qui ont des idées (et beaucoup d'humour !) de métiers d'avenir, comme le détorticolieur de diplodocus (on y pense pas assez souvent), le vendeur de sushis de licorne, la dompteuse de vague, la coiffeuse d'arbres et le postier sur tapis volant (entre autres !).
Merci à Laure pour cette invitation et les balades dans les si jolies rues d'Annecy !
Un régal, avec des petits bien motivés !
Le thème choisi par la bibliothèque Bonlieu était "les métiers", et on est donc partis de mon album "Le laboureur des nuages et autres petits métiers imaginaires".
Nous avons poursuivi le travail démarré en février dans ces deux classes.
Bravo à tous ces auteurs en herbe, qui ont des idées (et beaucoup d'humour !) de métiers d'avenir, comme le détorticolieur de diplodocus (on y pense pas assez souvent), le vendeur de sushis de licorne, la dompteuse de vague, la coiffeuse d'arbres et le postier sur tapis volant (entre autres !).
Merci à Laure pour cette invitation et les balades dans les si jolies rues d'Annecy !








Published on April 17, 2014 08:56
April 11, 2014
Mes cauchemars en dédicace !
Jeudi soir, à la librairie Libellule et coccinelle (dans le 9e à Paris), avait lieu le lancement de "J'aime mes cauchemars" !
Une belle soirée, avec des bonbons et des chips, des macarons et des carottes, des potes et la famille, un frère et des filles, une librairie géniale, un aigle-loup, une Sécotine-Glu, des enfants et des non-enfants qui me racontent leurs cauchemars, une Amélie Graux prodigieuse et un rêve de livre.
"Moi, je rêve que j'avale des clous"
"Moi, souvent, je rêve que je suis poursuivie par des bûcherons"
Nous, les cauchemars, on n'en fait qu'une bouchée !
Voilà la preuve en images :
Sandrine Kao en visite
avec Amélie
Ses jolies dédicaces
Cherchez le frère
Cherchez les filles ;)
Cherchez l'amoureux ♥
Cherchez les libraires !
La soupe de l'espace, autre trèèèèèèèès belle librairie, en parle avec magie, par ici !http://www.soupedelespace.fr/leblog/jaime-mes-cauchemars-s-vidal-a-graux
et puis la librairie Pages d'encre !Ainsi que Pages des Libraires. et puis aussi Coup de coeur Fnac !
Une belle soirée, avec des bonbons et des chips, des macarons et des carottes, des potes et la famille, un frère et des filles, une librairie géniale, un aigle-loup, une Sécotine-Glu, des enfants et des non-enfants qui me racontent leurs cauchemars, une Amélie Graux prodigieuse et un rêve de livre.
"Moi, je rêve que j'avale des clous"
"Moi, souvent, je rêve que je suis poursuivie par des bûcherons"
Nous, les cauchemars, on n'en fait qu'une bouchée !
Voilà la preuve en images :




Sandrine Kao en visite

avec Amélie

Ses jolies dédicaces

Cherchez le frère



Cherchez les filles ;)

Cherchez l'amoureux ♥

Cherchez les libraires !

La soupe de l'espace, autre trèèèèèèèès belle librairie, en parle avec magie, par ici !http://www.soupedelespace.fr/leblog/jaime-mes-cauchemars-s-vidal-a-graux
et puis la librairie Pages d'encre !Ainsi que Pages des Libraires. et puis aussi Coup de coeur Fnac !
Published on April 11, 2014 23:23
L'Oeil du pigeon aux Incos !
Très contente !
Contente comme un pigeon.
L'Oeil du pigeon, illustré par Guillaume Plantevin, édité chez Sarbacane sera en sélection pour le Prix des INCORRUPTIBLES 2014/2015 !
Et ça, c'est vraiment super : la perspective de belles rencontres, un peu partout en France et parfois même ailleurs !
Et comme une bonne nouvelle ne vient jamais seule, un autre album verra le jour en 2015 chez ce même très bel éditeur : Gamine et son roi. Ravie.
D'ici là, mon roman d'aventures, Une drôle d'évasion paraîtra dans leur toute nouvelle collection Pépix, dirigée par Tibo Bérard.
✿✿✿
En ce moment, c'est mon roman paru au Rouergue, La Meilleure nuit de tous les temps, qui tente sa chance pour le Prix des Incos 2013/2014 et avec lequel je vais bientôt m'envoler pour ... Copenhague !
Contente comme un pigeon.
L'Oeil du pigeon, illustré par Guillaume Plantevin, édité chez Sarbacane sera en sélection pour le Prix des INCORRUPTIBLES 2014/2015 !
Et ça, c'est vraiment super : la perspective de belles rencontres, un peu partout en France et parfois même ailleurs !

Et comme une bonne nouvelle ne vient jamais seule, un autre album verra le jour en 2015 chez ce même très bel éditeur : Gamine et son roi. Ravie.
D'ici là, mon roman d'aventures, Une drôle d'évasion paraîtra dans leur toute nouvelle collection Pépix, dirigée par Tibo Bérard.
✿✿✿
En ce moment, c'est mon roman paru au Rouergue, La Meilleure nuit de tous les temps, qui tente sa chance pour le Prix des Incos 2013/2014 et avec lequel je vais bientôt m'envoler pour ... Copenhague !
Published on April 11, 2014 04:15
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