écrivez la porte fermée, corrigez la porte ouverte. En d’autres termes : vos trucs, tout d’abord ne concernent que vous, puis ils commencent à prendre leur indépendance. Une fois que vous maîtrisez votre histoire et qu’elle est bien en place – aussi bien que possible, en tout cas – elle appartient à quiconque a envie de la lire. Ou de la critiquer. Si vous avez beaucoup de chance (là, c’est mon idée, ce n’est plus Gould qui parle, mais je crois qu’il aurait été d’accord), vous trouverez plus de gens qui auront envie de la lire que de la critiquer.