je crois que tu fais semblant de haïr le bonheur pour te faire croire que si ta vie a les apparences d’une vie malheureuse, c’est toi qui l’as choisi, comme si tu voulais faire croire que tu avais le contrôle sur ton propre malheur, comme si tu voulais donner l’impression que si ta vie a été trop dure, c’est toi qui l’as voulu, par dégoût du plaisir, par détestation de la joie. Je crois que tu refuses d’avoir perdu.