La paix entre les humains ne dépend que d'eux, elle est possible. Mais elle n'est nullement certaine, le pire est lui aussi possible. Entre le pessimisme désespéré et l'optimisme satisfait, la seule attitude raisonnable est le volontarisme. À nous d'agir, pour que tous les humains combattent ensemble leurs ennemis communs : la maladie, l'égoïsme, la faim, la misère, le mépris. Pour qu'ils acceptent enfin l'évidence : chacun peut trouver sa source chez les autres, tous les autres.