Il n'y a aucun paradoxe là-dedans, c'est juste que tu emploies la psychologie des magazines féminins, qui n'est qu'une typologie de consommateurs : le bobo éco-responsable, la bourgeoise show-off, la clubbeuse gay-friendly, le satanic geek, le techno-zen, enfin ils en inventent de nouveaux chaque semaine. Je ne corresponds pas immédiatement à un profil de consommateur répertorié, c'est tout.

