Sa main vint caresser ma joue et je le regardai alors, surpris par le geste. — Shiro, il y a du monde autour de nous... — Je m’en fiche, souffla-t-il. Te voir souffrir comme ça, c’est insupportable. — Tu es là, je vais bien, répondis-je en attrapant sa main pour la retirer, doucement.

