déjà je voyais briller le soleil du matin sur la colline de Fiesole, je me chauffais à ses rayons ; leur force m’obligeait à ouvrir et à fermer à demi les paupières, en souriant, et, comme des veilleuses d’albâtre, elles se remplissaient d’une lueur rose. Ce n’était pas seulement les cloches qui revenaient d’Italie, l’Italie était venue avec elles.