Sent-il sa présence? Comme ces personnages de romans dotés d’un instinct sans faille?
Ça m'énerve, dans un roman, lorsqu'un personnage fait quelque chose parce qu'il "sent qu'il doit le faire". Je trouve que c'est une sorte de paresse de la part de l'auteur, qui n'a pas réussi à justifier le geste du personnage autrement! Je devais être fâchée contre un livre en particulier lorsque j'ai écrit cette phrase... mais je ne me souviens plus lequel.

