Je consacrais des heures et des heures à la lecture, que ce soit dans ma chambre ou au coin de la cheminée de la tour. Lire devenait pour moi si naturel, que c’était à peine si je me souvenais d’un temps où il n’y avait pas eu la texture du vélin sous mes doigts, l’odeur alcaline de l’encre et cette farandole de miracles calligraphiés à parcourir.