Ils sont déçus parce que le christianisme actuel ne correspond pas, ou trop peu ou trop mal, à l’étalon temporel grâce auquel ils jugent le christianisme authentique. Aux yeux des conservateurs, le christianisme actuel s’est fourvoyé en pactisant avec la modernité triomphante ; pour les progressistes, au contraire, le christianisme actuel déçoit par sa frilosité et son incapacité à s’adapter à cette même modernité.

