J’écrirais sur tes lèvres, commença-t-il, son pouce effleurant ma lèvre inférieure. Qu’elles ont été créées pour se mouler aux miennes. J’écrirais sur tes yeux bruns, et comment ils ont été créés pour contenir mon reflet. Et ton toucher… comment tu ne comprends pas le pouvoir qu’un simple effleurement de ton doigt a sur moi. Mais ce qui est vraiment remarquable, c’est que lorsque le monde tente de me tirer vers le bas, tu arrêtes mon cœur, et le reste de mon corps pourrait s’échapper, que ça n’aurait pas d’importance. Il battrait quand même. Régulier. Solide. Sûr.