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314 suite à ton intuition, et surtout là où il y a de la peur mets de la confiance

La joie s’est très bien cohabiter avec le flou dès lors que tu as pris une décision. Bonne pour toi et que tu choisis d’aller mieux et de marcher vers un endroit bon pour toi.

Ça guide la joie. Ça fait chaud au cœur tu n’as plus peur. C’est comme un soleil qui se lève à l’intérieur. C’est une décision qui résonne juste au plus profond de toi. Prendre les choses par le coup du plaisir, choisir la voix qui réveille la joie en toi, des projets qui t’accrochent des ailes dans le dos. Quand la motivation est là les obstacles tombent d’eux même.

Il n’a rien pu venir. Les sentiments sont arrivés sans prévenir. Cela fait si peu de temps il ne devrait pas être si bien arrimés. Pourtant il sent ils vivent déjà si fort en lui ! Trop tard. Il va falloir faire face.

Finalement, c’est plus confortable de chouchouter sa morosité que d’oser sortir de sa zone de confort

« Vous savez, avant, je m’ennuyais parfois beaucoup. J’attendais que d’autres gens m’entraînent pour sortir et me bouger. Il m’arrivait de passer des week-ends entiers à trainer mon spleen.. […] et puis un jour j’en ai eu marre de me morfondre, de faire dépendre ma joie d’amis qui n’étaient pas toujours disponibles ou d’un homme que je n’avais pas réussi à trouver »

« J’ai décidé non pas de vouloir être à tout prix à la hauteur, mais juste d’être moi même. Faire du mieux qu’on peut, c’est déjà pas mal, non ? »

« Le coeur des hommes a besoin d’un port, parcequ’un coeur toujours en goguette ce n’est pas bon, il finit par se dessécher a la longue »

Benjamin songe qu’il faudrait proscrire de son vocabulaire tous les il faut et je dois qui ont l’art de mettre la pression

Syndrome de la bonne élève

Décidément, il y aurait fort à faire pour rebrancher cette fille-là, aux vraies choses de la vie

« Lui, sa bonne humeur, il en prend soin comme d’une amie, tous les jours »

« j’alterne, entre des moments d’hyperactivité, où je déployais une énergie phénoménale pour être à la hauteur de l’image que je voulais donner à l’agence, et d’autres moments où, planquée, chez moi, seule, si seule, je tombais dans une léthargie profonde, incapable de bouger, comme clouée, à mon propre lit, exsangue, épuisée, happée par un sentiment de vide sidéral »

« À chaque venue d’Ugo, un paradoxe surgissait : comment pouvais-je être à la fois aussi heureuse, et aussi tendu ? »

A lire : je suis né un jour bleu

Des applis-assistants-doudous

De même qu’on ne se voit pas prendre du poids, on ne se voit pas devenir triste

« Suis-je quelqu’un ? ». Quelqu’un oui. Mais ordinaire. Une personne lambda.

« Tout ce qui ne n’exprime pas d’imprime »