Il y avait des détails de ponctuation à revoir, quelques références à préciser, mais, quand même, il n'y avait aucun doute : c'était ce que j'avais fait de mieux ; et c'était, aussi, le meilleur texte jamais écrit sur Huysmans. Je rentrai doucement à pied, comme un petit vieux, prenant progressivement conscience que, cette fois, c'était vraiment la fin de ma vie intellectuelle ; et que c'était aussi la fin de ma longue, très longue relation avec Joris-Karl Huysmans.

