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La plume est parfaite 😌

Je l'ai commencé comme ça, juste pour me faire une idée, et sans m'en rendre compte, j'arrive à la page 263 😁

Capitulum secundum 🪔

This goes very well with Sophie's world! 🤓

I was convinced by Kant's conclusions in high school, and I'm even more impressed by them today.

Entre les notes pianotées de Rachmaninov, le murmure des tombeaux du temps, les préludes de Bach, une chanson douce au bébé Rachel, quelques syllabes en latin, et ceci, ci-dessous, Simmons sait définitivement jouer sur ma corde sensible :
"Le vent devenait plus fort à l'approche de l'aube, et les gargouilles et les escarpements jouaient le rôle de pipeaux pour accompagner le basson froid de la forteresse."
RTC

C'est une expérience singulière que de lire des poèmes sur l'amour dans cette langue à la fois étrangère et familière qu'est l'anglais pour moi. Et je me surprends à penser que l'amour aussi me semble parfois familier et parfois étranger.

"No, I'd never been to this country before. No, I didn't know where the roads would lead me. No, I didn't intend to turn back."

Que c'est beau.

"Nous n'avons pas besoin de tout résoudre. Nous pouvons nous contenter de contempler la beauté."

Festina lente

"La vie est courte. Soyez sympa."

Wow, I knew there was something weird about baby Rachel.

This is Benares, I survived the poet's tale. I repeat: I survived the poet's tale 🫣

Between Father Hoyt's tale and that of the soldier Kassad, it's no longer science fiction but erudition fiction, I'm dazzled... 😎

Richard Francis Burton, le traducteur globe-trotter est bien là, ressuscité !

J'apprends qu'un des traducteurs des Milles et une Nuits, Richard Francis Burton, né en 1821 en Angleterre, était un anthropologue-explorateur emblématique, au point d'inspirer nos auteurs SF : on retrouve Richard Burton en personnage principal dans la série Le Fleuve de l'éternité de P.J. Farmer, dans Area 51 de R. Doherty, et dans le genre steampunk chez P. Reeve et M. Hodder. À lire sous peu!

L'absence de l'être aimé, dépeinte comme une eau fuyante. Quel beau texte, fluide et sensible :

"T'aimer, c'était comme descendre un cours d'eau, je me laissais porter par le courant. Nous finissions toujours ensemble dans la furie de la mer, mais ton corps était l'élément premier dans lequel je me noyais... D'où te venait cet abandon, Odile ? Est-ce lui qui t'a finalement emportée tout entière, cette nuit-là ?"

J'arrive à la dernière partie de cette histoire de lapins, et je commence à comprendre pourquoi elle m'intéresse, et en même temps, elle ne m'intéresse pas! Explications à venir... 🙃

"... tout est là et s'imbrique comme une abeille dans une campanule." (langage joliment imagé de lapins 🤓)