Manu Larcenet's Blog, page 65

Peekaboo

Valérian, le guide du Führer

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Florence Cestac en 3D

Size does matter

Grande affiche, petits stickers.

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Gérard Molina ne va pas se faire que des amis chez les imbéciles

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Ah, qu'il est bon, parfois, de voir que certains, comme Gérard Molina dans Médias pointent encore une des dérives du journalisme contemporain. Le commentaire est la plaie du moment. Et notre beau métier n'échappe point à la règle. N'importe quel tartuffe se croit légitime à commenter, même et surtout quand une certaine culture et connaissance du sujet (à savoir : la création artistique et ses péripéties) lui sont absolument étrangères…  Après, il faut les entendre crier au scandale, de loin (il faut pas pousser!), à l'abus de pouvoir, à la censure, au crime de lèse-plumitif, leurs petits poings serrés, quand on a l'outrecuidance de remettre en cause leurs certitudes, leurs motivations, ou de pointer contradictions et incuries pourtant flagrantes et répétées. Ils sont pire encore que les habituels commentateurs de forums qui, eux au moins, ne tentent pas de cacher leur inculture crasse et leur manque d'honnêteté intellectuelle mais, au contraire, s'en vantent, au grand désespoir de leurs parents qui leur ont pourtant payé les meilleures écoles.

Alors, du coup, quand, par hasard (ou plutôt quand on a, comme moi, un attachée de presse de haut vol), l'on tombe sur un qui comprend, pose des questions inattendues, vous met intellectuellement au défi, pointe avec curiosité vos propres contradictions, fait de subtils rapprochements avec  l'histoire de l'Art, bref, quand un journaliste qui vous a lu avec exigence a assez de talent pour en bien parler s'intéresse à vous, vous tombez à genoux et remerciez Dieu ( qui n'existe pas ) d'enfin avoir mis sur votre chemin quelqu'un de plus intéressant qu'une limace.

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 » le jeu du cynisme en interne et du moralisme pour l'extérieur… » C'est beau et, surtout juste.

La maison de Rippon Alley

Ex libris pour la libraisrie Superhéros

Les pigeons de Picasso

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Je tombai il y a peu sur les dernières toiles de Picasso, celles qui faisait pour se reposer des « Ménines » qui lui prenaient bien la tête…

Pour ceux qui connaissent  » le retour à la terre », vous remarquerez l'allure générale des oiseaux…

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L'oiseau de mauvaise augure

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Les papiers du divorce

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C'est le divorce. Ça y est, tout 'est consommé. Il fallait bien que ça arrive.

C'est décidé, je me retire du monde. Un ermite. Un ours que je vais devenir.

L'on ne me verra plus arpenter en sautillant les rues ensoleillées de l'insouciance. L'on ne me verra plus faire l'effort de tenter de comprendre mes contemporains, voire à les aimer. C'est inutile, le clash est définitif. Éminents intellectuels ou pauvres crasses de comptoir, célébrités ou anonymes, de tous les âges, sexes et classes sociales,  maudits soient ceux qui pleurnichent sur la mort du businessman, quand ils sont restés odieusement silencieux lors de celle du poète.