À cet instant, je sus que je l’aimais du plus profond de mon cœur. Qu’il ne s’agissait pas d’une passade, d’hormones ou je ne savais quoi lié à l’adolescence, que je quittais. Mon cœur pourtant meurtri vibrait sous l’effet de ses regards, battait plus fort quand il me touchait, et mon âme brillait lorsqu’il était à mes côtés.

